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Refonder l'alliance entre Culture et Numérique

Refonder l'alliance entre Culture et Numérique
La Culture et le Numérique ne se sont pas rencontrées. Je ne parle certes pas des leaders mondiaux des industries de la création, que nous avons la chance d'avoir en France. Nos industries de cinéma, d'animation, du jeu vidéo, de la création publicitaire défendent une authentique création culturelle avec une réelle envergure mondiale, c'est acquis. Je n'oublie pas non plus que nous nous sommes frottés les uns aux autres à travers à travers quelques passes d'armes, Hadopi par exemple. Ni que l'on trouve, dans nos deux mondes, des crapauds fous qui s'en vont frayer par des chemins improbables : artistes numériques, ingénieurs esthètes. Mais, dans leur réalité sociologique, Numérique et Culture demeurent deux mondes bien distincts, ayant leurs élites, leurs codes, leurs références, se fréquentant globalement assez peu, ne partageant pas vraiment les mêmes rêves ni les mêmes valeurs. La nouvelle ère qui s'ouvre peut, il est vrai, sembler déstabiliser une certaine partie du monde culturel.

Que nous prépare le web 3.0 ? web sémantique ubiquitaire symbiot 01Business le 16/10/09 à 16h46 sommaire Le Web 2.0 fait une entrée timide dans les entreprises et voilà qu'on annonce le 3.0. Dans l'industrie du logiciel, un numéro de version correspond à la configuration d'un produit à un instant t. Le succès du 2.0 : blogs et réseaux sociaux… Cette version 2 du Web désigne de manière consensuelle les interfaces et les applications permettant aux utilisateurs d'interagir avec le contenu des pages mais aussi entre eux : c'est celui qu'on peut éditer, centré sur les communautés, fait de blogs, de médias sociaux, d'XML, de flux RSS, d'applications Web… Ses figures emblématiques sont Wikipedia et Google. Alors, de quoi sera fait le Web 3.0 ? Bien que tout le monde ne soit pas d'accord sur la définition du web 3.0, c'est pourtant ce terme que nous allons utiliser pour désigner de manière générique toutes ses évolutions. Topographie des discours sur le Web 3.0

Médiation culturelle : pour apprendre, il faut être libre « Il faut l’aider à renouer avec l’activité même de la pensée » Serge Boimare Serge Boimare a émis les hypothèses suivantes: 1. Les difficultés scolaires étaient liées pour certains jeunes à une logique de dérèglement. En situation d’apprentissage, ils se trouvent envahis par des émotions, troubles, réactions affectives qui les empêchent d’apprendre. 2. S. 1. 2. 3. 4. Une question s’est donc posée : comment aider ces jeunes gens ? D’après S. Dans les ateliers de médiation culturelle, nous allons donc leur lire des mythes afin d’aider ces jeunes à gérer ces empêchements. Pour obtenir des ressources liées à cet atelier, cliquez sur la page : Les ressources 1. dans ces enfants empêchés de penser, Serge Boimare, Dunod 2008, page 72 2 3. dans Ces enfants empêchés de penser, Serge Boimare, Dunod 2008, page 65 4.dans Vers une pédagogie institutionnelle adaptée, Sylvie Canat, champ social éditions, 2007, préface

Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (1/5 Par Hubert Guillaud le 09/02/10 | 12 commentaires | 18,511 lectures | Impression “Comment l’internet transforme-t-il la façon dont vous pensez ?”, telle était la grande question annuelle posée par la revue The Edge à quelque 170 experts, scientifiques, artistes et penseurs. Difficile d’en faire une synthèse, tant les contributions sont multiples et variées et souvent passionnantes. Que les répondants soient fans ou critiques de la révolution des technologies de l’information, en tout cas, il est clair qu’internet ne laisse personne indifférent. “Une nouvelle invention a émergé, un code pour la conscience collective qui nécessite une nouvelle façon de penser”, explique John Brockman, l’éditeur de The Edge. L’internet change la façon dont nous décidons Pour le physicien Daniel Hillis, le réel impact de l’internet a été de changer la façon dont nous prenons des décisions. Pour Marissa Mayer de Google, “l’internet n’a pas changé ce que l’on sait, mais ce que l’on peut trouver”.

Numérique dans la médiation culturelle La médiation culturelle a pour objet de faciliter la rencontre entre les citoyens, les institutions et les oeuvres qui y sont présentées. Cette pratique répond à diveres aspirations : faciliter l'exercice du droit à la culture pour tous (la culture faisant partie des droits de l'homme, au même titre que les droits civils, économiques, politiques et sociaux), faciliter la reconnaissance des artistes dans la Cité, réduire le fossé entre culture savante et culture populaire, faciliter la compréhension ou tout simplement la consultation des oeuvres (dans le cas d'objets fragiles ou conservés au loin), etc. Pour s'exercer, la médiation culturelle dispose d'outils et instruments variés. La personne qui vous guide dans une exposition est un médiateur. Dans un musée, un monument, un site remarquable, les points d'accès aux ressources numériques doivent se fondre dans le décor. Extraits du film "Maior Ecclesia" proposé lors de la visite du site : Extrait Maior Ecclesia 2010 par ClunyNumerique

Le net en clair obscur Dans le cadre de notre carnet de route consacré au privacy paradox, nous avons rencontré cette semaine Dominique Cardon, sociologue au Laboratoire des usages d’Orange Labs et chercheur associé au Centre d’études des mouvements sociaux (CEMS/EHESS). Spécialiste des comportements sur internet et des réseaux sociaux, il a mené en 2009 avec la FING (la Fondation Internet Nouvelle Génération) et FaberNovel, l’étude SocioGeek qui vise à mesurer l’impudeur des internautes et à comprendre la façon dont on choisit ses amis sur les sites sociaux. RSLNmag.fr : Comment analysez-vous le concept du privacy paradox ? Dominique Cardon : D’abord les internautes ont une certaine conscience de ce qu’ils font sur le net. Quand on les interroge, ils laissent entendre clairement qu’ils ont peur de voir leurs données manipulées et en même temps, ils bloguent, publient leurs photos sur internet et s’exposent de différentes façons. C’est-à-dire ? Oui si l’on cherche qui peut nous surveiller.

La médiation culturelle numérique, quels nouveaux supports ? « Aujourd’hui, la médiation est l’égal de la conservation », Claire Merleau Ponty, enseignante en muséologie à l’École du Louvre. À l’heure actuelle, réseaux sociaux, applications et dispositifs numériques envahissent notre quotidien. Si le domaine professionnel a connu une évolution marquante avec l’apparition de sites tels que LinkedIn, le monde culturel a lui aussi vu des changements significatifs dans ses stratégies de communication et de médiation. L’utilisation des applications dans les musées (2011) Des communautés qui recensent les outils numériques De nombreuses communautés, ayant pour vocation de recenser et d’exposer l’utilisation du numérique dans les musées, se sont formées. Les outils de médiation numérique n’ont pas attendu Internet pour apparaître dans les musées : Les institutions culturelles ont tout intérêt à intégrer de nouvelles technologies en leurs murs. Médiation numérique, médiation humaine Mais “plus” numérique ne veut pas dire “mieux” numérique.

Combien d’information consommons-nous Les lieux communs voudraient que la télé, la musique et les jeux vidéos nous aient depuis longtemps détournés du monde écrit. Pas si sûr, répondent des chercheurs du Centre pour l’information globale de l’université de Californie : nous lisons plus de mots que nous ne le faisions avant les nouvelles technologies. Alors que la lecture était en déclin sous la concurrence de la télévision, celle-ci reprend du poil de la bête grâce aux nouvelles technologies, explique l’étude (.pdf) de Roger Bohn et James Short sur la quantité d’information que consomment les Américains – une étude qui fait bien sûr référence à celle menée en 2000 et 2003 par Hal Varian et Peter Lyman. Les Américains ont englouti quelque 3,6 milliards de teraoctets d’information en 2008, soit 11,8 heures d’information par jour et par personne (contre 7,4 heures en 1980) : autant dire que nous sommes soumis à un flot d’information continu. Via Wired. Sur ces mêmes sujets Aucun article relatif

Web participatif pour la culture À l’occasion de sa quatrième édition, Spectaculaire proposait une journéee professionnelle aux exposants participants, le 23 septembre dernier. Omer Pesquer et moi-même avons été invités à intervenir au cours d’une matinée de conférences sur les nouveaux usages liés au numérique dans la culture. Je vous propose une restitution de notre intervention qui était une rapide introduction au web participatif dans les différents domaines de la culture, remaniée ici pour être adaptée au format blog. Le contenu de cette présentation est volontairement très pédagogique car il s’adresse à des publics peu ou pas au fait des dispositifs participatifs, donc je compte sur la compréhension des lecteurs initiés, qui ne découvriront pas forcément grand chose. Disclaimer : cet article a été rédigé avant que j’intègre le musée du quai Branly. Introduction Au début des années 2000, des sites d’un nouveau genre apparaissent sur internet : les blogs et les réseaux sociaux. La mobilité Photographie communautaire

Vers la fin de l’actualité « Cratyle.net La crise du journalisme est l’ébranlement d’un monopole. Le mouvement est déjà largement discuté, mais ses causes et ses effets n’ont pas fini d’ébranler notre manière de voir le monde. C’est que le monopole était bien plus profond qu’on ne l’a souvent écrit. Ce n’était pas le seul monopole du choix, de l’ordonnancement et de l’interprétation d’information; car l’information n’existe simplement pas sans être choisie, ordonnancée et interprétée. Il n’existait pas « d’actualité » avant l’invention de l’imprimerie et le développement corolaire du journalisme. Que l’on réfléchisse surtout à la nature profondément monopolistique d’un « choix d’actualité ». En provoquant la crise du journalisme, les nouveaux médias ne remettent pas seulement en cause les pratiques d’une profession, ils démembrent et peut-être dissolvent sa matière première. Les nouveaux médias annoncent la fin de l’actualité. Tags: Journalisme, nouveaux médias, Theorie

Le rapport Camani / Verdier pour la médiation numérique Les attendus de la médiation numérique: D’évidence, dans un souci d’égalité, de solidarité et de justice sociale, les compétences numériques et l’usage citoyen, responsable et protégé des technologies doivent devenir l’affaire de tous. L’État devrait donc, en particulier s’assurer que le développement de ces technologies ne conduise pas à accentuer des clivages existants, qu’ils soient de nature sociale, culturelle, générationnelle ou liés à des disparités géographiques. La création d’une responsabilité de l’État et la définition de la médiation numérique vue de l’État: L’État doit veiller à ce que toute personne puisse acquérir les compétences numériques qui lui garantissent un accès au droit, à l’emploi, à la connaissance, à l’épanouissement individuel et à la vie collective. La méthode de production du rapport est complémentaire à la Consultation sur la médiation numérique initiée par Axelle Lemaire et portée par la Délégation aux Usages de l’Internet.

Adhocratie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'adhocratie est un néologisme (provenant du terme latin « ad hoc ») utilisé pour désigner une configuration organisationnelle qui mobilise, dans un contexte d’environnements instables et complexes, des compétences pluridisciplinaires et transversales, pour mener à bien des missions précises (comme la résolution de problèmes, la recherche d'efficience en matière de gestion, le développement d'un nouveau produit, etc.). L’adhocratie a d'abord été formulée par Alvin Toffler dans Le choc du futur (1970) puis a été popularisée par Robert Waterman Jr. dans Adhocracy. The power to change (1990). Ce concept organisationnel s'oppose à la bureaucratie. L'organisation adhocratique est utilisée par plusieurs grandes firmes (comme la NASA ou Motorola) pour mener des projets d'envergure. §Selon Toffler[modifier | modifier le code] Alvin Toffler a popularisé le terme d'« adhocratie » dans son étude Le choc du futur (1970).

Patrimoine numérique et médiation culturelle L’arrivée du support numérique bouleverse le travail de médiation dans sa conception, sa réalisation et les publics ciblés. Dans le contexte particulier du patrimoine numérique, quelle médiation culturelle devons-nous mettre en place pour assurer l’accès au plus large public possible ? Le 22 octobre 2008, l’Arpel (Agence régionale pour l’écrit et le livre en Aquitaine) et l’AEC (Agence Europe Communication/Agence aquitaine pour la société de l’information) ont organisé à Bordeaux une journée « Patrimoine numérique et médiation culturelle ». Nous en présentons ici quelques interventions. L’actualité du numérique Éric Culnaert (AEC) a présenté les évolutions de l’année. La bibliothèque virtuelle doit offrir de la proximité (les Geemiks de l’ESC Lille), de la disponibilité, développer des services supplémentaires (Guichet du savoir à la BM de Lyon), multiplier les moyens pour permettre à l’usager d’utiliser des données personnelles (création d’une mémoire lecteur). Expositions virtuelles

Réseaux Sociaux : des intellectuels français inaudibles « hypertextual Je me posais cette question en lisant le remarquable Here Comes Everybody de Clay Shirky : où en sont nos intellectuels sur le sujet des réseaux sociaux ? Quelle réflexions, recherches et pensées sont produites par nos sociologues, économistes, philosophes, politologues, éditorialistes pour donner du sens aux remarquables mutations de la société que l’avènement du web collaboratif et des réseaux sociaux provoquent ? Et, au delà, quelle est la portée de cette réflexion dans le monde connecté ? Talk about the revolution Parce qu’elles transforment radicalement ce qui touche à notre travail, à la culture, aux médias, à la connaissance, aux métiers créatifs, ces technologies sont jugées révolutionnaires par des auteurs passionnants aux quatre coins du monde : où sont les nôtres ? Où sont nos Clay Shirky, Jamie Surowiecki, Chris Anderson, David Weineberger, Christopher Locke, Alexander Bard, Andrew McAfee, danah boyd ? Petit état des lieux. Catastrophisme Spéculation intellectuelle Minimisation

Activités de médiation culturelle : niveau scolaire Ces activités sont destinées majoritairement aux élèves des écoles primaires et secondaires de la Ville de Pointe-Claire. Par exemple, le Centre culturel offre aux écoles un spectacle de musique ou de théâtre accompagné d'une rencontre avec l'un des musiciens ou comédiens, afin de leur faire découvrir l'envers du décor. Certaines activités peuvent aussi être créées sur mesure afin de soutenir l'enseignement de certaines matières scolaires (ex. : poésie, univers social, arts dramatiques, etc.) et elles sont toujours données par des professionnels. Les activités peuvent aussi être accompagnées d'un cahier pédagogique pour les élèves et/ou d'un guide pour l'enseignant. Si vous êtes enseignant, spécialiste ou travaillez à la direction d'une école primaire ou secondaire de la Ville de Pointe-Claire, et que vous aimeriez plus obtenir plus d'informations veuillez communiquer avec Julie Paquin à l'adresse courriel julie.paquin@pointe-claire.ca ou téléphoner au 514 630-1220 poste 1772.

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