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Bilan neuropsychologique_EF_10_08 - Bilan_neuropsychologique_EF_10_08.pdf

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Cogni-sciences L’activité du groupe Cognisciences porte sur l’étude des processus du développement, d’acquisition et d’apprentissage du nourrisson à l’enfant. Notre approche s’appuie sur les neurosciences et la clinique du normal au pathologique (langage oral, motricité fine et globale, langage écrit, attention, calcul) Les différents travaux menés portent sur : 1) Le développement cognitif de l’enfant de 6 mois à l’adolescence 2) Le langage oral : acquisition, retards et troubles spécifiques du développement du langage (dysphasies...). 3) Le langage écrit : la lecture, le décodage, la fluence et la compréhension, les difficultés, les troubles spécifiques (les types de dyslexies). 4) Les autres troubles d’apprentissage : les troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxies), les troubles du calcul (dyscalculies), les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité : THADA... Trois axes directeurs orientent la majeur partie de nos activités :

Neurosciences Les neurosciences sont les études scientifiques du système nerveux, tant du point de vue de sa structure que de son fonctionnement, depuis l'échelle moléculaire jusqu'au niveau des organes, comme le cerveau, voire de l'organisme tout entier. Le champ de la recherche en neurosciences est un champ transdisciplinaire : la biologie, la chimie, les mathématiques, la bio-informatique ainsi que la neuropsychologie sont utilisées en neurosciences. L'arsenal conceptuel et méthodologique des neurosciences va de pair avec une diversité d'approches dans l'étude des aspects moléculaires, cellulaires, développementaux, neuroanatomiques, neurophysiologiques, cognitifs, génétiques, évolutionnaires, computationnels ou neurologiques du système nerveux. Depuis son origine, l’histoire des neurosciences a été dominée par l’étude des neurones, alors que le cerveau est composé de deux grandes populations cellulaires : neurones (50 %) et cellules gliales (50 %). Histoire[modifier | modifier le code] (voir infra)

Expérience partagée par nombre de parents d’EIP face à l’école… Au hasard de mes lectures sur le net, voilà un témoignage qui m'a interpellée ce matin : "Le rendez vous avec l'école" Ou la réaction affligeante de l'équipe enseignante (directeur d'école + instituteur) face à des parents d'une petite fille à haut potentiel intellectuel, répondant à un très joli prénom (masqué, tout comme le lien vers son blog qui figurait ce matin en bas de page, à la demande de la maman). Réaction que connaissent bon nombre de parents d'enfants intellectuellement précoces lorsqu'ils vont solliciter l'aide de l'école. Je le précise d'emblée à ceux qui opposeraient qu'il s'agit d'un cas particulier parmi tant d'autres où le dialogue est alors possible, où des solutions sont trouvées. C'est la triste réalité d'une majorité de familles dans cette situation, & chaque semaine, je reçois des 10aines d'emails de détresse me contant la même chose, la même déception des parents lorsqu'ils réalisent dans quelle impasse se trouve leur jeune zèbre. Tout y est (malheureusement !

Utiliser les neurosciences pour mieux former La neuroéducation est un domaine de recherche qui étudie les mécanismes cérébraux liés à l’apprentissage et à l’enseignement. C’est une discipline qui est née en 2007, suite à un rapport de l’OCDE (l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques). Cette discipline s’inspire des recherches menées en sciences cognitives (psychologie, neurosciences, ergonomie…). Elle utilise les informations récoltées sur les fonctions cognitives liées à l’apprentissage (perception, attention, mémorisation, etc.) pour adapter les pratiques éducatives. Cela est rendu possible notamment grâce aux techniques d’imagerie cérébrale qui permettent d’étudier les réactions du cerveau en train de lire, de mémoriser ou de compter par exemple. Qu’a-t-on appris grâce à la neuroéducation ? – Notre mémoire est influencée par nos émotions : nous retenons plus facilement une information si nous l’associons à quelque chose d’émotionnel car nous ne sommes plus passifs. Qu’est-ce que le projet Neurosup ?

TEST ludique sur ses connaissances en neurosiences Savez-vous ce que désigne le terme « neurosciences » et à quand il remonte? Connaissez-vous les moments importants de l’histoire de cette discipline? Savez-vous que celle-ci compte plusieurs sous-disciplines? Avez-vous une idée de ses avancées des dernières décennies et de son apport au domaine de l’éducation? Testez vos connaissances sur le sujet en répondant aux cinq questions suivantes. 1. Notons que le système nerveux inclut notre fascinant cerveau. On peut toutefois faire remonter les origines des neurosciences au 19e siècle. On ne parvient cependant pas à colorer les tissus du cerveau comme on peut le faire pour les autres tissus du corps, ce qui empêche les scientifiques de vérifier s’il répond lui aussi à la théorie cellulaire. Pour en savoir plus : 5 jalons dans l’histoire des neurosciences 2. A) On a confirmé que le cerveau possède la capacité d’évoluer et de s’adapter tout au long de la vie. 3. Termes : cliniques, neuropsychologiques, moléculaires, mathématiques 4. 5.

Difficultés scolaires, échec scolaire, précocité intellectuelle, enfant surdoué, test QI adulte - Cogitoz-Les surdoués-L'enfant surdoué le paradoxe de l'intelligence De nombreuses caractéristiques marquent le fonctionnement intellectuel de l’enfant surdoué dont le seul aspect quantitatif, « plus intelligent » ne rend pas compte. > L’enfant surdoué pense en réseau : confronté à une tâche, à un problème, à une question, l’enfant active tout une arborescence de pensée qui se déploie dans plusieurs directions simultanément. Sa pensée s’active sur le mode "global", dans un réseau associatif qui s’active à grande vitesse. Source importante de créativité et d’idées originales cette forme de pensée perturbe l’enfant dans les applications scolaires. > L’enfant surdoué utilise des raisonnements analogiques. > L’enfant surdoué a une mémoire aux capacités immenses.

Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit 1) Parler de nos mémoires plutôt que de la mémoire La mémoire est ce qui reste de nos apprentissages. C'est la trace concrète qui en est conservé dans nos réseaux de neurones. La mémoire n'est pas pour autant un concept unifié. On a par exemple des circuits nerveux spécialisés dans le souvenir des événements que nous avons vécus durant notre vie passée (mémoire épisodique) qui ne sont pas les mêmes que ceux qui permettent la mémoire du sens des mots, de la fonction des choses, de leur couleur ou de leur odeur (mémoire sémantique). Traditionnellement, les études se sont concentrées sur les mémoires dites explicites, c'est-à-dire celles dont on peut exprimer verbalement le contenu (comme les deux premiers exemples précédents). Il s'agit de formes de mémoire qui s'acquièrent à notre insu et où le rappel d'un souvenir se fait automatiquement, sans les efforts nécessaires à la mémoire explicite.

Neurosciences en éducation | Pédagoscope L’identification d’une particule élémentaire, le neurone est à l’origine des neurosciences, nouvelle science du cerveau, qui fait couler beaucoup d’encre et démolit quelques-une de nos idées reçues par rapport à l’apprentissage. La neuroéducation ne prétend-elle pas justement proposer des solutions aux problématiques neuro-éducatives ? Emannuel Sander, professeur en psychologie et sciences de l’éducation à l’Université de Genève, rappelle d’être vigilants sur les connaissances se rapportant au cerveau car nous sommes facilement leurrés par les images de neuroimagerie ou par des informations simples correspondant bien à nos schémas habituels de pensée.

Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon - Equipe DYCOG Lattention est le processus de slection, dactivation et de facilitation de certains rseaux de neurones au dpend des autres. Ce processus peut tre dclench de manire rflexe, par un stimulus externe ou interne, ou bien se dvelopper sous forme dun contrle endogne par le systme excutif, exerant son influence sur le cerveau depuis le lobe frontal. Je mintresse particulirement ce deuxime aspect. Cette conviction a motiv mes recherches tout au long de ces quinze dernires annes. Il y a quinze ans, jai dcouvert que les composantes de haute frquence (au dessus de 40 Hz) contenues dans llectroencphalogramme intracrbral (iEEG) constituent une trace fiable des activits neuronales sous-tendant lactivit cognitive, avec la prcision temporelle et spatiale longtemps recherche chez lhomme. Vous pouvez tlcharger mes articles et en savoir plus sur BrainTV ici ( www.braintv.org ). Glossaire :

Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit 1) Parler de nos mémoires plutôt que de la mémoire La mémoire est ce qui reste de nos apprentissages. C'est la trace concrète qui en est conservé dans nos réseaux de neurones. La mémoire n'est pas pour autant un concept unifié. On a par exemple des circuits nerveux spécialisés dans le souvenir des événements que nous avons vécus durant notre vie passée (mémoire épisodique) qui ne sont pas les mêmes que ceux qui permettent la mémoire du sens des mots, de la fonction des choses, de leur couleur ou de leur odeur (mémoire sémantique). Traditionnellement, les études se sont concentrées sur les mémoires dites explicites, c'est-à-dire celles dont on peut exprimer verbalement le contenu (comme les deux premiers exemples précédents). Il s'agit de formes de mémoire qui s'acquièrent à notre insu et où le rappel d'un souvenir se fait automatiquement, sans les efforts nécessaires à la mémoire explicite.

Neurosciences et pratiques pédagogiques diversifiées élèves TSA Ce document a été réalisé à l’initiative d’un groupe de travail issu du groupe départemental Handiscol, consacré aux troubles sévères du langage. Sa conception et sa mise au point ont été confiées à un enseignant spécialisé, M. Matillat, qui a travaillé avec une conseillère pédagogique spécialisée, Mme Gardie ; tous deux ont bénéficié de l’appui de Mme Gonzalez, médecin neurologue au centre L’Escale (Hôpitaux Lyon Sud). La commande visait essentiellement deux objectifs : Faciliter la compréhension par les équipes d’écoles d’éléments issus de recherches récentes en neuropsychologie, intégrés aux bilans d’élèves tels qu’ils peuvent être transmis par les familles ou directement par des partenaires de soins ; Donner, à partir de la présentation d’analyses de quelques cas individuels, des pistes de travail pédagogique. Tel qu’il est ici mis à disposition, ce document doit être lu, visionné, comme une introduction aux problématiques, toujours ouvertes, des troubles sévères du langage.

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