Radio-identification Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une puce de radio-identification EPC utilisée par Wal-Mart La radio-identification, le plus souvent désignée par le sigle RFID (de l’anglais radio frequency identification), est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais)[1]. Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collés ou incorporés dans des objets ou produits et même implantés dans des organismes vivants (animaux, corps humain[2]). Ces puces électroniques contiennent un identifiant et éventuellement des données complémentaires. Cette technologie d’identification peut être utilisée pour identifier : Principe[modifier | modifier le code] Lecteurs[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes[modifier | modifier le code] Le marqueur se compose : Contraintes[modifier | modifier le code]
Paiements mobiles, le NFC ne décolle toujours pas - Le Monde Informatique le 05/06/2013, par Bertrand LEMAIRE, Terminaux et Systèmes, 226 mots Le cabinet Gartner vient de publier une étude sur les paiements par mobiles. La croissance générale ne profite pas du tout au NFC. Selon une récente étude du cabinet Gartner, les paiements par mobiles ont atteint 163,1 milliards de dollars dans le monde en 2012 et devraient croître de 44% pour atteindre 235,4 milliards de dollars en 2013. Cette croissance ne profite pas du tout à la technologie NFC. Pour l'heure, ce sont surtout les « wallets » (comme Google Wallets) qui tirent le marché. L'achat de biens et services reste minoritaire (moins d'un quart des opérations) dans l'usage du paiement par mobile. L'Afrique est le continent actuellement dominant (près de la moitié du total mondial) dans le secteur mais devrait être doublée par l'Asie. BlackBerry envisage de céder son activité messagerie Le 12 août dernier, BlackBerry annonçait la création d'un comité spécial pour trouver une stratégie de survie. Dernier dossier
iBeacon : la technologie sans contact "anti-NFC" d'Apple 01net. le 30/09/13 à 15h54 Apple croit aux applications mobiles sans contact mais, à sa manière, comme souvent. En marge de la technologie NFC, répandue en Europe mais, avec laquelle aucun de ses mobiles n'est compatible, le constructeur californien entend pousser une toute autre voie. Passée inapercue lors du lancement effectif d'iOS 7, la nouvelle fonction iBeacon repose sur la technologie sans contact Bluetooth 4.0 basse consommation, dont tirent parti les nouveaux iPhone 5C et 5S. Cette fonction s'appuie sur une technologie de transmission pouvant-être utilisée pour le transfert automatique de paquets d'informations de et vers un appareil Apple. Son principal atout est sa portée, propre à la technologie Bluetooth. Apple contre le reste du monde ? Aux Etats-Unis, la ligue principale de Baseball prévoit de tester la technologie d'Apple dans les stades. Le défi à relever pour Apple consiste à passer outre la standardisation internationale autour de la technologie NFC. Lire aussi :
Wi-Fi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Exemple d'application du Wi-Fi: impression sans fil Le Wi-Fi[1] est un ensemble de protocoles de communication sans fil régis par les normes du groupe IEEE 802.11 (ISO/CEI 8802-11). Un réseau Wi-Fi permet de relier par ondes radio plusieurs appareils informatiques (ordinateur, routeur, smartphone, décodeur Internet, etc.) au sein d'un réseau informatique afin de permettre la transmission de données entre eux. Grâce aux normes Wi-Fi, il est possible de créer des réseaux locaux sans fil à haut débit. En pratique, le Wi-Fi permet de relier des ordinateurs portables, des machines de bureau, des assistants personnels (PDA), des objets communicants ou même des périphériques à une liaison haut débit : de 11 Mbit/s[1] théoriques ou 6 Mbit/s réels en 802.11b, à 54 Mbit/s théoriques ou environ 25 Mbit/s réels en 802.11a ou 802.11g, 600 Mbit/s théoriques pour le 802.11n[2],[3], et 1,3 Gbit/s[4] théoriques pour le 802.11ac normalisé depuis décembre 2013.
Code QR Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir QR. Publié au Japon en 1999 sous un format de données libre, le code QR fait l'objet d'une normalisation ISO 18004. Histoire[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Il est rendu public en 1999: Denso-Wave publie le QR Code sous licence libre[2] ; cela a contribué à la diffusion du code au Japon. Il existe aussi de nombreux autres fournisseurs de générateurs et de lecteurs. Normes et licences[modifier | modifier le code] En 1999, tout en conservant les droits du brevet, Denso-Wave accorde l'utilisation du QR Code avec une licence libre, défini et publié en tant que norme ISO[4]. Du côté applicatif, il y a des variations entre les mises en œuvre. Fonctionnement[modifier | modifier le code] L'avantage du QR Code est sa facilité et sa rapidité d'utilisation et de création. En ce qui concerne l'écriture, plusieurs sites web permettent de générer librement les codes QR[15]. Structure : Code iQR
le paiement mobile: nfc Google permet désormais de payer depuis sa messagerie électronique Gmail en intégrant son porte-monnaie virtuel, Wallet, lancé sans succès pour le mobile il y a près de deux ans. Le principe de PayPal à ses débuts était le même. Rendre les virements bancaires aussi simples qu'un mail dans un pays où les virements traditionnels étaient compliqués. Google vient d’annoncer, dans le cadre de sa grande conférence pour les développeurs I/O, une nouvelle offensive dans le paiement en ligne en permettant aux utilisateurs de sa messagerie Gmail de virer de l’argent gratuitement depuis leur compte (voir la vidéo d'explication). Google ajoute dans sa messagerie électronique un bouton « envoyer de l’argent », une icône "dollar" à cliquer à côté de celle des pièces jointes, pour effectuer le transfert d’argent (limité à 10.000 dollars), à condition d’avoir un compte Google Wallet (dûment crédité auparavant ou, à défaut, en reliant sa carte de crédit).
ex. utilisation NFC 4G Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En télécommunications, 4G est la 4e génération des standards pour la téléphonie mobile. Succédant à la 2G et la 3G, elle permet le « très haut débit mobile », c'est-à-dire des transmissions de données à des débits théoriques supérieurs à 100 Mb/s, voire supérieurs à 1 Gb/s (débit minimum défini par l'UIT pour les spécifications IMT-Advanced (en)). En pratique, les débits sont de l'ordre de quelques dizaines de Mb/s selon le nombre d'utilisateurs, puisque la bande passante est partagée entre les terminaux actifs des utilisateurs présents dans une même cellule radio. Une des particularités de la 4G est d'avoir un « cœur de réseau » basé sur IP et de ne plus offrir de mode commuté (établissement d'un circuit pour transmettre un appel "voix"), ce qui signifie que les communications téléphoniques utiliseront la voix sur IP (en mode paquet). Normes 4G[modifier | modifier le code] Historique de déploiement[modifier | modifier le code]
Données ouvertes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Donnée. Selon les pays, une part plus ou moins importante de la donnée publique est mise à disposition de tous dans le champ des données ouvertes. Ce mouvement est en expansion Les données ouvertes à la Loupe Autocollants utilisés par les militants des données ouvertes Une donnée ouverte est une donnée numérique d'origine publique ou privée. L'ouverture des données (en anglais open data) représente à la fois un mouvement, une philosophie d'accès à l'information et une pratique de publication de données librement accessibles et exploitables. Elle s'inscrit dans une tendance qui considère l'information publique comme un bien commun (tel que défini par Elinor Ostrom) dont la diffusion est d'intérêt public et général. En Europe et dans certains pays, des directives et lois imposent aux collectivités de publier certaines données publiques sous forme numérique. Remarque : Le présent article est généraliste.
Paiements sur mobiles : Gartner ne croit plus au NFC Développement du NFC, intégration de portefeuilles virtuels dans les smartphones, mise en place d'éco-systèmes avec les banques, les opérateurs, les commerçants, implication des géants de la carte comme Visa..., tout se met en place pour un décollage rapide des paiements depuis un mobile ou un smartphone (m-commerce). Et selon Gartner, l'attente est bien là avec une croissance attendue de 44% cette année dans le monde, à 235 milliards de dollars de transactions. "Nous tablons sur une croissance moyenne de 35% par an entre 2012 et 2017. Du côté des technologies de paiements, Gartner estime que le NFC, pourtant soutenu dans de nombreux pays comme la France, n'a plus le vent en poupe. "Nous pensons que le NFC ne pèsera que 2% des transactions mobiles (en valeur) en 2013 et 5% en 2017", poursuit Gartner. Les transferts d'argent resteront très utilisés car ils sont moins coûteux via un mobile qu'à travers les systèmes classiques.
Annonces iPhone 5S, iBeacon et NFC : la réalité derrière la fiction iphone ibeacon NFC Les annonces de nouvelles versions d’iPhone suscitent régulièrement une hystérie médiatique en particulier sur le Net. Chaque fonction présente ou absente est abondamment commentée sans toujours le recul nécessaire à une analyse sereine, spécialement en 140 caractères. Le lancement des versions iPhone 5S et 5C n’a pas failli à la règle. En dehors de l’activation biométrique, deux informations ont fait le buzz : l’absence pourtant prévisible de la technologie NFC ainsi qu’un mot, un seul sur une slide, "ibeacons". Maintenant que quelques jours ont passé et que les médias 2.0 et la twittosphère ont trouvé autres choses à commenter comme l’introduction en bourse de Twitter ou la mise à disposition par Paypal des données personnelles de ses clients vers des sociétés tierces, sujets qui devraient les occuper quelques jours, voyons dans le calme ce qu’il en est. Qu’est ce qu’un beacon et quel est le lien avec le NFC ? La traduction littérale de beacon est balise ou phare.
Bluetooth Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les premiers appareils utilisant la version 4.0 de cette norme sont apparus début 2010. Origine du nom[modifier | modifier le code] Le nom « Bluetooth » est directement inspiré du surnom anglicisé du roi danois Harald à la dent bleue (en danois Harald Blåtand, en anglais Harald Bluetooth), connu pour avoir réussi à unifier les tribus danoises au sein d'un même royaume, introduisant du même coup le christianisme. L'idée de ce nom a été proposée en 1996 par Jim Kardach d'Intel, un ingénieur travaillant alors sur le développement d'un système qui allait permettre aux téléphones cellulaires de communiquer avec des ordinateurs. Au temps où Kardach fit cette proposition, un homologue d'Ericsson lui avait parlé de ce souverain après avoir lu le roman historique Orm le Rouge de Frans Gunnar Bengtsson, se déroulant dans le monde viking sous son règne[1]. (Hagall) (ᚼ) et (Bjarkan) (ᛒ). Historique[modifier | modifier le code] Ils définissent :