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Liste d'ordres religieux catholiques

Liste d'ordres religieux catholiques
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette liste reprend les instituts de vie consacrée (ordres, congrégations religieuses, sociétés de vie apostolique) reconnus par l'Église catholique. Depuis le Concile Vatican II, plus aucune distinction n'est faite, canoniquement parlant, entre un 'Ordre', une 'Congrégation' ou autre 'Institut' religieux. A[modifier | modifier le code] B[modifier | modifier le code] C[modifier | modifier le code] D[modifier | modifier le code] E[modifier | modifier le code] F[modifier | modifier le code] H[modifier | modifier le code] I[modifier | modifier le code] J[modifier | modifier le code] Jésuites L[modifier | modifier le code] Lazaristes (vrai nom : Congrégation de la Mission, fondée par saint Vincent de Paul, société de vie apostolique)Centre Laënnec, société autarciste d’étudiants en médecine M[modifier | modifier le code] N[modifier | modifier le code] Notre Dame des Missions O[modifier | modifier le code] P[modifier | modifier le code]

Sambre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Étymologie[modifier | modifier le code] Géographie[modifier | modifier le code] La Sambre s'écoule d'abord depuis les contreforts des Ardennes, où elle prend sa source, au Nouvion-en-Thiérache. Arrivée à hauteur de Landrecies, elle est captée par l'ancien bassin d'avant-pays du microcontinent Avalonnais. Ce bassin fut créé par ploiement du Brabant sous le poids de la chaîne hercynienne. La Sambre est donc évidemment un passage obligé pour toute armée voulant contourner les Ardennes. Elle est canalisée au gabarit Freycinet (250 t à 1,8 m d'enfoncement) de Landrecies jusqu'à Monceau et au gabarit 1 350 t en aval jusqu'à Namur. Environnement, écologie[modifier | modifier le code] L'histoire environnementale de la rivière remonte au moins au Haut Moyen Âge. La rivière a été fortement influencée par la révolution industrielle et le développement du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais et du bassin minier belge. Histoire[modifier | modifier le code]

Les Templiers et les Croisades CulteGenWeb - La base de données des religieux de France Ce sont ces lacunes que CulteGenWeb veut essayer de combler. Les données indexées La base de données CulteGenWeb contient actuellement 19932 religieux dans 1999 lieux de 1814 communes différentes. Ces données ont été déposées 241 contributeurs bénévoles. Dernière mise à jour de données : 17 juin 2018. Tableau d'Honneur 14-18 CRÉPIEUX Jean Louis (1881-1914), GODARD Jean (1891-1914), REJONY Guillaume Claude (1881-1915), BOUVIER Frédéric Benoît (1871-1916), GIVRE Antoine (1869-1917), HINAULT Georges Marc Jules (1860-1918), ROUMEGAS Alexandre François Marius (1875-1918), GUINET Joseph Benoit (1883-1918), VINCENT Joseph Marius Louis (1890-1918), DARCET Alexis Mathieu (1879-1918) Avez-vous identifié d'autres religieux combattants de la 1e GM ? D'autres conflits (1870, 2e GM) ? Évolutions récentes 28 février 2018 : Géographie religieuse, ajout de liens utiles, évolution légère apparence du site et accessibilité.

Namur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Namur (en wallon Nameur, en néerlandais Namen) est une ville francophone de Belgique, capitale de la Wallonie[2] depuis 1986[3], et chef-lieu de la province de Namur. La ville occupe une position centrale à 63 km au sud-est de Bruxelles, à 28 km à l'est de Charleroi et à 56 km à l'ouest de Liège. Aujourd'hui capitale régionale, la ville est le siège du Parlement, du Gouvernement et du Service public de Wallonie, mais également la ville hôte du Festival international du film francophone et du KIKK Festival. Géographie[modifier | modifier le code] Localisation de la section de Namur dans la commune. Situation générale[modifier | modifier le code] La superficie totale de la commune, depuis la fusion des communes de 1977, est de 17 538 hectares. Hydrographie[modifier | modifier le code] Relief et géologie[modifier | modifier le code] Un plan-relief de la ville de Namur a été établi entre 1747 et 1750 par l'ingénieur Larcher d'Aubencourt.

Les jardins au Moyen Âge : du XIe au début du XIVe siècle textes littéraires nous éclairent plus sur les jardins d'agrément que sur les autres types de jardin. Même s'ils exposent souvent des lieux allégoriques, rappelant largement les jardins bibliques, les descriptions restent proches de celles que donnent les encyclopédistes de l'époque, tels Albert le Grand et Pierre de Crescens. I. Le vocabulaire médiéval du jardin L'étude des jardins du Moyen Âge, par l'intermédiaire des textes, implique de rencontrer des mots différents qui désignent le jardin. Ces mots peuvent se révéler d'importants indices concernant les différents types de jardin. I.1. Le mot « courtil », tout d'abord, selon le Dictionnaire de l'ancienne langue française de Godefroy, veut dire «petite cour ou jardin de campagne fermé de haies»3. Devant sa maison ot .1. clos Ou il plantoit poroiz et chos, Et il fasoit son cortilaige4 2.

untitled Halle al'Chair Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Halle al'Chair, à Namur La Halle al'Chair, sise dans la ville belge de Namur, est un bâtiment historique de style mosan construit au XVIe siècle. Édifié à l'origine pour la corporation des bouchers, il abrite aujourd'hui le musée archéologique de la ville de Namur. Le bâtiment[modifier | modifier le code] Les facteurs d’émergence du bâtiment[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Construite entre 1588 et 1590 par la volonté du gouverneur de Bruxelles dans un souci d’hygiène, pour éviter les maladies et tout simplement pour l’odeur, la halle al’chair a été édifié sur les bords de la ville sur la rive gauche de la Sambre, non loin du confluent avec la Meuse. l’étage inférieur à hauteur de la Sambre servait à débiter la viande. Au XVIIe siècle, la Halle a connu plusieurs affectations. Entrée de la Halle al'Chair Le 15 mai 1940, une compagnie belge décida de faire sauter les ponts de la Sambre.

Jardin monastique, jardin mystique. Ordonnance et signification des jardins monastiques médiévaux clercs, des princes s'est alors reportée vers le monde sensible, la nature. À cette reconversion, la pensée religieuse a aussi contribué. Les clercs avaient en effet depuis le début du Moyen-Âge une idée spirituelle et non charnelle de la nature. Au XIIIe siècle, saint François d'Assise et ses frères mineurs sont les premiers à en proposer une idée concrète. Au XIVe siècle, l'école d'Oxford propose à son tour une vision du monde résolument novatrice et établit une cosmologie différente de celle d' Aristote (qui inquiétait les autorités religieuses). La traduction immédiate de la réhabilitation de la nature par les philosophes ecclésiastiques a été le développement du décor floral dans la peinture et dans l'enluminure religieuses et, dans les écoles du Nord, la représentation nouvelle de la Vierge non plus au centre d'un chœur d'anges ou de saints, mais assise au milieu des bouquets dans un jardin clos. Le jardin monastique

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