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Taux intermittent, site de calcul d'allocations des intermittents du spectacle

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intermittents Suivre des stages de perfectionnement, se reconvertir, se qualifier, via des actions de formation plus longues, faire le point sur ses compétences, valider ses acquis professionnels... L'Afdas offre aux intermittents, artistes et techniciens du spectacle et de l'audiovisuel, des services de recherche de formation, et assure le financement des actions. Trouver un stage Avant de choisir un stage, prenez connaissance des modalités de financement dans la rubrique "informations techniques". Le type de formation choisie conditionne la façon dont vous devez mener votre recherche... Obtenir un financement Les conditions et modalités de demande de financement diffèrent selon le type de stage. Dates des commissions (hors CIF) Ces commissions sont chargées d'étudier, pour les intermittents du spectacle, les demandes de financement pour les stages non conventionnés. Se reconvertir, se qualifier (CIF) Le CIF vous permet de suivre des actions de formation pour vous qualifier, évoluer ou vous reconvertir.

Une vitrine en ligne idéale pour les artistes Tous, nous rêvons de ce que nous ferons lorsque nous serons débarrassés des tâches quotidiennes. Ces rêves-là nous désignent un point d'arrivée. Notre capacité à nous mettre en projet balisera le chemin qui nous y conduira, peut-être. Et si nous regardions ailleurs, hors de notre boîte, pour accomplir nos rêves ? Cet ailleurs revêt bien des aspects. Observer de près ce que l'on ne regarde même pas tout au long de l'année; affûter sa curiosité, saisir l'étrange dans le banal; tester des approches nouvelles. Illustration : Adam Vilimek, Shutterstock.com

Spectacle vivant en Bretagne Plateaux N° 210 Trimestre: Juillet / Août / Septembre 2012 Edito Austérité, non merci Les arbitrages, ainsi pudiquement appelés, ont été rendus et contraire­ment à ce qui avait été annoncé, le ministère de la culture ne sera pas épar­gné par les coupes et autres restrictions budgétaires. Ces restrictions vont s'afficher à tous les niveaux, par le biais des coupes et par des non augmentations prenant en compte l'inflation. Dans les semaines à venir, nos organisations syndicales - dont le SFA - seront, nous l'espérons, sollicitées pour présenter des contributions et débattre autour de la mise en place d'une loi d'orientation pour la création et le spectacle vivant, sur une nouvelle éta­pe de la décentralisation et la définition de nouveaux champs de compétences entre pouvoirs publics et collectivités territoriales, sur l'évolution numérique à travers la mission confiée à Pierre Lescure. Il convient de se mobiliser pour faire entendre toujours et encore notre voix. La Délégation générale Sommaire Avignon 2012

REDITEC - SITE OFFICIEL Les majors de la musique veulent croire au streaming LE MONDE | • Mis à jour le | Par Alain Beuve-Méry Après l'espoir, la rechute ? L'année 2012 avait représenté une divine surprise : pour la première fois depuis treize ans, le chiffre d'affaires des majors s'était stabilisé. Mais en 2013, les revenus de la musique enregistrée dans le monde ont à nouveau reculé, et sensiblement : de près de 4 %, à 15 milliards de dollars (10,8 milliards d'euros), selon les chiffres rendus publics, mardi 18 mars, à Londres par l'IFPI, la Fédération internationale de l'industrie phonographique. Certes, les mauvaises performances du Japon, deuxième marché du monde pour la musique, plombent le secteur : le chiffre d'affaires des majors s'y est effondré de 16,7 % en 2013. Sans ces ventes en berne dans l'Archipel, le marché mondial n'aurait reculé que d'un tout petit 0,1 %. Lire également le zoom sur le marché japonais : Très en retard sur le numérique, le Japon est toujours friand de CD (édition abonnés)

Les 9 points fondamentaux à prendre en compte dans la négociation de vos contrats Après son article sur ce qu’était le nouveau statut d’agent artistique, puis sur l’épineuse question de la dénomination de la dénomination du groupe musical après dissolution et sur le régime social des redevances et avances sur redevances, Didier Felix se penche sur les points essentiels d’un contrat. Didier Felix, anciennement avocat qui a décidé de se tourner vers le métier d’entrepreneur avec Deal Point, un service qui s’adresse aux producteurs, éditeurs ainsi qu’aux créateurs et artistes désireux de se structurer pour la meilleure exploitation de leurs œuvres, productions et prestations et l’optimisation de leurs revenus, revient aujourd’hui sur les différents points à prendre en compte dans vos négociations contractuelles. Dans toute négociation il y a un certain nombre de points à prendre en considération afin que les parties aient une parfaite compréhension de leurs droits et obligations. Ces « deal points » listés ci-après sont au nombre de neuf : Deal Point n°4 : - Flexibilité.

Le déficit des intermittents n’existe pas C’était le 26 juin 2003. Historique. Un protocole d’accord était signé pour réformer le régime spécifique d’assurance chômage des intermittents du spectacle. Cette déflagration dans le monde de la culture en avait entraîné d’autres : l’annulation de tous les principaux festivals, dont le plus célèbre de tous, celui d’Avignon. En cinquante-six ans d’existence, jamais pareille chose ne s’était produite. Dès juillet 2003, nous, les principaux concernés, avons affirmé, preuves à l’appui, que ce déficit n’existait pas, que c’était de la pure idéologie. C’était sans compter sur la puissance d’Internet. C’était le 26 février 2013. Au bout de dix ans de lutte, cette victoire n’est pas mince : deux ministres viennent de se prononcer officiellement contre le discours dominant, l’argument choc qui a justifié une réforme injuste et inadaptée, l’analyse médiocre et infondée produite encore récemment par la Cour des comptes. (1) www.cip-idf.org

Intermittents du spectacle : la martingale de la requalification en CDI à temps plein ! (cass. soc. 9 janv. 2013) Dans un arrêt du 9 janvier 2013, la Cour de cassation incite une nouvelle fois les intermittents du spectacle à demander en justice la requalification de leur CDD en CDI à temps plein. This is serious business! 1) L'article L3123-14 du code du travail Aux termes de l'article L3123-14 du code du travail, le contrat écrit du salarié à temps partiel doit mentionner la durée hebdomadaire ou, le cas échéant, mensuelle prévue et la répartition de la durée du travail entre les jours de la semaine ou les semaines du mois. L'absence d'écrit mentionnant la durée du travail et sa répartition fait présumer que l'emploi est à temps complet et qu'il incombe à l'employeur qui conteste cette présomption de rapporter la preuve, d'une part, de la durée exacte hebdomadaire ou mensuelle convenue, d'autre part que le salarié n'était pas placé dans l'impossibilité de prévoir à quel rythme il devait travailler et qu'il n'avait pas à se tenir constamment à la disposition de l'employeur. M. A bon entendeur,

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