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Université Ouverte des Humanités: Le projet

Les ''bonnes raisons'' de Raymond Boudon * Cet ouvrage a été publié avec l’aide du Centre national du livre. Depuis 1977 et son ouvrage désormais classique intitulé Effets pervers et ordre social (1977) , suivi ensuite d’essais tels que (entre autres) La logique du social (1979) , Le Sens des valeurs (1999) , ou encore Raisons, bonnes raisons (2002) , l’on connaît bien aujourd’hui la théorie centrale qu’a défendue, et défend encore, le sociologue Raymond Boudon. Sans vouloir faire dans le jeu de mot facile, c’est presque sa "raison d’être" que Raymond Boudon reprend ici dans ses Essais sur la théorie générale de la rationalité. Étendre les limites de la rationalité - Déplacer les frontières du rationnel Le premier chapitre de l’ouvrage intitulé "Une théorie générale de la rationalité (TGR)" réunit deux articles issus eux-mêmes de contributions de l’auteur à d’autres ouvrages. Dès lors, le véritable apport de cette théorie générale de la rationalité est bien de reprendre en main cette question de la rationalité.

En quoi l’école est-elle inégalitaire ? | skhole.fr L’école française, entend-on souvent, est profondément « inégalitaire ». Elle serait trop « élitiste », trop « sélective », trop « reproductrice », générerait un « échec scolaire » massif, etc. En tout cas, tout semble montrer qu’elle reste aujourd’hui encore largement impuissante à corriger le déterminisme héréditaire des destinées sociales, et très modestement celui des destinées scolaires. Dans le débat public contemporain, en France, ces questions et ces accusations sont récurrentes, et portées notamment, ces dernières années, par des sociologues reconnus, et souvent situés à gauche, tels que Christian Baudelot et Roger Establet[1], François Dubet[2] ou encore Jean-Pierre Terrail[3], avec leurs nuances respectives. C’est d’abord ce démenti flagrant qu’ont cherché à établir et à expliquer P. Bourdieu et J.C. De l’inégalité des chances sociales : le « paradoxe d’Anderson » De l’inégalité des chances scolaires : l’analyse de Raymond Boudon

Révolution cognitiviste Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La révolution cognitiviste ou révolution cognitive, d'après une expression d'Howard Gardner (1985), désigne le mouvement scientifique qui, né à la fin des années 1950, a donné naissance aux sciences cognitives. Dans le domaine de la psychologie, elle a conduit à dépasser le cadre béhavioriste pour revenir à l'étude de la pensée dans une « approche interdisciplinaire du mental »[1]. Le débat majeur entre B. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Daniel Andler, Épistémologie et cognition: colloque de Cerisy, Éditions Mardaga, 1995, p. 7.↑ (en) Nicky Hayes, Foundations of Psychology: an introductory text, Cengage Learning EMEA, 2000, p. 11.↑ Noam Chomsky, Nouveaux horizons dans l'étude du langage et de l'esprit, Stock, 2005, p. 43-44. Bibliographie[modifier | modifier le code] (en) Bernard Baars, The Cognitive Revolution in Psychology, New York, Guilford, 1986.

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