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Réflexion sur les styles d'apprentissage

Réflexion sur les styles d'apprentissage
Tout au long de son parcours scolaire, l’élève apprend à connaître ses forces et ses faiblesses, grâce auxquelles il développe des stratégies métacognitives. Ces stratégies optimisent sa manière de traiter l’information, ce qui joue un rôle majeur dans la qualité de ses apprentissages. Shutterstock / Style-photography Carolina Kuepper-Tetzel a publié sur le site Web The Learning Scientists le résumé d’une recherche menée par Donggun An et Martha Carr, qui critiquent l’adaptation de l’enseignement en fonction des styles d’apprentissage (concept que certains lient aux « styles cognitifs »). An et Carr utilisent le terme styles d’apprentissage pour désigner les « styles cognitifs », un concept dont la validité scientifique est contestée. À ne pas confondre avec les préférences d’apprentissage qui désignent « les styles d’apprentissage métacognitifs et multidimensionnels fondés sur les approches de l’apprentissage par l’étudiant » (Buysse, 2014, p. 6). [Apprentissage : à chacun son style?]

http://rire.ctreq.qc.ca/2017/08/styles-apprentissage/

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Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Car c’est précisément ce qui nous permet d’apprendre. Attirer des étudiants autonomes. Le paradoxe presque résolu de l’apprentissage à distance Le but d’une formation est fondamentalement de produire un finissant capable d’appliquer ce qu’il a appris avec les résultats attendus et de voir celui-ci réussir dans le domaine étudié. On crée normalement une formation dans un esprit qui s’approche de cet énoncé. De son point de vue, le but d’un étudiant est normalement tourné vers un achèvement plus ou moins précis : «finir ma scolarité obligatoire», «entrer à l’université» «devenir mécanicien, chimiste», «devenir programmeur java, mécanicien aéronautique» ou autre emploi spécialisé; ces buts laissent plus ou moins de latitude et dans les derniers cas mènent souvent à une ou deux écoles bien déterminées avec un choix d’autant plus restreint. Où se situe l’autonomie pour un étudiant lorsqu’un curriculum est entièrement défini ou presque ? Spécialement en formation à distance dans les domaines bien établis, les cours sont «stabilisés» et leur raffinement parfois poussé au statut «d’oeuvre». Modalités d’apprentissage

Créer des supports pédagogiques interactifs avec Spiral Combien de fois avez-vous essayé de réaliser des supports pédagogiques interactifs pour rendre vos séances de cours plus intéressantes sans jamais pouvoir aller au bout de votre démarche ? Trop compliqué ? Trop chronophage ? Pas assez de moyens à disposition ?…Bonne nouvelle ! Les neurosciences inspirent l'enseignement À l'heure où tant de questions se posent sur l'enseignement, on se prend à rêver : et si les connaissances sur le cerveau dont nous disposons aujour- d'hui servaient à mieux comprendre comment les élèves apprennent et à mieux cibler les méthodes et stratégies utilisées pour transmettre les connaissances ? Mais dans les sphères de l'enseignement, on ignore à peu près tout de la façon dont notre cerveau permet d'avoir prise sur le temps et l'espace, l'attention, la motivation et, d'une façon générale, la régulation des émotions. Aujourd'hui, on peut se demander pourquoi ceux qui conçoivent la formation des enseignants n'ont pas jugé pertinent d'introduire, comme pour les futurs psychologues, des bases de neurosciences. Car c'est bien le cerveau qui permet d'apprendre, et ce dernier obéit à des règles de fonctionnement. Les neuroscientifiques savent à quel point émotion et cognition sont liées.

Formation E-learning : Les soignants (infirmier, iade, ibode...) bientôt tous concernés À l’heure de l’explosion des nouvelles technologies et du développement numérique, le e-learning prend une place de plus en plus importante dans la formation continue des salariés. Même si le milieu hospitalier a un peu de retard par rapport aux autres secteurs, les soignants seront bientôt tous concernés. © iStock/Arda Guldogan « Le e-learning se développe très lentement dans le milieu hospitalier. Il n’est pas encore ancré dans la culture de formation des professionnels de santé », explique en guise de présentation Lisette Cazellet, consultante en formation pour l’association Formatic Santé. Pourtant, dans d’autres milieux, l’utilisation des nouvelles technologies et d’Internet pour se former est chose plus commune. « Les laboratoires pharmaceutiques, les banques, les assurances, les grands comptes comme EDF ou La Poste proposent depuis longtemps des formations e-learning à leur personnel », ajoute-t-elle.

Pédagogie interrogative, active, co-active, inversée... quelles différences ? Il existe un nombre infini de méthodes et techniques pédagogiques. Aucune n’est meilleure que l’autre, tout dépend du contexte dans lequel elles sont utilisées. On peut les classer aujourd’hui en cinq grandes familles. Voici leurs avantages et leurs inconvénients. 1) Pédagogie Expositive Les pédagogies dites « expositives » ou « transmissives » ou encore « magistrales » ont longtemps été le modèle de référence en formation. Parlons apprentissage Qu’est-ce qu’un neuromythe ? Un neuromythe est une fausse croyance à propos du fonctionnement du cerveau. Par exemple, croire que nous n’utilisons que 10 % de notre cerveau constitue un neuromythe. Récemment, des études effectuées dans plusieurs pays ont révélé la présence de certains neuromythes en éducation, plus précisément chez les enseignants (Dekker et al., 2012). […]

Plan étudiants : focus sur les études en santé Après « 3 mois de concertation, 11 groupes de travail et 55 réunions mobilisant 250 participants et 29 organisations », le Premier ministre, la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et le ministre de l’Éducation nationale ont présenté, le 30 octobre, les propositions du Gouvernement en faveur de l’accueil et la réussite des étudiants. Différentes mesures ont été notamment annoncées concernant l'augmentation du budget de l'Enseignement supérieur, la fin du tirage au sort pour l'accès à certaines filières universitaires, le soutien à un plus grand pouvoir d'achat ou à une faciliation de l'accès au logement des étudiants. Différentes annonces ont été faites spécificiquement pour les études en santé : le Gouvernement prévoit d’augmenter les capacités d’accueil des filières les plus demandées, dont la Première année commune aux études de santé (PACES).

La taxonomie de Bloom et le digital learning Benjamin Bloom, psychologue américain spécialisée en pédagogie, a proposé, en 1956, avec un collectif d’universitaires un référentiel pour classer les objectifs d’apprentissage du domaine cognitif en six niveaux allant du plus simple au plus complexe, la Taxonomie de Bloom. Taxonomie de Bloom – 1956 Origines et définition Ce référentiel a pour objectif de proposer aux enseignants et formateurs un outil permettant de situer le niveau d’acquisition des élèves, notamment en posant des questions simples. Si elle s’applique en France à certains référentiels de l’éducation nationale, ou encore dans l’enseignement supérieur, elle est d’avantage utilisée dans le K12 américain.

Survol - TA@l’école SurvolLDAOeng2017-05-05T16:06:29+00:00 Bienvenue au module d’apprentissage en ligne de TA@l’école portant sur les fonctions exécutives. Le présent module offre une exploration détaillée des fonctions exécutives en lien avec les troubles d’apprentissage (TA) et le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), et ce à tous les niveaux scolaires. Dans ce module, les huit habiletés de fonctionnement exécutif seront décrites ainsi que des indicateurs et stratégies pédagogiques. Ensuite, les mesures de dépistage seront décrites.

L’apprenant La décision, par l’apprenant, d’investir des efforts pour réaliser des apprentissages prend en considération cinq facteurs, selon Viau (2003). J’utilise ici le terme investir plutôt que consacrer. L’un fait appel à l’anticipation d’un résultat plus grand que le coût de l’effort, tandis que l’autre fait plutôt appel à une croyance que c’est la bonne chose à faire. Compétences du formateur Différencier les pratiques, individualiser les parcours, prendre en compte l'hétérogénéité font travailler fortement l'identité professionnelle. C'est l'apparition d'une logique plus complexe, plus floue, mais plus pertinente, plus personnalisante du métier. Elle touche autant l'enseignant dans sa classe que le formateur face à un public d'adultes corrélats: style d'enseignement, guidance, facteurs d'efficacité de l'apprentissageles 6 postures du formateur Le tableau synoptique tranche en deux colonnes (logique d’enseignement, logique de formation), mais il s’agira bien plus pour chacun d’entre nous de nous interroger sur la place où nous mettons le curseur. Ces deux approches sont complémentaires ; cependant la validation des compétences, en fonction des indications du socle, nous invite à découvrir bien des aspects d’organisation de la formation, avant que de s’intéresser directement à l’évaluation terminale.

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