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Qu’est-ce que la jeunesse ?

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Quels âges avez-vous ? Qu’on soit tête blonde, blanc-bec ou poivre et sel, on n’a pas forcément son âge. Parfois même, on en a plusieurs à la fois. Et si l’on vieillit malgré soi, on ne grandit jamais assez. « Le drame de la vieillesse, ce n’est pas qu’on vieillit, c’est qu’on reste jeune (Oscar Wilde). » « Ah, but I was so much older then, I’m younger than that now (Bob Dylan). » J’ai connu quelqu’un qui a rédigé son testament à 28 ans. Bien sûr, l’âge est surtout dans la t&ecir [ lire la suite... ] Article de 1526 mots. Jeunesse : objet politique, objet biographique 1Les modes de catégorisation sociale constituent des objets d’analyse sociologiquement pertinents dans la mesure où, d’une part, ils constituent des instruments de classement des individus et de leurs comportements, et, d’autre part, ils sont au fondement des modes de traitement politique de ces individus. 2Discours de sens commun et discours scientifique catégorisent différemment l’objet jeunesse, quand ce dernier n’essaie pas, par effet de mode, d’emprunter les schèmes classificatoires des représentations indigènes. 3La définition commune de la jeunesse en tant que population ou groupe socioculturel d’appartenance illustre une tendance à l’institutionnalisation croissante des âges de la vie, et contribue à masquer la diversité des rapports sociaux dans lesquels sont pris les jeunes. 4La définition sociologique de la jeunesse a principalement consisté à étudier les transformations sociales dont cette « catégorie » est l’objet. 1.1. 12L. 1.2. 1.2.1. 1.2.2. 2.1. 2.1.1. 2.1.2. 2.2. 2.2.1.

Les jeunes : leurs vies, leurs rêves... La nouvelle étude d'Inter°View Innovative(1) décrypte les 18-25 ans pour répondre aux objectifs suivants : les 18-25 ans rêvent-ils encore et si oui, à quoi ? Quels sont leurs moteurs, en fonction de leur profil ? Que rejettent-ils ? Selon leur degré de construction, leur maturité, et leur niveau de contrainte financière, les 18-25 ans ont des caractéristiques différentes : - les lycéens –en pleine construction identitaire, en recherche d’autonomie, aspirant à une vie d’adulte, vivant dans une bulle individuelle dans le cocon familial– se projettent pour la plupart dans un métier ! - les étudiants –en préparation à l’entrée dans la vie active, ne voulant pas renoncer à leurs rêves, entre travail et loisirs, subissant les difficultés matérielles et sociales, fortement dépendants de leurs parents– envisagent le travail comme l’autonomie pour composer la vie souhaitée. Les jeunes rêvent-ils encore et à quoi ? Oui, ils rêvent encore, répond Inter°View.

Antoine Dulin : « La jeunesse est un parcours, pas un âge, ni un statut » Avec Célia Verot, conseillère d’Etat, vous avez remis aux ministres chargés de la jeunesse et du travail un rapport intitulé « Arrêtons de les mettre dans les cases ! Pour un choc de simplification en faveur de la jeunesse ». Quelles en sont les grandes lignes ? Antoine Dulin : D’abord un point de méthode, ce texte a été fondé sur un recueil de la parole des jeunes, qu’ils se trouvent en mission locale, en CFA (centre de formation et d’apprentissage – NDLR), dans les centres communaux d’action sociale etc. Nous sommes allés sur le terrain interroger les jeunes sur leurs lieux de vie et de socialisation et une première chose saute aux yeux : la complexité administrative, l’éparpillement des réponses sont extrêmement mal vécues. Certains y voient même une forme de maltraitance générant rejet et défiance. Que préconisez-vous ? Vous refusez néanmoins le terme de « guichet unique » pour prendre en charge la demande sociale des jeunes et préférer le terme de pivot ? Je ne crois pas, non.

La politique en faveur de la jeunesse - Compte rendu du Conseil des ministres du 25 janvier 2017 Le ministre de la ville, de la jeunesse et des sports a présenté une communication relative à la politique en faveur de la jeunesse. Depuis 2012, le Président de la République a fait de la jeunesse la priorité de son action. Cet engagement fort et tangible s’est traduit par une augmentation substantielle des moyens consacrés par l’Etat aux politiques en faveur de la jeunesse, passant de 75,15 milliards d’euros en 2011 à 90,97 milliards en 2017. Grâce à une méthode de travail fondée sur la concertation, le partenariat et l’ancrage territorial, le Gouvernement a permis des avancées très concrètes dans la vie de tous les jeunes, qui se sont déployées dans tous les secteurs.

Frustrée, la jeunesse française rêve d’en découdre L’enquête « Génération quoi ? », menée auprès des 18-34 ans, dessine le portrait d’une jeunesse éduquée, qui enrage de voir les portes se fermer devant elle. LE MONDE | 25.02.2014 à 12h56 • Mis à jour le 25.02.2014 à 13h28 | Par Pascale Krémer L'autoportrait est sombre. Amenés à définir leur génération, ce sont les mots « sacrifiée » ou « perdue » qui leur viennent le plus souvent à l'esprit. La vie en noir Interrogés sur leur devenir personnel, les jeunes répondants sont près des deux tiers à se déclarer plutôt ou très optimistes. Seuls 25 % des 18-25 ans ont la conviction que leur vie sera meilleure que celle de leurs parents. Deux pondérations à apporter, selon lui, néanmoins. Un besoin de reconnaissance « Les 18-25 ans qui ont participé font voler en éclats le mythe d'une société méritocratique » : voilà le second enseignement majeur de l'enquête, à entendre les deux sociologues. Les jeunes se montrent très sévères sur le fonctionnement du système éducatif à la française.

Jeunes, équipements numériques et modes de connexion Mis en ligne le mardi 20 décembre 2016. Le Crédoc vient de publier son Baromètre numérique 2016, sur "La diffusion et l’usage des technologies de l’information dans la société française" qui rend compte d’une enquête [1] réalisée en juin 2016. Dans un premier article, nous avons fait état de quelques enseignements significatifs en matière d’équipement et d’usages pour l’ensemble de l’échantillon interrogé [2]. Ce deuxième article aborde les spécificités concernant les 12-17 ans et les 18-24 ans en matière d’équipement et de modes de connexion. L’enquête montre le rôle déterminant de l’âge mais il existe néanmoins d’autres caractéristiques sociodémographiques qui interviennent. En matière d’équipement et de modes de connexion, l’âge est plus particulièrement un facteur déterminant dans les domaines suivants : le taux d’équipement en smartphones : 85% des 12-17 ans, 95% des 18-25 ans (65% pour l’ensemble de la population) Différents modes de connexion à internet en fonction de l’âge @gmarquie

Les jeunes s’intéressent-ils à la politique Publié le 12 décembre 2016 Par la rédaction de Contrepoints. Une étude BVA pour les Apprentis d’Auteuil de novembre 2016 s’intéresse au rapport de la jeunesse à la politique ainsi qu’aux idées et aux formes d’engagement auxquelles ils adhèrent. Engagement et représentation : la jeunesse hors des cadres traditionnels de la politique 45% des jeunes de 17 à 24 ans se disent engagés d’une manière ou d’une autre. Parallèlement, la jeunesse s’estime insuffisamment représentée en politique (87%), dans l’entreprise (79%) et dans les médias (66%). Ainsi, la représentation de la jeunesse dans les différents milieux cités semble assez proportionnelle à son engagement dans chacun de ces milieux… La jeunesse se mobilise peu et se sent peu écoutée Seuls 43% des jeunes interrogés sont certains d’aller voter à la présidentielle de 2017 alors que 8% sont certains de ne pas aller voter. Il faut dire que la classe politique ne maîtrise pas forcément les codes de cette jeunesse. Quels fautifs ?

Génération Quoi: une jeunesse en crise(s) "Jeunesse désabusée, jeunesse individualiste, jeunesse incontrôlable". Autant de clichés qui pèsent sur la génération Y. Mais sont-ils vérifiés ? Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité. Recevoir Quel regard posent les jeunes sur la société actuelle ? "Génération sacrifiée" "Génération perdue", "génération sacrifiée", "génération oubliée", autant de registres massivement mobilisés par les jeunes pour qualifier leur génération. "On a l’impression que tout nous tombe dessus : la crise économique, la crise écologique, la crise de l’emploi, le terrorisme. Il existe dans le chef de la jeunesse un sentiment de déclin progressif qui s’installe de génération en génération. Top 3 des préoccupations : environnement, emploi et système scolaire L’enquête montre que l’environnement est la plus grande préoccupation des jeunes, suivie de très près par l’accès à l’emploi et le système éducatif. Une vision matérialiste du travail "Les hommes politiques, tous pourris" Un vent de révolte

La jeunesse (1/5) : Ariane Mnouchkine, la jeunesse et l'art face au monde (LA MENSUELLE #6) Une émission préparée et présentée par Jéromine, Joddy, Karl, Marwan, Salomé et Satyam. Nous ouvrons aujourd'hui une semaine placée sous le signe de la jeunesse, avec un premier épisode consacré à la question de la transmission. Et ce sont justement des jeunes, lycéens et étudiants, qui sont aux manettes de ce sixième numéro de La Mensuelle des Nouvelles Vagues. Face à eux, une grande femme de scène, Ariane Mnouchkine, artiste passionnée et citoyenne engagée. Au lendemain du second tour de l'élection présidentielle, ils s'interrogeront ensemble sur les grands défis auxquels la jeunesse est aujourd'hui confrontée, mais aussi sur la façon dont l'art - et notamment le théâtre - s'empare des grandes questions de société qui se posent à nous. + La chronique de Joddy qui fait le portrait d'une étudiante de la rubrique "Ils vont faire la une" sur L'Etudiant.fr : aujourd'hui avec Victoria Mandefield, fondatrice et présidente d'Infomeless, projet d'aide aux sans-abris et réfugiés.

Six idées reçues sur les jeunes et la politique Les jeunes et la politique ? Chaque scrutin est l'occasion d'évoquer leur abstention, particulièrement élevée. Et puis... pas grand-chose. L'association nationale des conseils d’enfants et de jeunes (Anacej), qui regroupe des communes dotées d'un conseil municipal des jeunes, a commandé une double enquête sur le vote des nouvelles générations, à l'issue des élections municipales de mars et après les élections européennes de mai. Un millier de jeunes entre 18 et 25 ans, et autant de 15-17 ans, ont répondu à un long questionnaire. Idée reçue n°1 : les jeunes s'abstiennent, mais ils voteront en vieillissant « C'est une idée très répandue, et fausse : l'abstention des jeunes est générationnelle. Idée reçue n°2 : les jeunes ne s'intéressent pas à la politique. « Certains expriment du désintérêt. Mais ceux qui votent témoignent que le sentiment dominant, dans les discussions avec les jeunes abstentionnistes, est le sentiment de déception. « C'est une illusion d'optique.

Partie 2 : La société de consommation dans laquelle nous vivons. - L'évolution de la consommation de masse chez les jeunes depuis les années 60 De plus, cette société a entièrement changée les normes et les valeurs qui existaient précédemment, désormais se sont la beauté, la séduction, le bonheur, l'assurance et la sécurité qui caractérisent le monde de la consommation. La valeur de l'argent domine le monde et non plus les valeurs morales d'antan. La notion de travail n'est plus l'unique direction, elle est associé au plaisir par le loisir. Cette idéologie de consommation est tellement ancrée dans l'esprit des consommateurs de plus en plus tôt. En règle générale la majorité des jeunes ont adoptés ce mode de vie. Actuellement tout changement est perçu comme étant un progrès social et économique. La plupart des individus sont victimes du mimétisme qui est le fait de suivre le mouvement, cela se traduit par une volonté de s'apparenter à un groupe défini, de nos jours le fait de se différencier des autres est un acte impliquant la honte. Parlons maintenant de la place des dépenses des jeunes. Bien évidement !

Culture numérique et jeunesse inculte ! Une « Place de la toile » enregistrée depuis les "États généraux de la République", organisé par Libération à Grenoble, dans le beau bâtiment de la MC2, des Etats généraux consacrés à la jeunesse ("Jeunes, débattez-vous !") et aux questions qui se posent à la jeunesse dans des domaines aussi variés que le travail, l'’égalité homme-femme, ou le rapport à l’'Europe. Nous est échue la question de la culture, et de la culture numérique en particulier (avec une sorte de premier volet ici : "Comment développer et transmettre une culture numérique?"). Marc Le Glatin Professeur associé à l’Institut d’études européennes de l’Université de Paris 8-Saint-Denis (co-responsable du Master 2 Politiques et gestion de la culture en Europe) et Directeur du Théâtre de Chelles. Olivier Tesquet Journaliste à Télérama, rubrique Médias. Émission enregistrée en public le vendredi 1er février

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