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Commotion : le nouveau réseau Internet libre et gratuit

Commotion : le nouveau réseau Internet libre et gratuit

Le wifi libre entre en résistance La libre utilisation des ondes radio permettrait de multiplier les réseaux WiFi alternatifs et citoyens. Des réseaux indépendants et autonomes. Mais ni les opérateurs ni les États ne semblent prêts à lâcher le morceau. Sensible au lobbying des industriels des télécoms, le Conseil de l’Union européenne pourrait rejeter l’idée de rendre plus accessibles les bandes de fréquence radio, empêchant le développement de réseaux WiFi alternatifs et indépendants. Des rapports intermédiaires du Conseil oublient les amendements du Parlement européen soutenant une utilisation libre des ondes radio. Leur rejet marquerait donc l’opposition du Conseil au développement des réseaux WiFi libres en Europe. L’innovation contre toute attente Or depuis le début des années 2000, des communautés WiFi autonomes, indépendantes, fondées sur les principes de la culture libre, existent en Europe comme Freifunk [de] en Allemagne, FunkFeuer [de] en Autriche ou Guifi.net [es] en Catalogne. Crédits photo Flickr CC

L’Internet illimité au purgatoire L'idée de brider Internet était promise aux enfers. À en croire les opérateurs, en particulier Orange, le projet aurait été examiné le temps d'un été - le dernier. Puis plus rien. Les discussions des fournisseurs d’accès à Internet au sein de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) ouvrent la voie à la fin de l’Internet illimité. Il y a déjà tout ce qu’il faut dans une box L’installation d’une sonde dans les boîtiers ADSL aux millions d’abonnés, actuellement envisagée, pourrait s’apparenter à la mise en œuvre d’un plafonnement des forfaits. Les différents acteurs engagés dans la réflexion rejettent l’hypothèse d’une telle évolution. Si le régulateur décide de mesurer la qualité du réseau français via une “sonde matérielle” placée dans le modem, il ne ferait d’ailleurs que confirmer la confession de l’opérateur. La fin du best effort, la mise à mort du net A chaque usage du net, sa qualité.

Stuxnet: le triomphe de la culture «hacker» La «culture hacker» vit la meilleure et la pire heure de son histoire. D’un côté, le ver informatique (le complexe et très redouté «Stuxnet») vient de remporter une victoire sans précédent. C’est là un bond en avant d’envergure dans le développement des «malwares» (terme générique se rapportant aux logiciels trouble-fêtes que les virus viennent installer dans nos ordinateurs via les réseaux numériques). Stuxnet, prix Nobel de la paix ? Stuxnet serait composé de 15.000 lignes de code. publicité Ce même automne, Stuxnet a changé de nom et a revêtu un nouveau déguisement numérique (je le verrai bien dans un long imper virtuel, à la Bogart), avant de se glisser à pas de loup dans le réacteur nucléaire flambant neuf de la province iranienne de Bushehr. Stuxnet a pris le contrôle du panneau de commande du réacteur de Bushehr, a fait ce qu’il avait à faire – et a rendu cet immense complexe à un milliard de dollars complètement inopérant. «Voilà leur problème. L'âge d'or des hackers Ron Rosenbaum

Stuxnet: la piste israélo-américaine se précise Les responsables américains et israéliens ont largement commenté le virus Stuxnet, un ver informatique très complexe qui a porté un coup d’arrêt à l’effort iranien pour fabriquer la bombe nucléaire. Le New York Times se penche en détail dans un article de quatre pages rédigé par trois journalistes sur ce qu’il appelle «la cyber-arme la plus sophistiquée jamais utilisée», soulignant que si aucun officiel ne revendique officiellement l’attaque informatique, beaucoup «font de grands sourires» en parlant des effets qu’elle a eus. Stuxnet est en effet aujourd’hui considéré comme un succès et comme bien plus sophistiqué que ce que pensaient les experts de la sécurité quand le ver a commencé à faire parler de lui. Il semblerait qu’une partie de son succès vienne du fait qu’Israël a mis en place, dans le cadre de son programme nucléaire, une série de centrifugeuses nucléaires identiques à celles utilisées en Iran, ce qui lui a permis de tester le ver avant de le relâcher. publicité

Comment le virus Stuxnet s'en est pris au programme nucléaire iranien Temps de lecture: 3 min Les experts commencent à en savoir plus sur le virus Stuxnet qui a contaminé les ordinateurs iraniens et notamment ceux utilisés dans son programme d'armement nucléaire. Les chercheurs américains et allemands ont décortiqué le programme informatique du virus qui, contrairement aux autres de type «familiaux» semble aujourd'hui clairement avoir été conçu «sur mesure». Ils sont à présent convaincus qu’il a même été fabriqué pour s’attaquer spécifiquement aux sites nucléaires iraniens. Ils ont poussé leurs analyses jusqu’à préciser que Stuxnet devait saboter exclusivement les alimentations électroniques des centrifugeuses nucléaires. Ils ne sont pas encore venus à bout de tout le code qui s’imbrique comme un puzzle à l’intérieur du système de contrôle informatique d'une usine, mais la tâche n’était pas aisée. Contrôle des moteurs des centrifugeuses «Stuxnet modifie la fréquence de sortie et donc la vitesse des moteurs pour de courts intervalles pendant des mois.

Asus and Leap Motion Bring Minority Report-Style Gestures to Life | Gadget Lab Put your hands in the air. Photo: Leap Motion Creating a powerful new input device for computers is hard, but not as hard as convincing people to ditch the mouse for something entirely new. Like, say, waving your hands in the air. Imagine a Microsoft Kinect on steroids and you have a good idea of how Leap Motion works. Eager to get people using its cool new product, Leap Motion announced Thursday that its 3-D motion controller will be bundled with Asus computers. One of the more intriguing aspects of the Leap Motion on a Windows 8 machine is that the Live Tiles can be manipulated without having to touch a computer’s display. The Leap Motion will ship Windows 8 and OS X ready.

The End of the Web, Computers, and Search as We Know It | Wired Opinion Illustration: Ross Patton/Wired People ask what the next web will be like, but there won’t be a next web. The space-based web we currently have will gradually be replaced by a time-based worldstream. This lifestream — a heterogeneous, content-searchable, real-time messaging stream — arrived in the form of blog posts and RSS feeds, Twitter and other chatstreams, and Facebook walls and timelines. It’s a bit like moving from a desktop to a magic diary: Picture a diary whose pages turn automatically, tracking your life moment to moment … Until you touch it, and then, the page-turning stops. Today, this diary-like structure is supplanting the spatial one as the dominant paradigm of the cybersphere: All the information on the internet will soon be a time-based structure. The web will be history. Metaphors Have a Profound Effect on Computing David Gelernter is a professor of computer science at Yale University and chief scientist at Lifestreams.com. Time as a metaphor may seem obvious now.

Freescale's Insanely Tiny ARM Chip Will Put the Internet of Things Inside Your Body | Wired Design Freescale’s Kinetis KL02 MCU is very small. Photo courtesy: Freescale. Chipmaker Freescale Semiconductor has created the world’s smallest ARM-powered chip, designed to push the world of connected devices into surprising places. Announced today, the Kinetis KL02 measures just 1.9 by 2 millimeters. It’s a full microcontroller unit (MCU), meaning the chip sports a processor, RAM, ROM, clock and I/O control unit — everything a body needs to be a basic tiny computer. The KL02 has 32k of flash memory, 4k of RAM, a 32 bit processor, and peripherals like a 12-bit analog to digital converter and a low-power UART built into the chip. How tiny? The KL02 is part of Freescale’s push to make chips tailored to the Internet of Things. There are some clues we can glean about how this chip might end up inside our digestive tracts. “We come across hundreds of [microcontrollers] embedded in the devices we use throughout the day,” says Tateosian.

La naissance de l'ordinateur 3D Et l'ordinateur en trois dimensions (3D) devint une réalité. Le génie de l'informatique, Jinha Lee, a dévoilé lors de la conférence annuelle TED (pour Technologie, divertissement et design) un ordinateur avec une interface en trois dimensions, rapporte Wired mardi 26 février. L'étudiant du Massachusetts Institute of Technology (MIT) avait déjà fait sensation l'année dernière avec ZeroN, une balle en 3D en lévitation qui pouvait enregistrer et reproduire la manière dont elle avait été déplacée par un utilisateur. Cette fois, la nouvelle invention de Jinha Lee est encore plus impressionnante. Après un stage dans le département des sciences appliquées de Microsoft, le jeune étudiant a créé une interface, ce qui permet à l'utilisateur d'interagir avec la machine, en 3D. Pour le magazine américain Wired, "même si cet ordinateur est encore au stade de projet, cette technologie est digne d'un saut quantique, trop rare dans ce secteur". Au croisement des technologies

This Amazing 3-D Desktop Was Born at Microsoft | Wired Business SpaceTop, a 3-D desktop environment you can reach into, was shown at the TED conference today by Jinha Lee, who developed the system during and after his internship at Microsoft Applied Science. Photo: TED/Flickr LONG BEACH, California – The history of computer revolutions will show a logical progression from the Mac to the iPad to something like this SpaceTop 3-D desktop, if computer genius Jinha Lee has anything to say about it. The Massachusetts Institute of Technology grad student earned some notice last year for the ZeroN, a levitating 3-D ball that can record and replay how it is moved around by a user. Now, following an internship at Microsoft Applied Science and some time off from MIT, Lee is unveiling his latest digital 3-D environment, a three-dimensional computer interface that allows a user to “reach inside” a computer screen and grab web pages, documents, and videos like real-world objects. Click to enlarge. Others are working along similar lines. Lee thinks so.

www.cio-online.com/contributions/lire-les-cloud-brokers-un-pas-vers-la-rationalisation-des-offres-cloud-617-page-1.html Contributions Paroles d'experts Les intermédiaires associant diverses offres cloud pour commercialiser une nouvelle offre peuvent jouer un rôle intéressant pour les entreprises. Le développement du Cloud, dans le domaine de l'édition logicielle, de l'intégration ou bien parmi les clients finaux des solutions informatiques, semble ne pas être seulement une mode passagère. Une offre de solution Cloud très vaste et fragmentée A la différence des applications clientes traditionnelles, les solutions SaaS sont pour la plupart spécialisées sur une offre ou un processus fonctionnel. Les Cloud Brokers, une solution face fragment des offres dans le Cloud Un Cloud Broker est un intermédiaire qui va se charger de construire une offre Cloud adaptée au besoin du client à partir d'offres existantes. Les avantages proposés par les Cloud Brokers sont nombreux : - Assurer la comptabilité entre les solutions et les échanges ente celle-ci

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