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Coluche

Coluche
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Colucci. Coluche L'humoriste et son image de clown, durant les années 1970 (dessin original). Compléments Michel Colucci, dit Coluche, est un humoriste et comédien français, né le dans le 14e arrondissement de Paris et mort le à Opio (Alpes-Maritimes). Fils de Honorio Colucci (originaire d'un petit village italien de la région de Frosinone, Casalvieri) et de Simone Bouyer, il adopte le pseudonyme « Coluche » à l'âge de 26 ans, au tout début de sa carrière. Avant 1976, il occupe des rôles de second plan au cinéma avant de camper des personnages plus centraux puis de tenir le haut de l'affiche durant les années 1980, essentiellement pour des comédies. Tour à tour provocateur ou agitateur par ses prises de position sociales, il se présente à l'élection présidentielle de 1981 avant de se retirer[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Montrouge[modifier | modifier le code] Related:  Penseurs, philosophes, Pédagogues

André Comte-Sponville Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. André Comte-Sponville, né le à Paris, est un philosophe français. Il est membre du Comité consultatif national d'éthique depuis mars 2008. Biographie[modifier | modifier le code] C'est un philosophe se décrivant comme matérialiste, rationaliste et humaniste. À sa sortie de l'Ecole Normale Supérieure, il enseigne une année la philosophie au lycée Adolphe Chérioux de Vitry-sur-Seine, puis deux ans au lycée de Landrecies (Nord), deux ans au lycée Joseph Fourier, à Auxerre (Yonne), enfin trois ans à l'Ecole Normale d'instituteurs de Melun, en Seine-et-Marne. Il fut ensuite pendant quatorze ans assistant puis maître de conférences à l'Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne[3] . Il est membre du Comité consultatif national d'éthique depuis mars 2008[4]. Il est membre du comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité[5], et déclare en 2007 « la liberté de choix est une valeur plus haute que la vie »[6].

Jean-Marc Reiser Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Reiser. Jean-Marc Reiser, dit Reiser, qui a signé à ses débuts Jean-Marc Roussillon (né à Réhon en Meurthe-et-Moselle le 13 avril 1941 et mort à Paris, le 5 novembre 1983 des suites d'un cancer des os), est un auteur de bande dessinée français connu pour ses planches à l'humour féroce. Biographie[modifier | modifier le code] Parmi les principales caractéristiques de son style, on peut retenir : Son habitude de parler des gens ordinaires, de leur vie de tous les jours. La tombe de Reiser, d'une forme peu conventionnelle, a été brocardée par Pierre Desproges (qui vouait une véritable admiration pour Reiser) dans l'un de ses sketches[réf. nécessaire]. Elle présente en fait le profil d'une aile car Reiser était un passionné d’aviation (il est l’un des pionniers du vol libre français à travers l’expérimentation des ailes delta). Œuvre[modifier | modifier le code] Albums et recueils[modifier | modifier le code]

Gilles Deleuze Sa thèse de philosophie est centrée sur le concept de « différence » et « répétition », c'est-à-dire au rapport du même à la ressemblance, de la copie au double, et de l'effet de la répétition à l'infini par rapport à un original. Il y prend comme référence Gottfried Wilhelm Leibniz, qui était à la fois métaphysicien et mathématicien. Deleuze tente d'y développer une métaphysique, en accord avec la physique et les mathématiques de son temps (les années 1960), dans laquelle les concepts de multiplicité, d'événement et de virtualité remplacent respectivement ceux de substance, d'essence et de possibilité. La pensée de Deleuze est parfois également associée au post-structuralisme, bien qu'il ait déclaré s'être toujours vu comme un métaphysicien. Deleuze a reçu en 1994 le grand prix de philosophie de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et formation[modifier | modifier le code] « Nous étions atterrés. — Pourparlers, p. 225

Pierre Desproges Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Desproges Pierre Desproges sur scène (1985). Pierre Desproges, né le à Pantin et mort le à Paris, est un humoriste français réputé pour son humour noir, son anticonformisme et son sens de l'absurde. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Pierre Desproges (2e personne sur la gauche) à Châlus, le 26 septembre 1958. Issu d'une famille de commerçants de Châlus (Haute-Vienne), Pierre Desproges passe une partie de son enfance à Luang Prabang (Laos), où son père enseigne le français avant de devenir professeur à Paris[1]. L'Aurore[modifier | modifier le code] Radio et télévision[modifier | modifier le code] Il participe ensuite à plusieurs émissions de radio sur France Inter : En 1982, il collabore quelques mois au scénario de l'émission Merci Bernard sur FR3. Au début de l'année 1988, quelques semaines avant son décès, Pierre Desproges tourne une pub parodique avec Les Nuls.

Appel de l’Abbé Pierre Appel de l’Abbé Pierre prononcé le 1er février 1954 sur les antennes de Radio-Luxembourg Mes amis, au secours… Une femme vient de mourir gelée, cette nuit à trois heures, sur le trottoir du boulevard Sébastopol, serrant sur elle le papier par lequel, avant hier, on l’avait expulsée… Chaque nuit, ils sont plus de deux mille recroquevillés sous le gel, sans toit, sans pain, plus d’un presque nu. Devant l’horreur, les cités d’urgence, ce n’est même plus assez urgent ! Écoutez-moi : en trois heures, deux premiers centres de dépannage viennent de se créer : l’un sous la tente au pied du Panthéon, rue de la Montagne Sainte Geneviève ; l’autre à Courbevoie. Ils regorgent déjà, il faut en ouvrir partout. La météo annonce un mois de gelées terribles. Déposez-les vite à l’hôtel Rochester, 92, rue de la Boétie. Merci !

Jean-Louis Fournier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Fournier. Jean-Louis Fournier peut désigner : Albert Einstein Albert Einstein en 1947. Il publie sa théorie de la relativité restreinte en 1905 et sa théorie de la gravitation, dite relativité générale, en 1915. Il contribue largement au développement de la mécanique quantique et de la cosmologie, et reçoit le prix Nobel de physique de 1921 pour son explication de l’effet photoélectrique[N 2]. Son travail est notamment connu du grand public pour l’équation E=mc2, qui établit une équivalence entre la masse et l’énergie d’un système. Biographie Jeunesse Son père, Hermann Einstein, né le 30 août 1847 à Buchau, est mort le 10 octobre 1902 à Milan. Les Einstein sont des juifs non pratiquants, mais un parent enseigne à Albert les éléments du judaïsme. L'intérêt d'Albert pour la science est éveillé par une boussole alors qu'il est âgé de cinq ans : l'existence d'une action à distance lui paraît « miraculeuse » et l'étonne très vivement. De douze à seize ans, il apprend en autodidacte le calcul différentiel et intégral[4]. Formation Carrière Mort Année 1905 Notes

Dennis Ritchie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ritchie. Au début des années 1970, programmeur aux Laboratoires Bell, il travaille avec Ken Thompson au développement d'Unix. Il reçoit conjointement avec Ken Thompson le prix Turing de l'ACM en 1983 pour leur travail sur le système Unix. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Bronxville, État de New York, Dennis Ritchie étudie la physique ainsi que les mathématiques appliquées à Harvard, y obtenant un doctorat. C et Unix[modifier | modifier le code] Son invention du langage C et sa participation au développement d'Unix au côté de Ken Thompson ont fait de lui un pionnier de l'informatique moderne. Il est corécipiendaire avec Ken Thompson du Japan Prize de 2011[10]. Publications[modifier | modifier le code] (en) Brian Wilson Kernighan et Dennis MacAlistair Ritchie, The C Programming Language, New Jersey, États-Unis, Prentice Hall,‎ 1988 (1re éd. 1978, 228 p.), 274 p. Honneurs[modifier | modifier le code]

Frédéric Lordon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Frédéric Lordon Frédéric Lordon en août 2011. Frédéric Lordon est un économiste et philosophe français d'inspiration spinoziste[1] né le . Il est directeur de recherche au CNRS et chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE)[2]. Il est membre du collectif « Les Économistes atterrés ». Biographie[modifier | modifier le code] Élève de l'École nationale des Ponts et Chaussées (promotion 1985) et de l'Institut supérieur des affaires (promotion 1987)[3]. Il soutient sa thèse de doctorat en 1993 à l'EHESS avec le sujet : Irrégularités des trajectoires de croissances, évolutions et dynamique non-linéaire. Ses travaux comportent notamment un programme de recherche spinoziste en sciences sociales[5] et en sociologie économique[6]. Il participe au Manifeste d'économistes atterrés[10]. Interventions dans Le Monde diplomatique[modifier | modifier le code] Le SLAM[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code]

Oblomovisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine du terme[modifier | modifier le code] Le terme, imaginé par Gontcharov, fait référence à l'apathie légendaire d’Oblomov, le héros du roman homonyme. C'est l'un des derniers mots du roman : lorsqu'on demande à Stolz, l'ami d'Oblomov, la cause de la mort de ce dernier, celui-ci répond : « La cause... quelle cause ! L'oblomovisme ! »[2] Traduction[modifier | modifier le code] Selon Pierre Cahné, qui a préparé l'édition Gallimard, Oblomoverie correspond mieux au russe Oblomovchtchina en rendant de façon plus claire l'aspect péjoratif du terme. Influence[modifier | modifier le code] En 1859, le critique littéraire russe Nikolaï Dobrolioubov publie dans Le Contemporain une critique du roman, en particulier de son personnage principal, intitulée Qu'est-ce que l'oblomoverie ? Pour le critique littéraire, « le roman décrit une société et trouve la clé des maux dont elle souffre[6] ». — Nikolaï Dobrolioubov, Qu'est-ce que l'oblomoverie[9] ?

Mohandas Karamchand Gandhi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Mahatma Gandhi Mohandas Karamchand Gandhi, en août 1942 Mohandas Karamchand Gandhi (en gujarati મોહનદાસ કરમચંદ ગાંધી (mohandās karamcaṃd gāndhī), API [ˈmoː.ɦən.d̪aːs ˈkə.rəm.t͡ʃənd̪ ˈɡaːn.d̪ʱi ] Écouter), né à Porbandar (Gujarat) le 2 octobre 1869 et mort assassiné à Delhi le 30 janvier 1948, est un dirigeant politique, important guide spirituel de l'Inde et du mouvement pour l'indépendance de ce pays. Il est communément connu et appelé en Inde et dans le monde comme le Mahatma Gandhi (du sanskrit, mahatma : « grande âme ») – « Mahatma » étant toutefois un titre qu'il refusa toute sa vie d'associer à sa personne[1] –, voire simplement Gandhi, Gandhiji ou Bapu (« père » dans plusieurs des langues en Inde). Gandhi conduisit la marche du sel, célèbre opposition à la taxe sur le sel. Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant.

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