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Écosophie

Écosophie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’écosophie est un concept forgé par le philosophe Arne Næss à l'Université d'Oslo en 1960. C'était au début du mouvement de l'écologie dite écologie profonde qui invite à un renversement de la perspective anthropocentriste : « l’homme ne se situe pas au sommet de la hiérarchie du vivant, mais s’inscrit au contraire dans l’écosphère comme une partie qui s’insère dans le tout » — Arne Næss , [1]. C'est autour de ce constat que va se développer l'écosophie comme un courant de pensée du mouvement écologiste depuis les années 1960. Ce courant est proche de celui de l'éthique environnementale qui remet en cause l'homme comme mesure de toute chose, ou comme sommet absolu de l'évolution, s'autorisant à puiser sans limite dans les ressources naturelles. Les trois écologies de Félix Guattari[modifier | modifier le code] — Anne Querrien, « Les Cartographies schizoanalytiques », Les Mardis de Chimères, juin 2008 [lire en ligne][MP3] Autres textes

Ivan Illich Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ivan Illich Biographie[modifier | modifier le code] Son père, Piero, vient d'une famille possédant des terres (vignes et oliviers) en Dalmatie, près de la ville de Split en Croatie. Sa mère, Ellen, descend d'une famille juive allemande convertie. Pendant les années 1930, la xénophobie et l'antisémitisme montent en Yougoslavie. Venant d'une famille aristocratique ayant d'anciens liens avec l'Église catholique, il était destiné à devenir un prince de l'Église[2]. Mais en 1951, il part aux États-Unis avec l'idée d'étudier les travaux d'alchimie d'Albertus Magnus à Princeton. En 1956, il est nommé vice-recteur de l'université catholique de Porto Rico. Il quitte Porto Rico en 1960 à la suite d'un différend avec la hiérarchie de l'Église, représentée par deux évêques qui, participant à la vie politique, s'opposent à tout candidat qui voudrait légaliser les préservatifs[3]. Théories[modifier | modifier le code] — Ivan Illich, Énergie et équité, 1975

mycelium Accueil Ecologie de l’attention 28, janvier 2010 | Publié : Recherches | À l’époque des technologies culturelles et cognitives et de leur convergence, la question est abordée à la fois depuis l’héritage théorique issu de la phénoménologie (où l’attention est définie comme ce qui se forme par la composition de ce que Husserl appelait des rétentions et des protentions) et depuis les apports récents des travaux en économie et en cognition de l’attention. Sont également pris en compte des éléments cliniques dans le domaine des pathologies de l’attention aussi bien que des expérimentations menées principalement en Amérique du Nord pour articuler ce qui a été appelé la deep attention avec l’hyper attention. Séminaires relatifs à cet objet de recherche: Projet relatif à cet objet de recherche: TicTac

Ethos Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’ethos (ou êthos, du grec ancien ἦθος ễthos, pluriel ἤθη ếthê) est un mot grec qui signifie le caractère habituel, la manière d'être, les habitudes d'une personne. Par exemple, la joie, le courage, la mollesse sont des êthê. L’ethos d'un peuple trouve ses racines dans sa longue histoire. Rhétorique[modifier | modifier le code] Pour l’art rhétorique, l’ethos correspond à l'image que le locuteur donne de lui-même à travers son discours. L’ethos représente le style que doit prendre l’orateur pour capter l’attention et gagner la confiance de l’auditoire, pour se rendre crédible et sympathique. Tandis que le logos représente la logique, le raisonnement et le mode de construction de l’argumentation. S'inspirant de la rhétorique aristotélicienne, Roland Barthes liait l’ethos à l’émetteur, le pathos au récepteur et le logos au message. Voir aussi[modifier | modifier le code]

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