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Sidération

Sidération

ÉTAT DE SIDÉRATION – DÉFINITION | CVP - Contre la Violence Psychologique Un traumatisme psychique est un évènement qui par sa violence et sa soudaineté, entraîne un afflux d’excitation suffisant à mettre en échec les mécanismes de défense habituellement efficaces, le traumatisme produit souvent un état de sidération et entraîne à plus ou moins long terme une désorganisation dans l’économie psychique. La sidération est un état de stupeur émotive dans lequel le sujet, figé, inerte, donne l’impression d’une perte de connaissance ou réalise un aspect catatonique par son importante rigidité, voire pseudoparkinsonien du fait des tremblements associés. La sidération est un phénomène psychologique qui a toujours existé. Elle agit comme un arrêt du temps qui fige la personne dans une blessure psychologique traumatique, au point que les émotions semblent pratiquement absentes. La sidération est un blocage total qui protège de la souffrance en s’en distanciant. ©Anne-Laure Buffet J'aime : J'aime chargement…

La pornographie et ses mensonges avec e La pornographie n'apprend pas à faire l'amour. Au contraire, tout y est mensonge, et un homme risque plutôt de ne jamais savoir s'y prendre avec une femme s'il prend des films porno pour modèles ! La pornographie, ça n'est pas la réalité ! Dans un film X tout est faux, rien ne fonctionne comme dans la vraie vie. Le sexe des hommes a une taille inhabituelle. La quantité de sperme éjaculée est invraisemblable. Les positions sont celles qui permettent à la caméra d'en montrer le plus possible aux spectateurs… Elles ne sont pas forcément ni agréables ni pratiques à réaliser. Et surtout, l'image de la femme est totalement erronée.Non, une femme n'est pas prête à faire l'amour 24 heures sur 24, n'importe où et avec n'importe qui… Non, une femme n'aime pas être humiliée, rabaissée au rang d'esclave ou de prestataire de service sexuel. C'est une version extrêmement partielle de la sexualité La pornographie correspond aux fantasmes masculins mis en scène.

Psychotraumatismes : Mécanismes Page élaborée à partir des travaux du Dr Muriel Salmona sur les mécanismes psychologiques et neurobiologiques psychotraumatiques. Tous droits réservés, demander l'autorisation de l'auteur drmsalmona@gmail.com avant toute reproduction sur internet ou sur les supports traditionnels. résumé : animation présentée par le magazine de la santé de France 5 sur les mécanismes psychotraumatiques lors d'un viol DEFINITIONDESCRIPTION DE LA RÉPONSE ÉMOTIONNELLE Un circuit de peur conditionnée - CONDUITES D'ÉVITEMENT CONDUITES DISSOCIANTES À RISQUE Définition Il s'agit de mécanismes psychologiques et neurobiologiques exceptionnels de sauvegarde exceptionnels qui se mettent en place lors du traumatisme. Ces mécanismes psychotraumatiques sont mis en place par le cerveau pour échapper à un risque vital intrinsèque cardiovasculaire et neurologique induit par une réponse émotionnelle dépassée et non contrôlée. haut de page Description de la réponse émotionnelle Il y a donc un RISQUE VITAL POUR L'ORGANISME.

www.agressionsexuelle.com - aide, ressources, CLSC, CALACS, CAVAC, intervenants CONSÉQUENCES Page élaborée à partir des travaux du Dr Muriel Salmona sur les mécanismes psychologiques et neurobiologiques psychotraumatiques. Tous droits réservés, demander l'autorisation de l'auteur drmsalmona@gmail.com avant toute reproduction sur internet ou sur les supports traditionnels. Pour mieux comprendre cette page, lire auparavant MECANISMES Après une déconnexion de l'amygdale lors d'un grave traumatisme, par exemple après des agressions sexuelles répétées, le circuit du stress reste hypersensible du fait du piégeage de la mémoire implicite non-consciente de l'événement dans l'amygdale (puisque que cette mémoire n'a pas pu être transformée par l'hippocampe en mémoire explicite autobiographique contextuelle), cette mémoire reste vive, chargée de l'émotion initiale, mais sans représentation, sans lien par rapport au contexte. Les conséquences de la mémoire traumatique et de la dissociation dues aux violences, que celles-ci soient actuelles ou passées, sont donc :

« POURQUOI TU PLEURES ? » – Des victimes de viols affichent les mots de leur agresseur La honte doit changer de camp, mais comment ? Si les chiffres sont connus – 75 000 femmes violées en France chaque année, une toutes les huit minutes – rares sont les victimes à témoigner. Récemment, des initiatives comme le manifeste des 313, publié en novembre 2012 par Le Nouvel Observateur, le documentaire Viol : elles se manifestent, ou encore le Tumblr Je connais un violeur ont contribué à libérer ces paroles trop souvent enfouies. Outre-Atlantique, c'est en images que les victimes s'expriment. Photo prise à Saint Petersburg, en Floride, le 18 avril 2013, par Grace Brown. "Tu l'as bien cherché" Photo prise à Baltimore, Maryland, le 30 avril 2013, par Grace Brown. "Regarde-moi, s'il te plaît, j'ai besoin que tu me regardes… Tu m'as fait peur… J'ai cru que j'avais fait quelque chose de mal." Photo prise à Solana Beach, en Californie, le 21 avril 2013, par Grace Brown. "Je veux juste te montrer combien je t'aime." "Un autre verre ?" Signaler ce contenu comme inapproprié

L'abus sexuels, c'est quoi ? Une fille sur quatre et un garçon sur six sont victimes d’abus sexuels avant l’âge de dix-huit ans et les chiffres de victimes adultes sont tout aussi dramatiques. Contrairement aux idées reçues, l’abus sexuel n’est en général pas commis par un inconnu mais la majorité des victimes sont abusées par un proche, dans un lieu familier. L’abuseur, usant d’une stratégie perverse et manipulatoire, parvient à répéter ses abus tout en imposant le silence à sa victime. Celle-ci souffre non seulement des conséquences douloureuses de ce traumatisme mais elle est aussi accablée d’un fort sentiment de culpabilité. Quels sont les différents abus et quelles blessures engendrent-ils? Comment l’abuseur parvient-il à obtenir le silence de sa victime et à reproduire ses méfaits? Ce livre permet à la famille, à l’entourage, à la victime, souvent démunis ou laissés seuls face à la réalité sordide et douloureuse de l’abus, de mettre des mots sur ses maux et de penser/panser cette blessure.

Où sont les violeurs? | Marlene Schiappa Le traitement médiatique du viol a ceci d'étonnant qu'il décrit toujours l'agresseur et la victime avec un champ lexical similaire. Pour la victime, nous avons jeune, pauvre au sens de "à plaindre", seule parfois, et souvent un détail physique accablant du type "elle avait les cheveux longs (la salope)" (blonde, au 36 quai des Orfèvres ; jolie, dans le métro de Lille). Le violeur a toujours une bonne excuse, lui. Il avait bu, monsieur le juge. (36) Il venait de se disputer avec son amie et il n'avait pas de travail, monsieur le juge (Lille). Bref, elle, avant d'être une victime, était déjà marquée du sceau de l'infamie ; et lui avant d'être un agresseur était déjà le good guy qu'il redeviendra après quelques heures de travaux d'intérêt général. Si bien que notre société est intrinsèquement pleine de victimes de viols, mais vide de ses violeurs. Lire aussi: Mais statistiquement, ça ne fonctionne pas. Comme mon amie qui a conclu son histoire par : "Tu le connais, c'est X. X... ? Oui.

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