background preloader

Cause commune

Cause commune
Cause commune : l’information entre bien commun et propriété vient d’être réédité en livre numérique chez publie.net avec une préface originale. L’édition papier a paru aux Editions Fayard dans la collection Transversales (février 2005). Pour des informations sur les traductions choisissez la langue correspondante dans les menus de bas de page. Achetez le livre numérique : chez publie.net Achetez le livre papier : Achetez le chez votre libraire préféré, ou si ce n’est pas possible en ligne (Alapage, Amazon, Decitre, FNAC) … et / ou téléchargez le La version PDF du livre Cause commune : l’information entre bien commun et propriété est mise à disposition sous un contrat Creative Commons Télécharger (format PDF) Quatrième de couverture L’information et ses technologies refaçonnent notre univers technique, social et éthique, mais ces bouleversements se font dans deux directions opposées selon que l’on choisit d’en encourager l’appropriation privée ou d’en faire des biens communs. Revue de presse

Elinor Ostrom Debunks Tragedy of the Commons Nobel Prize-winning economist Elinor Ostrom proved that people can—and do—work together to manage commonly-held resources without degrading them. posted Oct 27, 2009 The biggest roadblock standing in the way of many people’s recognition of the importance of the commons came tumbling down when Indiana University professor Elinor Ostrom won the Nobel Prize for Economics. Garrett Hardin described the Tragedy of the Commons with a hypothetical example of shared herding land: If all herders make the individually rational economic decision of increasing the number of cows they graze on the land, the collective effect will deplete or destroy the common. Over many decades, Ostrom has documented how various communities manage common resources—grazing lands, forests, irrigation waters, fisheries—equitably and sustainably over the long term. Garrett Hardin himself later revised his own view, noting that what he described was actually the Tragedy of the Unmanaged Commons. -Elinor Ostrom YES!

Le manifeste de SavoirsCom1 L’approche par les communs s’inscrit dans la continuité de l’appel pour la constitution d’un réseau francophone autour des Biens Communs : Par Biens Communs, nous entendons plusieurs choses : il s’agit d’abord de ressources que nous voulons partager et promouvoir, que celles-ci soient naturelles – une forêt, une rivière, la biosphère -, matérielles – une machine-outil, une imprimante – ou immatérielles – une connaissance, un logiciel, l’ADN d’une plante ou d’un animal –. Il s’agit aussi des formes de gouvernance associées à ces ressources, qui vont permettre leur partage, le cas échéant leur circulation, leur valorisation sans destruction, leur protection contre ceux qui pourraient atteindre à leur intégrité. Les Biens Communs sont donc à la fois une approche alternative de la gestion de biens et de services, qui bouscule le modèle économique dominant basé sur la propriété, et un imaginaire politique renouvelé. Les communs de la connaissance représentent un nouveau paradigme. 1. 2. 3.

Openworld - Welcome Le bien commun : l'assaut final - Un documentaire de Carole Poliquin Nombreux sont ceux qui pensent qu’en France le projet de loi « Création et Internet » (ou Hadopi) n’est pas qu’une simple question technique et juridique pour endiguer le « piratage », mais se situe bien au delà, sur le front politique et sociétal de la défense des biens communs contre une « marchandisation » croissante des activités humaines, ici la culture[1]. C’est pourquoi il nous a semblé intéressant de proposer aux lecteurs de passage un « vieux » documentaire que vous n’avez peut-être pas eu l’occasion de voir à sa sortie en 2002 (durée : 1 heure). Il a pour titre Le bien commun : l’assaut final et a été réalisé par la québécoise Carole Poliquin (dont nous avons obtenu accord pour diffusion). Voici ce qu’en disait Bernard Langlois dans le journal Politis : Sur le fond, c’est une charge très argumentée, très démonstrative contre la mondialisation libérale, nourrie de reportages et de témoignages recueillis au Canada, au Mexique, aux États-Unis, en Inde, en France. Loaded: 0%

Enquête INSEE : le nombre des SDF a doublé en 10 ans | Collectif Yourtes Nature Le dernier rapport d’enquête de l’INSEE sur les personnes sans domicile fixe a été publié le 2 juillet : 141 500 dont 30 000 enfants. Bien que le rapport indique que 9% d’entre eux sont sans-abris il est précisé que des catégories ne sont pas prises en compte… dont justement les sans-abri !! «- ceux qui dorment dans un lieu non prévu pour l’habitation (les sans-abri) et ne font appel à aucun service enquêté » - les sans-domicile présents dans les agglomérations dépourvues de services pris en compte dans le champ de l’enquête» et aussi : « - les sans-domicile vivant dans des agglomérations de moins de 20 000 habitants. Donc quid des communes rurales où pourtant, dans les zones à fort pourcentage de résidences secondaires mais pas seulement, une population de plus en plus nombreuse n’a pas accès au logement. Beaucoup de citadins imaginent qu’en milieu rural les logements locatifs sont moins chers. Pendant ce temps les écoles, les bureaux de poste, les petits commerces ferment. Marie

Digital Library Of The Commons Digital Library of the Commons hidden Image DatabaseExport Citations Menu: Search the DLC Advanced Search Browse the DLC My Account Commons Links DLC Home Digital Library Of The Commons Repository The Digital Library of the Commons (DLC) is a gateway to the international literature on the commons. Submit an Item DLC is a collaborative project of the: Generous funding has also been provided by the: About The Commons Feedback - Tell us about your user experience Select a Document Type Vincent and Elinor Ostrom Workshop in Political Theory and Policy Analysis | 513 N.

Nous sommes en guerre - Peak Civilization En guerre contre le système techno-industriel mondial. Lorsque le gouvernement se rend complice en légalisant toutes les exactions envers notre vie, pollution des sols aux insecticides, herbicides, fongicides, nématicides, herbicides cancérigènes. Pollution des eaux, par les mêmes produits mais également par les rejets des sites industriels. La pollution de l'air aux particules fines et autres gaz nocifs par les usines, les trains, les automobiles, les camions, les centrales électriques. Nous sommes face à une oppression pernicieuse et permanente, impuissants face à une menace démesurée, décentralisée et inatégnable. Les commentaires sont fermés.

IASC COMMONS (iasc_commons) de la servitude moderne - le livre « Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s’effondrer. Mon pessimisme sur tout ce qu’elle fait pour nous entraîner dans sa chute. » La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Voilà le mauvais rêve des esclaves modernes qui n’aspirent finalement qu’à se laisser aller dans la danse macabre du système de l’aliénation. L’oppression se modernise en étendant partout les formes de mystification qui permettent d’occulter notre condition d’esclave. Chapitre III : L’aménagement du territoire et l’habitat « L’urbanisme est cette prise de possession de l’environnement naturel et humain par le capitalisme qui, se développant logiquement en domination absolue, peut et doit maintenant refaire la totalité de l’espace comme son propre décor. » La Société du Spectacle, Guy Debord. Le Capital, Karl Marx Marc 8 ; 36

Tomales Bay Institute: The Commons Rising (PDF) | fírgoa Tomales Bay Institute: The Commons Rising (PDF) From public schools and universities to public lands and other natural resources, from the media with their broadcast and digital spectrums to scientific discovery and medical breakthroughs, a broad range of the American commons is shifting from public responsibility to private exploitation. — Bill Moyers The idea of the free market has become so widespread it’s hard to remember when public stadiums weren’t named for private corporations. But evidence is mounting—from catastrophic climate disruption to unprecedented disparities in wealth—that our present corporate-dominated economic system is leading to ecological and social disaster. There must be an alternative. In fact, there is an alternative, and it’s on the rise.

"La peur de la nature" de François Terrasson Au-delà des causes économiques, politiques, culturelles, sociales, qui rendent ardue la protection de la nature, il en est une, beaucoup plus cachée, insaisissable et sourde qui prévaut sur toutes les autres : l’homme occidental, maître économique actuel de la planète, a peur de la nature… et de sa part d’animalité. Aimez-vous vraiment la nature ? Toute la nature ? Le gluant, le griffu, le velu, le vaseux, l’organique ? François Terrasson, chercheur atypique, a décrypté nos rapports profonds aux forces originelles. Il nous révèle avec humour nos fonctionnements internes, et explique de manière lumineuse pourquoi notre société s’acharne à détruire la nature. Quelques jours avant sa mort, François Terrasson, écrivait : "Je voyais évoluer dans les forêts et savanes mes amis naturalistes, semblant baigner dans des paradis. Le lien ou l’absence de lien avec la nature, voilà le point crucial ! L’homme émotionnel perçoit, rêve, symbolise les aspects sensibles de l’Univers.

La fin programmée de la civilisation du gâchis. Réflection faite. De quoi est fait notre avenir? Quel avenir pour notre civilisation? Dates d'puisement des ressources naturelles de notre planète. Nous vivons depuis longtemps sur la Terre, une accueillante petite planète d'un système stellaire parmi des milliards de milliards d'autres. Dans un univers qui vient de rien (on parle de fluctuation du vide) et qui a explosé il y a 13,7 milliards d'années, d'après notre dernière datation. Nous en avons conscience et nous nous posons des questions essentielles. Qu'est-ce que la vie ? Est-elle extrêmement répandue dans notre galaxie et dans les cent milliards d'autres, répondant à des lois chimiques universelles ou bien est-ce un phénomène rarissime au point que la Terre soit finalement une exception dans l'univers, l'héritière d'une somme incalculable de hasards tous aussi improbables les uns que les autres ? Tout irait bien dans le meilleur des mondes possibles si nous ne faisions pas les terribles observations suivantes : L'espèce dominante, Homo sapiens, a vaincu toutes les étapes de l'adaptation à toutes sortes de milieux souvent hostiles. 9 milliards d'habitants prévus en 2050.

Related: