Vous reprendrez bien un peu de curation à la sauce juridique? Calimaq poursuit la réflexion entamée dans un premier billet « Propulsion, Curation, Partage ». Décidément, c'est fou toutes les discussions que suscitent ces liens que nous utilisons au quotidien pour les plus mordus d'info d'entre nous. Le billet que j’ai publié la semaine dernière : « Propulsion, Curation, Partage… et le droit dans tout ça ? » a suscité un certain nombre de réactions, commentaires, échanges, qui me donnent envie de prolonger la réflexion, en creusant plusieurs points sur lesquels on a attiré mon attention. Décidément, vous allez voir que la curation est un sujet d’une grande richesse juridique, mais d’une grande complexité également… L’épineuse question du droit applicable Dans mon billet, je pars du principe que le droit français est applicable aux pratiques de curation et de propulsion de contenus sur Internet. La question est assez difficile à trancher et renvoie aux règles relatives au droit applicable en matière de dommages causés en ligne. To LINK.
Thinking about democratised curation I was invited to participate in a panel at the Google Zeitgeist event in the UK last month; it was a real privilege, it gave me the chance to listen to many good speakers, watch some fascinating demos and meet a whole bunch of people who challenged my thinking. Thank you Google, particularly Nikesh Arora, as well as the team led by Dan Cobley. As with any conference where good things are said, I walked away with a litany of soundbites, some of which I tweeted live. But there was one that I did not tweet, one that I’ve had reason to continue to ponder, one that forms the kernel of this post. Eric Schmidt, Google CEO, had this to say (to be found at 19:48 in this video): “…. the statistic that we have been using is between the dawn of civilisation and 2003, five exabytes of information were created. It’s important to understand scale. What it made me do was think. And continue it will. Digital curation seems to be a richer form of curation than its analog equivalent.
Blogueur et auteur : où est le droit d’auteur ? | Actulligence.com | Veille Stratégique, Intelligence Economique » Aujourd’hui c’était donc i-expo pour moi. Une bien belle journée et plein de rencontres faite malheureusement trop à la va vite par manque de temps. Mais j’ai enfin pu mettre des visages et serrer la main à des personnes que je ne connaissais que sur le Réseau. Mais si j’y étais c’était surtout pour participer à une conférence sur “Evolution de la propriété intellectuelle dans le cadre des nouvelles pratiques de l’information numérique” Une conférence fort intéressante donc sur un sujet qui nous concerne tous nous veilleurs et qui en gros se cantonne à plusieurs constats que je résumerai grossièrement à ces points ci-après : Est-ce que mes clients sont prêts à payer des droits d’auteur en plus de la prestation de veille ? Voilà finalement le fond du débat… non ???? Donc c’est dans ce schéma général que l’on m’a convié comme blogueur beaucoup et comme consultant un peu pour expliquer comment moi je voyais les choses de mon point de vue de blogueur qui blogue. Certes déjà c’est un point. Faux.
Are the days of curation numbered? It’s clear that the interest of internet users can be very fickle indeed. Sites and services can have sudden boosts of popularity and then pretty much disappear from view. I’m thinking of Quora as one example. And whenever there is a burst of hype around a topic it seems to be a precursor to a shortened life span. Curation has recently emerged as a hot topic so does that mean it’s days are numbered? Take a look at this Google Trends graph: You can see that interest in the topic was fairly level for much of last year but is now on a sharp upward trajectory since the beginning of this year. But is curation a flash in the pan? I don’t think so. We’re experiencing a media tsunami that search alone cannot handle. Curation will do for search what search did for the web — made it usable and useful to millions of people. We now have the tools and services that make digital curation easy and accessible by any internet user. Yes, we will eventually see fewer posts on the subject of curation.
La curation c’est de la merde » J’aurais pu écrire m€46€, j’aurais pu être subtil, j’aurais pu essayer d’être plus consensuel mais ce ne doit pas être dans mon “ADN” … Mais finalement en utilisant le mot de Cambronne je reste finalement très soft par rapport au fond de ma pensée. Curation par-ci, curation par-là. On se demande juste si c’est du nez dont on parle ou bien du fond d’un endroit où finit justement souvent la dite matière. Je ne reviendrai pas sur le terme. Ne jugeons pas le moine à son habit, allons voir ce qu’il a sous sa soutane… Car le fond, toi lecteur audacieux qui aura sauté sur ce titre vilement racoleur, c’est ce qui t’intéresse étant donné que tu as de saines lectures. Continuons donc dans le racoleur en cédant à la manie qui est de compter. 1) Les plateformes de curation et l’acte de curation en lui même n’apportent rien Curater (ou curer en fait… Je sais pas…) c’est quoi ? L’acte de la curation est un acte à très très très faible valeur ajoutée ! En cela les coupables sont multiples : Conclusion
Tech Buzz: Road to Curation Nation a Bumpy One Both Reader's Digest and Time magazine started out as content aggregators rewriting articles from other publications. Back then, "there was not a lot of brooding about other people's intellectual property rights," notes author Steven Rosenbaum. So, what has changed between then and now? If Reader's Digest didn't already exist, could it start in today's environment? Webinar: The New PCI 3.0 Standard Learn the steps to take to get your company ready for PCI DSS 3.0 changes coming January 2015. We cover all of the details you need to know as we head to the deadline to complete and pass your PCI DSS 3.0 audit. Last week, media giants including the Associated Press, The Washington Post, and Dow Jones sent a cease-and-desist letter targeting the iPad app Zite, which aggregates news based on a user's Twitter and Google Reader activity. "Readers are looking for better ways of consuming content, and they aren't getting it from traditional publishers. A Human Enterprise Speed Kills
Puis-je établir plusieurs liens hypertextes vers des articles de presse publiés en ligne ? Il n’est pas interdit d’effectuer des liens hypertextes vers d’autres pages internet. Ceci étant, les responsables de sites peuvent vouloir interdire, au titre du droit des bases de données, l’établissement de liens vers plusieurs de leurs articles. Bien que les tribunaux ne se soient pas encore entendus sur la portée réelle de ce droit vis-à-vis des hyperliens, il est fortement recommandé d’éviter d’effectuer plusieurs liens vers les pages web d’un même site qui aurait clairement affiché son refus d’accepter une « extraction » ou une « réutilisation » de ses données. Tel est généralement le cas des sites de journaux en ligne. Vous pouvez néanmoins demander une autorisation exceptionnelle auprès de l’éditeur du site vers lequel vous désirez effectuer plusieurs liens. Il est possible qu’il vous l’accorde gracieusement si l’exploitation que vous faites de ces liens lui convient. Sachez par ailleurs que les titres d’articles sont considérés comme des œuvres protégées par le droit d’auteur.
mediations: What exactly is 'Curation' anyway? Curation Nation: How to win in a world where consumers are creators, by Steven Rosenbaum (2011) Curation has been a buzz word for a while now, a useful weapon in job description territory wars but underexplored by PR academics and lacking robust description. In his new book, Curation Nation, Steve Rosenbaum discusses curation in many different ways, but never quite pins his colours to the mast with a tight and serviceable definition. The key word appears to be 'human' - as opposed content selected and by automated, algorithmic computer aggregation. The basic premise is that there is far too much stuff out there for anyone to deal with without help, and things will only get harder. Indeed Rosenbaum goes so far as claiming: "Search is broken. Really? OK, good curation might facilitate productive access to relevant information, but suggesting one might replace the other seems to highlight tensions within the rather broad definition Rosenbaum brings to curation.
Le “framing” de sites web : reproduction illicite de contenu ? | TICProQuo La méthode la plus répandue pour créer un lien hypertexte consiste à choisir une portion de texte ou d’une image en dessinnant une zone active et de les transformer en liens cliquables. Une fois cliqué, ce lien hypertexte amène à une nouvelle page ou site web. Il existe une autre méthode, appelée “framing” (frame = cadre), qui va beaucoup plus loin puisqu’elle fait appel à l’incrustation du contenu d’une autre page ou site web dans la page active. On peut donc afficher dans la même fenêtre de navigation plusieurs pages web en même temps, chaque page s’affichant dans son propre cadre. Le terme technique qui a été suggéré pour décrire le framing est la transclusion. De point de vue technique Dans l’exemple ci-dessus, la fenêtre de navigation est découpée en 3 tranches et chacune affiche un document html distinct. Plusieurs utilisations du framing ont été envisagées : Et pourtant, ce n’est pas une technique qui est prête à tomber dans les oubliettes. De point de vue juridique Le hic ?
Content curation sucks There’s been a load of chatter in the Social Media echo chamber about the increasing role of content curation rather than content creation. Curators steal, get over it. There’s a bigger problem. at Alex Kessinger Curators have a problem; we steal content. I know we don’t like to put it that way. It’s always nicer to think that we point people in the right place, or we frame content in a new light, but at the end of the day we don’t create anything that could be considered a primary source.While it’s not evil, or harmful it leads us to the biggest problem with curation, and content in general in the coming future: who’s going to create the content. Who is going to create the content that I am going to curate. Curation Nation is a book about how curation has come out of nowhere to touch a million different fields. Anyway, this book is kind of the beginning of a long curation ark. This is when you start to wade through the shit. Crap makers, and crap content. Some interviewees sure hated curators, he let there speaking work for him, but it was mostly all smiles about the crap makers. I share content on twitter because it made me smile, think for a moment, or even surprised me.