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Transformez-vous en hackers

Transformez-vous en hackers
Un e-book sur les débuts des lieux de rencontres des hackers raconte la plus fouillée des histoires sur cette contre-culture. OWNI vous propose de tester vos connaissances. Attention: sujet contagieux. C’est une histoire qui a commencé du temps des BBS, ces ancêtres des forums de discussion, que raconte Hackerspaces, the beginning [en] : un e-book de plus de 100 pages de textes et d’images sur les hackerspaces, espaces physiques où se réunissent les hackers, ces bidouilleurs qui utilisent les objets dans un but autre que leur usage initial. En décembre 2008, un groupe de hackers était assis par terre, leurs faces illuminées par la lumière du portable naviguant sur Internet et skypant des amis, du death metal en fond.C’était douze jours avant 25c3 (le congrès annuel du Chaos Computer Club -CCC, [en]-, mythique groupe de hackers allemands). Le succès est si fort que les réponses continuent d’affluer durant plusieurs mois. Les lieux ? Le pouvoir de la do-ocracy : faire plutôt que dire rAmAk

Dessine moi Internet Joli sujet ouvert pour une séance de travail de groupe. C’est le prétexte retenu pour un apprentissage sur l’organisation d’une séance de débat en groupe et la découverte des cartes conceptuelles. De plus , se poser la question de ce qu’est Internet au démarrage d’une formation d’ingénieurs en "Télécom" ou plutôt STIC paraît assez légitime. C’est donc le sujet de la seconde séance de notre projet élèves d’apprentissage par projets. Mais au fait, qu’est ce qu’Internet ? Wikipedia nous précise bien qu’Internet est bien le réseau des réseaux, système standardisé d’interconnexion des réseaux, à ne pas confondre avec le Web, qui n’en est qu’une des applications, en tant que toile d’hyperliens accessibles depuis un navigateur, tout comme le courrier électronique ;Mon collègue Gwendal Simon (@gwendal) a fait une présentation « Internet, pourquoi ça marche ? La préparation de la séance s’effectue par une attribution préalable des trois rôles standards d’une telle séance : Like this:

Vers des robots imprimables Par Hubert Guillaud le 24/04/12 | 2 commentaires | 2,041 lectures | Impression Connaissez-vous ReaDIYmate ? C’est un projet de petits robots en papier constitués d’un bloc moteur et d’un emballage papier personnalisable qui se pilote depuis une application pour smartphone ou depuis un programme d’ordinateur (vidéo). Le kit de développement simplifié proposé pour animer ces petits robots… promet de démocratiser l’usage d’Arduino, souligne Mathilde Berchon, avec un objet très personnalisable (et dont on peut changer l’apparence à l’envie). Si le projet est sympathique, il n’a tout de même pas l’ampleur de celui que vient de lancer le MIT, qui propose de franchir une étape dans la fabrication de robots personnels, en permettant à chacun de les imprimer, comme le font les imprimantes 3D pour tout un tas d’autres objets (voir L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain ?”). Image : l’un des robots imprimable du MIT, photographié par Jason Dorfman/CSAIL. Hubert Guillaud

Le Web, c’est folk LOL Ode aux usagers des ordinateurs, Digital Folklore est un livre qui célèbre la culture amateur d’aujourd’hui et d’hier, invitant le lecteur à une véritable odyssée à travers l’histoire du World Wide Web, sondant la Toile jusque dans ses recoins les plus inavouables et les plus inattendus. Les instigateurs de cette Bible érudite, drôle et décalée, Olia Lialina et Dragan Espenschied, font partie d’une avant-garde artistique qui a exploré le médium dans les années 90, à l’époque héroïque du net.art, bercée par les stridulations d’un modem 28,8 kbit/s, quand le moteur de recherche s’appelait Altavista, que les pages personnelles étaient hébergées sur Geocities et qu’on s’abonnait à des mailing-lists. Une ère où «le Web était scintillant, riche, personnel, lent et en construction» . Les artistes enseignent tous deux à l’université de Stuttgart Merz Akademie, où Olia anime un cours dédié au folklore digital. Comment définiriez-vous cette notion de «folklore numérique» ? Photo Olia Lialina

« Je me modifie, donc je suis » Cyril Fiévet (@cfievet) ne nous est pas inconnu. Ancien journaliste pour InternetActu de 2003 à 2006, il fut l'un des blogueurs français les plus prolixes du début des années 2000 avec son blog, Pointblog, son livre BlogStory et son magazine, Netizen, qui avaient tout trois l'ambition de montrer au grand public ce qu'était ce phénomène alors naissant.Cyril Fiévet s'intéresse depuis des années aux technologies. Editeur et traducteur pour Fyp éditions, il vient de signer Body Hacking, un livre très documenté sur la démarche volontaire de modifier son propre corps, "notamment en lui adjoignant des composants artificiels, dans le but de transformer son comportement naturel". En nous amenant à la rencontre de ces premiers pirates d'eux-mêmes, Fiévet ouvre une boîte de pandore, esquissée philosophiquement par les transhumanistes, qui nous fait passer concrètement de la science-fiction à la plus concrète réalité. Qu'est-ce qui change quand les gens se mettent à s'opérer dans leur cuisine ?

Retro Scan of the Week The time Apple went AOL. In the lost era between Jobs (1985-1996), Apple produced many strange and ill-fated products. Here we see an ad for eWorld, Apple's subscription dial-up online service that launched in June 1994. eWorld offered proprietary features like message forums, email, weather, news, and other information in a fashion similar to CompuServe, Prodigy, or AOL. Due to its high price ($8.95 per month plus $7.90 per hour from 6 AM to 6 PM on weekdays), poor marketing, and the fact that the World Wide Web was breathing down its neck, eWorld never really took off. By the way, Happy New Year! [ From Discover, May 1995, p.27 ] Discussion Topic of the Week: Did you ever use a subscription online service?

Made in ma bibliothèque Le rôle des bibliothèques ne cesse d'évoluer : après nous avoir facilité l'utilisation des médias et d'Internet, voilà qu'elles se mettent à nous accompagner dans nos envies de création en abritant aussi des makerspaces, ces lieux dédiés à la fabrication d'objets. Deux établissements américains viennent de se lancer dans l'aventure. Entrailles de MakerBot par Bre Pettis -cc- Début juillet, la bibliothèque de la petite ville de Westport aux États-Unis a inauguré un nouvel espace. Ces deux initiatives augurent d’une évolution du rôle des bibliothèques. J’ai d’abord appris sur l’impression 3D dans un cours intitulé “innovation dans les bibliothèques publiques” à l’université de Syracuse, où je travaillais mon master en sciences de l’information et des bibliothèques. Aider les usagers à créer C’est une tendance nationale que vous allez voir balayer le pays et vous voyez ici un de ses tout premiers lieux. Le lieu du fablab de Fayetteville encore en travaux en janvier 2012 -cc-Theron Trowbridge

DHQ: Digital Humanities Quarterly: Summer 2011 Managing 100 Digital Humanities Projects: Digital Scholarship & Archiving in King’s Digital Lab James Smithies, King's College London; Carina Westling, King's College London; Anna-Maria Sichani, King's College London; Pam Mellen, King's College London; Arianna Ciula, King's College London Modelling Medieval Hands: Practical OCR for Caroline Minuscule Brandon W. Towards 3D Scholarly Editions: The Battle of Mount Street Bridge Costas Papadopoulos, Maastricht University; Susan Schreibman, Maastricht University Music Scholarship Online (MuSO): A Research Environment for a More Democratic Digital Musicology Timothy C. DH2018: A Space to Build Bridges Molly Nebiolo, Northeastern University; Gregory J. Velvet Evolution: A Review of Lev Manovich's Software Takes Command (Bloomsbury Academic, 2013) Alan Bilansky, University of Illinois Curating Crowds: A Review of Crowdsourcing Our Cultural Heritage (Ashgate, 2014) Victoria Van Hyning, Library of Congress

Cachez ce mashup que je ne saurais voir… A la fin de l’année dernière, j’avais été invité à une conférence organisée à la BPI sur le thème du mashup. Intitulé "Visionner, annoter, monter : les nouvelles pratiques du mashup", cet évènement présentait le grand intérêt de réunir des artistes du mashup, des bibliothécaires et documentalistes, un sociologue consacrant ses recherches à ces pratiques et j’étais chargé de faire le juriste de service pour expliquer l’arrière-plan légal. Cette conférence a été filmée et enregistrée et il se trouve qu’elle a été diffusée par la suite sur le site de France Culture Plus à destination des étudiants, ce qui me paraît une excellente chose en soi, étant donné la place qu’occupent aujourd’hui ces pratiques. Conférence sur le mashup sur le site de France Culture Plus Or à la fin du texte de présentation, on peut lire ceci qui n’a pas manqué de m’interpeller : Or c’est particulièrement dommage, car ces sélections étaient de très grande qualité. It appears my video Meanwhile ( youtube.com/watch?

Humanistica | The future European Association for Digital Humanities The PLA Blog | Official Blog of the Public Library Association I’m home again after a very interesting session about building a National Digital Public Library at the Los Angeles Public Library and I’d like to recap it while offering a few of my own opinions for the readers. Public librarians reading this post: a national digital library movement is most certainly underway, and quite frankly I think it may be the only thing that will prevent our libraries as we know them from simply fading from relevance. I’m aware that my opinions on these matters may be a bit controversial for those libraries and librarians kicking back out there, those that believe providing access to books for public consumption will remain a useful, supported service that your community will tax themselves to keep around. It was excellent to have so many strong voices from public libraries pondering the difficult predicament libraries find themselves in as content lenders in the digital environment. The meeting in Los Angeles was not about this path.

Planned Obsolescence: Publishing, Technology, and the Future of the Academy Alessandra Tosi on a must-read for the massed ranks who fret about the future of the humanities At a time of great uncertainty about the future of the humanities, this informed and stimulating book buzzes with excitement for the opportunities that digital technology can offer to humanities researchers. Considering all aspects of the academic process, from authoring to the nature of text and from referring to dissemination and engagement with readers, Planned Obsolescence enthuses about digital technology's potential to reconnect humanities research with broader social debates, policymakers and general readers. But it also carries a stark warning: do nothing and our disciplines will cease to be relevant. Kathleen Fitzpatrick is not targeting the technophiles already fully converted to the digital cause, but those of us who care about the humanities, fret about the present state and future of our disciplines and wonder what can be done. The Author By Kathleen Fitzpatrick

On a piraté le droit de propriété intellectuelle On a piraté le droit de propriété intellectuelle. C’est en gros ce qu’affirment 180 professeurs de droits et juristes du monde entier qui se sont rassemblés le mois dernier à la Faculté de Droit de l’Université de Washington et ont conclu leurs travaux par une déclaration commune [1]. Que dit cette déclaration ? Tout simplement que les extrémistes du copyright ont étendu au cours des 25 dernières années l’application du droit de propriété intellectuelle à un point qui menace les fondements même de nos sociétés : la liberté d’expression, le droit d’information, la culture, l’éducation et même la santé publique. Autrement dit, c’est le bien public qui est pris en otage par des intérêts privés au nom d’un droit devenu absolu et opposable à tout. Le droit de propriété intellectuelle a toujours été une question d’équilibre, affirment les universitaires, entre les revendications légitimes des créateurs et les besoins de la société.

Eduquer après la Révolution numérique J'étais invité aujourd'hui à intervenir au Séminaire Sankoré "Faire la classe à l'heure du numérique", deux journées passionnantes d'échanges et de débats sur les transformations éducatives. Après de table ronde, intitulée "l'innovation technologique au service de l'éducation" était visiblement pensée comme celle des représentants de la technologie et des éditeurs, et l'on m'avait demandé de parler de l'éducation à l'heure de la troisième Révolution industrielle. Pour moi, la question de l'impact de la Révolution numérique sur l'éducation doit être pensée à partir de trois convictions. 1- Nous vivons aujourd'hui une nouvelle Révolution industrielle. 2- Les systèmes éducatifs ne font pas seulement de la pédagogie. On ne peut donc pas penser un projet d'éducation de masse sans se demander aussi ce qu'il produit à l'échelle de la société, et à quelles logiques d'organisation et d'instrumentation il répond. B- Comment utiliser le numérique pour bâtir les systèmes de cette nouvelle donne ?

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