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Microformat

Microformat
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un microformat (parfois abrégé sous μF ou uF) est une approche de formatage de données dans des pages WEB[1] qui cherche à rationaliser et standardiser le contenu existant, comme les métadonnées, en utilisant des classes[2] et attributs de balises[3] XHTML et HTML. Cette approche est conçue pour permettre à l'information destinée aux utilisateurs finaux, telle que le carnet d'adresses, les coordonnées géographiques, les événements et autres données ayant une structure constante, d'être traitée automatiquement par les logiciels. Même si le contenu des pages web était déjà capable techniquement d'être « traité automatiquement » depuis la conception du web, il existait certaines limites. Les balises traditionnelles de marquage étaient en effet utilisées pour afficher l'information sur le Web et non pas pour décrire ce que voulait dire l'information[4]. Historique[modifier | modifier le code] Aperçu technique[modifier | modifier le code]

Resource Description Framework Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir RDF. En annotant des documents non structurés et en servant d'interface pour des applications et des documents structurés (par exemple bases de données, GED, etc.) RDF permet une certaine interopérabilité entre des applications échangeant de l'information non formalisée et non structurée sur le Web. Principes fondamentaux[modifier | modifier le code] Un document structuré en RDF est un ensemble de triplets. Un triplet RDF est une association : (sujet, prédicat, objet) Le sujet, et l'objet dans le cas où c'est une ressource, peuvent être identifiés par une URI ou être des nœuds anonymes. Les documents RDF peuvent être écrits en différentes syntaxes, y compris en XML. Un document RDF ainsi formé correspond à un multigraphe orienté étiqueté. {sujet, objet, prédicat} ⇔ prédicat(objet, sujet) ce qui est équivalent à : ∃ objet, ∃ sujet tq prédicat(objet, sujet) Vocabulaires RDF[modifier | modifier le code] L'objet est :

Web sémantique Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5]. Histoire[modifier | modifier le code] Tim Berners-Lee à l'origine exprimait la vision du Web sémantique comme suit : I have a dream for the Web [in which computers] become capable of analyzing all the data on the Web — the content, links, and transactions between people and computers. — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] — Weaving the Web[13]

Notation3 Notation3, or N3 as it is more commonly known, is a shorthand non-XML serialization of Resource Description Framework models, designed with human-readability in mind: N3 is much more compact and readable than XML RDF notation. The format is being developed by Tim Berners-Lee and others from the Semantic Web community. A formalization of the logic underlying N3 was published by Berners-Lee and others in 2008.[1] Examples[edit] This RDF model in standard XML notation <rdf:RDF xmlns:rdf=" xmlns:dc=" rdf:about=" Benn</dc:title><dc:publisher>Wikipedia</dc:publisher></rdf:Description></rdf:RDF> may be written in Notation 3 like this: @PREFIX dc: < External links[edit] References[edit] Jump up ^ Berners-Lee, T.

Web des données Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web des données (Linked Data, en anglais) est une initiative du W3C (Consortium World Wide Web) visant à favoriser la publication de données structurées sur le Web, non pas sous la forme de silos de données isolés les uns des autres, mais en les reliant entre elles pour constituer un réseau global d'informations. Il s'appuie sur les standards du Web, tels que HTTP et URI - mais plutôt qu'utiliser ces standards uniquement pour faciliter la navigation par les êtres humains, le Web des données les étend pour partager l'information également entre machines. Cela permet d'interroger automatiquement les données, quels que soient leurs lieux de stockage, et sans avoir à les dupliquer[1]. Tim Berners-Lee, directeur du W3C, a inventé et défini le terme Linked Data et son synonyme Web of Data au sein d'un ouvrage portant sur l'avenir du Web sémantique[2]. Principes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Semantic Web Stack Semantic Web Stack The Semantic Web Stack, also known as Semantic Web Cake or Semantic Web Layer Cake, illustrates the architecture of the Semantic Web. Overview[edit] The Semantic Web Stack is an illustration of the hierarchy of languages, where each layer exploits and uses capabilities of the layers below. The illustration was created by Tim Berners-Lee.[1] The stack is still evolving as the layers are concretized.[2][3] Semantic Web technologies[edit] As shown in the Semantic Web Stack, the following languages or technologies are used to create Semantic Web. Hypertext Web technologies[edit] The bottom layers contain technologies that are well known from hypertext web and that without change provide basis for the semantic web. Internationalized Resource Identifier (IRI), generalization of URI, provides means for uniquely identifying semantic web resources. Standardized Semantic Web technologies[edit] Unrealized Semantic Web technologies[edit] Notes[edit]

Web3D Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web3D correspondait initialement au concept d'un Web totalement en 3D, des hyperliens reliant les contenants entre eux. Par extension, le terme désigne aujourd'hui tous les contenus en 3D interactive qui sont intégrée à des pages HTML, et que l'on peut visualiser par l'intermédiaire de son navigateur Web. Soit : « la 3D sur le Web ». En 2009, les navigateurs requièrent l'installation d'un plugin pour afficher ce type de contenus. Les technologies actuelles du web 3D permettent, au-delà de simples sites en 3D, le développement futur de jeux en 3D en ligne, notamment des jeux massivement multijoueurs directement jouables dans le navigateur. Formats disponibles[modifier | modifier le code] Parmi les nombreux formats et modes d'intégration disponibles, on peut citer : Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Ontologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Par analogie, le terme est repris en informatique et en science de l'information, où une ontologie est l'ensemble structuré des termes et concepts représentant le sens d'un champ d'informations, que ce soit par les métadonnées d'un espace de noms, ou les éléments d'un domaine de connaissances. L'ontologie constitue en soi un modèle de données représentatif d'un ensemble de concepts dans un domaine, ainsi que des relations entre ces concepts. Elle est employée pour raisonner à propos des objets du domaine concerné. Plus simplement, on peut aussi dire que l' « ontologie est aux données ce que la grammaire est au langage ». L'objectif premier d'une ontologie est de modéliser un ensemble de connaissances dans un domaine donné, qui peut être réel ou imaginaire. Les ontologies informatiques sont des outils qui permettent précisément de représenter un corpus de connaissances sous une forme utilisable par un ordinateur. Notes

web 4.0 Théorie des graphes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie des graphes est une théorie informatique et mathématique. Les algorithmes élaborés pour résoudre des problèmes concernant les objets de cette théorie ont de nombreuses applications dans tous les domaines liés à la notion de réseau (réseau social, réseau informatique, télécommunications, etc.) et dans bien d'autres domaines (par exemple génétique) tant le concept de graphe, à peu près équivalent à celui de relation binaire (à ne pas confondre donc avec graphe d'une fonction), est général. De grands théorèmes difficiles, comme le théorème des quatre couleurs, le théorème des graphes parfaits, ou encore le théorème de Robertson-Seymour, ont contribué à asseoir cette matière auprès des mathématiciens, et les questions qu'elle laisse ouvertes, comme la conjecture d'Hadwiger, en font une branche vivace des mathématiques discrètes. Définition de graphe et vocabulaire[modifier | modifier le code] et relie soit vers , soit , tandis que , où . .

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