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Baalbek, le gigantisme au service des dieux (2 sur 2) - vidéo dailymotion

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La plus grosse pierre taillée du monde, Baalbek, Liban Les pierres de Baalbek : le TRILITHON Gollum a présenté remarquablement le plus gros bloc de pierre de Baalbek encore en place dans sa carrière d'extraction. Ce bloc n'a pas été utilisé dans la construction des temples, il était peut-être trop lourd pour les ouvriers qui avaient déjà taillé, déplacé et installé les plus grosses pierres du Monde connues sous le nom de "Trilithon". C'est donc de cette même carrière qu'ont été extraites les trois pierres colossales appelées "Trilithon", elles ont été érigées au premier siècle de notre ère. Leur transport et leur installation en position horizontale poseraient des problèmes insurmontables aux ingénieurs modernes même en utilisant les technologies les plus avancées. Malgré l'habileté technique des Romains, on n'en connait pas d'autre exemple dans tout le reste de leur ancien empire. Si l'on dresse ces trois pierres, elles sont hautes comme un immeuble de cinq ou six étages. Source Source Voici sa position exacte sur le plan du Quid Source Quid

Baalbek ou les megalithes de l'impossible Bonjour a toutes et tous j'attaque la section "megalithes" par un des plus incroyable site archéologique existant. Reprenant "la demarche" du forum inspiré par par les menhirs et dolmens cher a Corsair, je me permets donc de remettre sur le tapis ( et selon moi ) le mystere des trilithes de Baalbek. Comme nous les savons les romains ont construit le temple de jupiter sur les ruines de Baalbek ... dont on ne connait pas l'origine exacte et pour cause . l'echelle humaine en rapport avec les blocs est impressionnante .... l'hypothèse de l'utilisation d'un moyen de levage quelqconque pour deplacer ces megalithes peut être serieusement mis en cause ... notamment les outils humains qui n'existent pas pour de telles prouesses. amicalement Lionel

Archéologie mystérieuse : Nouvelles découvertes à Baalbek et au Québec Archéologie mystérieuse : Nouvelles découvertes à Baalbek et au Québec Un titre étrange et pourtant sans jeux de mots : deux découvertes récentes font évoluer nos connaissances sur des périodes de l'ère archaîque, encore très peu connue. Un monolithe plus large et plus massif que celui connu sous le nom de Hajar al-Hibla découvert sur le site d'une carrière antique. Baalbek au Liban est une ville antique mais aussi un chantier archéologique encore loin d'être complété de nos jours. En effet, c'est à 800 mètres des ruines romaines que des sondages réalisés dernièrement par l'équipe de l'Université du Liban menée par Janine Abdel Massih sur une colline nommée Cheikh Abdallah ont révélés une surprise de taille. Terme adéquat quand ils se sont aperçu qu'il s'agissait d'un bloc unique de pierre taillée, un énorme monolithe plus large et plus massif que la mondialement connue Hajar al-Hibla. Le site avant les récentes fouilles, avec la pierre Hajar el-Hibla seule pour l'instant

À Baalbeck, la colline Cheikh Abdallah livre son troisième monolithe - May MAKAREM Baalbeck est un chantier archéologique en permanente évolution. Les sondages réalisés récemment par Janine Abdel Massih et son équipe de l'UL sur la colline Cheikh Abdallah, à 800 mètres des ruines romaines, ont livré un monolithe plus large et plus massif que la Hajar al-Hibla. Il mesure 19,6 mètres de long, six mètres de large et 5,5 mètres d'épaisseur. « Jusque-là. Car nous n'avons pas encore atteint le fond du roc pour le dégager entièrement », a-t-elle déclaré, ajoutant que les travaux reprendront après la fête du Fitr. Située à l'entrée sud de Baalbeck, la colline Cheikh Abdallah abrite une carrière antique de pierre calcaire conglomérée, qui a approvisionné le chantier de construction du complexe romain. (Pour mémoire : «La Vierge et l'Enfant» sort de l'ombre et s'installe au Musée national) Le mégalithe a été trouvé légèrement en contre-bas de celui connu sous le nom de Hajar al-Hibla (21,50 m de long, 4 m de large et 4,20 m de hauteur).

BAALBEK (35396) - Dictionnaire - TopBible — TopChrétien Ville de la Coelésyrie, ou Békâa, entre le Liban et l'Antiliban, à la limite insensible de partage des eaux entre les bassins du Léontès vers le S. et de l'Oronte vers le N. Elle est célèbre aujourd'hui et souvent visitée pour les ruines imposantes de ses merveilleux sanctuaires, comparables par la masse à ceux de Thèbes et par la grâce à ceux d'Athènes ; voy. fig. 36 à 41, des reproductions de ses temples et de la fameuse pierre inutilisée, aux dimensions colossales (voir Carrière). Il n'a pas encore été dégagé de vestiges de l'époque biblique, car des deux temples, ni le grand (celui de Jupiter), ni le petit (de Bacchus ? 1. 2.

Un troisième bloc monolithe découvert à Baalbek au Liban - Le Nouveau Paradigme L’origine des temples, antérieure au IIIème millénaire, reste méconnue et peu étudiée. De cette époque, on sait seulement que les Phéniciens y célébraient le culte de Baal Haddad, leur équivalent de Jupiter (Baalbek signifie d’ailleurs « le temple de Baal »). Bien qu’attribué aux Phéniciens, l’impressionnant tell sur lequel est bâti le site romain reste une énigme, due à la taille des pierres disposées. La plupart des pierres du tell pèsent plusieurs centaines de tonnes. 3 d’entre-elles, le Trilithon, atteignent même le poids vertigineux de 800 tonnes !! Imaginez des blocs de 19m de long sur 4m de côté (2 bus mis bout à bout) ! – Rappelons que l’obélisque de la Concorde, rapporté à Paris par Napoléon, bien que mesurant 23m de haut, est beaucoup plus fin et ne pèse « que » 230 tonnes.- L’accumulation de pierres aux dimensions si démesurées est unique au monde. Pourquoi avoir décidé de réaliser de tels monolithes, pour ne servir que de fondations ? Les hypothèses :

Georges Tate, Baalbek, une cité romaine du Liban Après avoir suscité l'admiration des voyageurs, les ruines de Baalbek ont inspiré les amateurs de fantastique. Selon eux, les blocs aux dimensions extraordinaires dont les terrasses sont constituées auraient été construits en des temps immémoriaux par des civilisations extraterrestres aujourd'hui disparues… Pour être plus prosaïque, la réalité n'en est pas moins grandiose, comme en témoignent les travaux lents, patients et précis d'archéologues et d'historiens allemands, français et libanais. Georges Tate revient sur les raisons qui ont fait de Baalbek un des sites les plus importants du Proche-Orient classique, à côté de Palmyre et de Pétra. Les ruines occupent un site imposant, une oasis toujours verdoyante dans le secteur le plus haut et le plus aride de la plaine de la Békaa, là où les eaux se partagent entre le Litani qui s'écoule vers le sud et l'Oronte qui se dirige vers le nord, au pied des cimes neigeuses du mont Liban. Un site dominé par trois sanctuaires Georges Tate

Un troisième bloc monolithe découvert à Baalbek au Liban | Courrier archéologique Un article de May Makarem dans l’Orient-Le Jour revient sur cette dernière découverte effectuée par Janine Abdel Massih et son équipe de l’Université Libanaise et de l'Institut français du Proche-Orient sur la colline Cheikh Abdallah, à 800 mètres des ruines romaines située sur le site de Baalbek (anciennement Héliopolis) au Liban. Les fouilles ont livré un monolithe de 19,6 mètres de long, six mètres de large et 5,5 mètres d’épaisseur. « Jusque-là. Car nous n'avons pas encore atteint le fond du roc pour le dégager entièrement », a déclaré Jamine Massih au quotidien francophone libanais. Le mégalithe a été trouvé légèrement en contre-bas de celui connu sous le nom de Hajar al-Hibla ou « la Pierre de la femme enceinte » (21,50 m de long, 4 m de large et 4,20 m de hauteur) - probablement la plus lourde pierre travaillée du monde, son poids est estimé à 1 000 tonnes. Photos (© OLJ) :

Citadelle de Baalbek L’antique Héliopolis, conquise en 635 par les Arabes, prit le nom de Ba‘albak au VIIe siècle, comme l’indiquent ses émissions monétaires[1]. Durant les premiers siècles de la période islamique, elle aurait acquis le statut de ville (madîna), et été dotée d’une enceinte et d’une grande moquée. Mais ce n’est qu’à la suite de la conquête de la Syrie par les Seljukides, alors qu’elle jouait un rôle stratégique dans la lutte contre les Croisés, que ses fortifications furent renforcées. Sous le règne de l’émir Zangî (m. 1146) et de son fils Nûr al-Dîn, le sanctuaire romain fut transformé en citadelle. Suite à l’invasion mongole de 1260, les Mamluks entreprirent la reconstruction de la ville. La transformation du temple de Jupiter en citadelle a consisté à en murer les portes et les portiques, et à réaménager le sommet des murs romains en chemins de ronde, scandés de meurtrières et de mâchicoulis.

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