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Droits et devoirs des journalistes français

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Charte de Munich (ou Déclaration des devoirs et des droits des journalistes), signée le à Munich et adoptée par la Fédération européenne des journalistes, est une référence européenne concernant la déontologie du journalisme, en distinguant dix devoirs et cinq droits. Le texte reprend les principes de la Charte des devoirs professionnels des journalistes français écrite en 1918 et remaniée en 1938, pour y préciser les droits permettant de les respecter. Il reprend le principe secret professionnel (article 7), en y ajoutant un devoir jugé essentiel, celui de protection des sources d'information des journalistes. Histoire[modifier | modifier le code] Dix devoirs et cinq droits[modifier | modifier le code] Rédigés dans un style direct et concis, pour être accessibles à tous, les 15 articles de la charte tiennent sur une page. Les articles 4, 5 et 6 protègent les personnes citées ou photographiées. Signataires[modifier | modifier le code]

Jacques Rosselin: Distribuons l'aide à la presse directement aux journalistes! Billet également publié sur GuyBirenbaum.com Et si les milliards d'aide à la presse française étaient directement distribués aux journalistes ? L'idée peut sembler incongrue et pourtant, elle s'impose presque naturellement si l'on réfléchit à l'avenir de l'information dans une démocratie. Premier constat, l'information écrite de qualité, qu'elle soit politique, économique ou "générale" comme on dit, n'a plus de modèle économique dans ce qu'on appelle la sphère marchande. Deuxième observation, dans les médias écrits, les rédactions n'existent plus, du moins au sens collectif du terme. Troisième évolution, le Net a fortement modifié leurs méthodes de travail. Un revenu minimum pour les journalistes Mais alors, si les journalistes peuvent travailler n'importe où, deviennent des médias avec leur propre marque, s'il peuvent se réunir en groupes de travail, en rédactions éphémères au gré de l'actualité, à quoi servent leurs médias traditionnels sinon à les héberger et les rémunérer ?

Steven Lévy : "Le sens du mot hacker a considérablement évolué" On a failli attendre : paru en 1984 aux États-Unis, deux fois réédité, le passionnant Hackers: Heroes of the Computer Revolution de Steven Levy est enfin disponible en français, sous le titre L’Éthique des hackers. En 500 pages denses, typiques de ce journalisme à l’américaine qui défriche l’histoire immédiate en une narration aussi enlevée qu’incarnée, Levy, plume de Newsweek puis de Wired, retrace la folle aventure de l’informatique pour tous et de ceux qui l’ont écrite, des rôdeurs nocturnes du prestigieux Massachusetts Institute of Technology de Boston aux premiers magiciens du jeu vidéo, en passant par les inventeurs californiens de l’ordinateur personnel. Avec en filigrane, déjà, l’émergence d’Internet. Vous dites avoir écrit L’Éthique des hackers par admiration pour les acteurs de la révolution informatique. Steven Levy – Pas vraiment : quand j’ai commencé à travailler sur ce livre, je n’en saisissais absolument pas la perspective d’ensemble. Propos recueillis par Amaelle Guiton

les journalistes-stars et leurs esclaves... leur travail baclé Les journalistes sont des criminels

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