background preloader

Le Lab Europe 1 meilleur du web politique

Le Lab Europe 1 meilleur du web politique

Hollande et les riches : Wauquiez recycle une vieille intox de 2007 «N’oubliez jamais une chose, François Hollande, et ça je l’ai toujours en mémoire, situe la barre des plus riches à des familles qui gagnent plus de 4000 euros en additionnant le revenu du père et de la mère, pour lui, une famille ou père et mère gagnent chacun 2000 euros, ce sont des riches.» Laurent Wauquiez, le 25 janvier sur France Info C’est un des principaux angles d’attaque de l’UMP contre le projet de François Hollande : son programme, notamment fiscal, loin de peser sur les riches comme annoncé, va en réalité peser sur les classes moyennes. Laurent Wauquiez (lire ici) et Valérie Pécresse (lire là) ont déjà attaqué, avec force intox, pour montrer que les mesures fiscales du candidat socialiste pénaliseraient les classes moyennes. Mercredi, sur France Info, le même Wauquiez a remis une couche. Ce que Wauquiez affirme avoir toujours « en mémoire », c’est une polémique déjà vieille de cinq ans. C.Mt

Sarkozy face à Chazal et Delahousse : et si on rappelait Alain Duhamel et Albert du Roy Interroger Nicolas Sarkozy est un exercice difficile. Interroger Nicolas Sarkozy, président de la République, est un exercice impossible. Dimanche soir, sur toutes les chaines de télévision (sauf France 3, on se demande bien pourquoi), Claire Chazal, Laurent Delahousse, François Lenglet et Jean-Marc Sylvestre l'ont montré, une fois de plus, et pour tout dire, on aurait aimé que ce fût une fois de trop. Sarkozy le 29 janvier 2012 lors de son intervention télévisée face à Claire Chazal et Laurent Delahousse (L. On peut disserter à l'envi sur le rôle joué par les uns et les autres dans la pièce de dimanche soir. Une pièce savamment répétée On l'a déjà dit ici, et on va le répéter : il est temps que les directeurs de chaînes brisent les leurs. Dans la mesure où c'est l’Élysée qui dicte le conducteur, la mise en scène, et, qui semble choisir les journalistes, la conclusion s'impose d'elle même. Ce quil faut retenir de lintervention de... par Nouvelobs Les émissions politiques sans politique

Le clivage droite-gauche serait biologique Il y aurait donc des cerveaux siglés Hollande et d'autres Sarkozy. À quelques mois de l'élection présidentielle, voilà une révélation qui devrait grandement simplifier la tâche des sondages. Point de machination électorale bleu-blanc-rouge, rassurez-vous, l'étude en question n'a pas été réalisée dans l'Hexagone, mais de l'autre côté de l'Atlantique (où la campagne présidentielle fait également rage, cela dit). Et c'est The Guardian qui relate les principales conclusions de cette enquête. Et si le cerveau d'un électeur de droite n'était pas le même que celui d'un électeur de gauche ? C'est ce qu'ont imaginé des chercheurs de l'université Lincoln dans le Nebraska, aux États-Unis, en constatant que les esprits conservateurs réagissaient davantage aux stimuli négatifs que les libéraux, qui, eux, seraient plus réactifs aux stimuli positifs. Cette nouvelle étude américaine, qui repose sur les concepts de stimuli appétitif et aversif, va plus loin. Et les centristes dans tout ça ?

Bertrand Delanoë: "Nous autres, civilisations..." "J'ai tenu des propos de bon sens et d'évidence". Ainsi se justifie, ce lundi matin, le ministre de l'Intérieur. Le bon sens et l'évidence sont les pauvres recours que l'on invoque quand la raison, avec ses arguments, sa logique, et ses démonstrations, vous laisse sans armes et sans voix. Mais l'affaire est trop grave pour qu'il soit possible de s'en tenir là. Ce qui est en cause, c'est l'honneur de la politique. La politique perd le sens de son propre honneur quand elle sacrifie sa fin à ses moyens, c'est-à-dire quand les responsables publics se révèlent prêts à tout pour gagner les élections. Inutile, d'abord, de se dissimuler derrière la sémantique: en évoquant une hiérarchie des civilisations, le ministre de l'Intérieur visait, très précisément et spécifiquement, l'islam. Mais la question est plus profonde encore. Au "bon sens" de M.

Je suis, tu es, nous sommes supérieurs 06/12 - Jean-Michel Aphatie Imagine-t-on une élection présidentielle sans filtre ? Ouverte à tous ceux qui veulent se présenter ? Evidemment non. Nous aurions alors au moins cinquante candidats. Donc, impossible. Le filtre, ce sont les maires et d’autres élus, 43.000 personnes au total. Faut-il rendre ces parrainages anonymes ? Sans compter, soyons pragmatique, que l’anonymat des parrainages autorisera toutes les manipulations. Chemin faisant, comment s’accommoder d’une possible absence de Marine Le Pen au scrutin présidentiel ? Nous sommes donc supérieurs, nous Français, peut-être occidentaux. Supérieurs par rapport à qui ? Le ministre de l’intérieur a plaidé la supériorité de notre civilisation en prenant pour contre exemple cette civilisation qui laisse les gens prier dans les rues. A propos de supériorité, Angela Merkel de l’Allemagne sera dans la télévision française pour dire qu’elle souhaite que Nicolas Sarkozy obtienne du peuple supérieur un deuxième mandat.

«Civilisations»: Guéant assure qu'il ne visait pas les musulmans | Présidentielle 2012 live direct CLAUDE GUÉANT SE DÉFEND d’avoir voulu viser les musulmans dans sa tirade de samedi soir sur les «civilisations» qui «ne se valent pas». L’AFP a révélé en milieu de journée, mardi 7 février, une lettre du ministre de l’Intérieur à Mohammed Moussaoui, président du Conseil français du culte musulman (CFCM), où il affirme que «[son] propos de bon sens et d'évidence ne visait aucune culture en particulier, ni nos concitoyens de confession musulmane qui respectent et adhèrent pleinement aux valeurs de la République, et dont la République respecte et protège les croyances». Lundi, Mohammed Moussaoui lui avait demandé de préciser «le sens des propos» tenus ce week-end, affirmant que «nombre» de musulmans français s’étaient «sentis visés par ces déclarations». publicité Photo: Claude Guéant à l'Assemblée nationale, le 18 octobre 2011. À lire aussi sur Slate.fr:

Corinne Lepage: Les vraies raisons de la disparition de l'écologie dans la présidentielle Pour beaucoup, l'écologie a disparu des radars dans cette campagne présidentielle. C'est vrai et cette réalité, au demeurant fort dommageable pour l'ensemble de nos concitoyens, a une triple origine: - La volonté politique du candidat président sortant qui après avoir fait, en application du pacte écologique, le Grenelle de l'environnement -qui a fait croire que la France entrait enfin comme ses voisins dans une nouvelle ère- l'a enterré en grande pompe et avec une série de prises de position destinées à bien faire comprendre que l'enterrement était définitif. Nicolas Sarkozy est devenu le fossoyeur de l'écologie. Dans la mesure où les médias jouent majoritairement le jeu du candidat président qui consistent à contraindre tous les autres candidats à se positionner sur des propositions d'autant moins crédibles qu'elles sont l'antithèse de ce qu'il a fait pendant cinq ans, il est pour le moins naturel que l'environnement ne soit pas à l'agenda.

Tranche d'imposition à 75 % : ce que signifie la proposition de M. Hollande Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Samuel Laurent Si l'objectif de l'annonce de François Hollande, lundi 27 février sur TF1, était de ramener le débat sur ses propositions, c'est plutôt réussi. Le candidat socialiste a en effet annoncé son intention de créer une nouvelle tranche d'imposition à 75 % pour les revenus excédant 1 million d'euros. Une déclaration qui a surpris jusqu'à son entourage : Jérôme Cahuzac, président de la commission des finances de l'Assemblée nationale, a ainsi fait part de sa surprise lorsqu'il a été interrogé sur cette idée dans l'émission "Mots croisés", diffusée sur France 2 quelques minutes après que M. Hollande l'eut évoquée. Sans surprise, l'UMP a fustigé un "message d'encadrement global, un message presque de spoliation par rapport à l'effort produit", pour reprendre le vocabulaire du ministre des finances François Baroin sur France Inter mardi 28 février. > Lire : L'UMP dénonce "la confiscation fiscale" du programme Hollande Avec la réforme de M. M.

Related: