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Colère

Colère
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Étymologie[modifier | modifier le code] En français, colère descend du grec kholê, la bile, dont vient également le nom choléra. Elle serait causée par l'échauffement de cette bile dans la théorie des humeurs. Biologie[modifier | modifier le code] La colère provoque plusieurs modifications physiologiques préparant le corps au mouvement et à la réaction. Psychologie[modifier | modifier le code] La psychologie a bien montré, et expérimente chaque jour, les effets nocifs de la censure de la colère, qui enferme l'individu dans des zones de non-dits et parasite la relation à soi-même et aux autres. Si la colère est une forme d'expression licite contre l'indignation et l'injustice, elle est parfois incontrôlable. Morale[modifier | modifier le code] Dans la tradition catholique, la colère fait partie des sept péchés capitaux, avec l'acédie (ou la paresse spirituelle), la gourmandise, l'orgueil, la luxure, l'avarice et l'envie. Sénèque (v. 4 av. Related:  gestion émotions

Tristesse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sépulcre (scène de l'onction du corps du Christ), 1672, montrant Marie-Madeleine en pleurs. Physiologie[modifier | modifier le code] Les expressions faciales de la tristesse exposant des petites pupilles sont significativement jugées plus intenses, et encore plus si les pupilles diminuent davantage[3]. Chez l'enfant[modifier | modifier le code] La tristesse fait partie de l'enfance. La tristesse est un processus normal chez l'enfant lorsqu'il est séparé de sa mère dans le but de devenir plus indépendant. Guérison[modifier | modifier le code] Adolescente triste. Lorsque certains individus se sentent tristes, ils préfèrent se retirer de leur entourage et, de ce fait, arrivent plus facilement à en sortir. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ (en) Jellesma F.C., & Vingerhoets A.J.J.M. (2012). (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Sadness » (voir la liste des auteurs)

Manie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il ne faut pas confondre l’état maniaque avec des traits obsessionnels (obsession du ménage et de la propreté par exemple), acception pourtant retenue dans le langage courant. Symptômes et signes[modifier | modifier le code] Un épisode maniaque est caractérisé par une modification de l’humeur, et la survenue de certains symptômes tels ceux décrits ici. Des symptômes typiques sont par exemple : une excitation, une exaltation, ressenti de « pressions intérieures » ;une humeur « élevée » : euphorique classiquement, mais aussi une irritabilité, une plus grande réactivité (« au quart de tour »), une propension à se mettre en colère ;de l’activité sans repos, de l’agitation improductive. La plupart de ces comportements sont étrangers au caractère du malade qui, pendant une phase maniaque, ne réalise pas qu’il est malade se sentant « parfaitement bien », le plus souvent (ce qui rend le traitement difficile). Traitements[modifier | modifier le code]

Anger Anger or wrath is an intense emotional response. Often it indicates when one's basic boundaries are violated. Some have a learned tendency to react to anger through retaliation. Anger may be utilized effectively when utilized to set boundaries or escape from dangerous situations. Sheila Videbeck describes anger as a normal emotion that involves a strong uncomfortable and emotional response to a perceived provocation.[1] Raymond Novaco of UC Irvine, who since 1975 has published a plethora of literature on the subject, stratified anger into three modalities: cognitive (appraisals), somatic-affective (tension and agitations), and behavioral (withdrawal and antagonism).[2] William DeFoore, an anger-management writer, described anger as a pressure cooker: we can only apply pressure against our anger for a certain amount of time until it explodes.[3] Psychology and sociology[edit] Afferent development[edit] Extension of the Stimuli of the Fighting Reactions. Rage[edit] Symptoms[edit] Causes[edit]

Luis et moi, j'en ai assez - Les tribulations littéraires (ou pas) d'une bibliothécaire Challenge je lis aussi des albums organisé par Hérisson Cette fois, je me suis inscrite pour le big challenge soit 20 albums à chroniquer avant fin 2012. Albums lus : Douce, la promesse de l'eau de Martine Bourre La petite mauvaise humeur , Isabelle Carrier Mes bêtises préférées , Agnès de Lestrade et Joao Vaz de Carvalho Luis et moi, j'en ai assez , Zoé Figeac Au cochon d'Emile , Stéphane Henrich Les petits mondes , Cécile Becq Petit Noun, l'hippopotame bleu des bords du Nil , Géraldine Elschner et Anja Klauss Mathilde et l'ours , Jan Ormerod et Freya Blackwood A la rencontre , Claudine Morel Trop loin! Je veux mon chapeau , Jon Klassen Mercredi à la librairie , Sylvie Neeman et Olivier Tallec Les mains de papa , Emile Jadoul Dans sa maison un grand cerf , Jutta Bauer Ferdinand et Joséphine , Petr Horacek Sans le A , Michaël Escoffier et Kris Di Giacomo Le chat de Mathilde , Emily Gravett L'étrange réveillon , Bertrand Santini et Lionel Richerand Ogre, cacatoès et chocolat , Cécile Roumiguière et Barroux

Deuil Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ivan Kramskoy, Chagrin inconsolable, 1884. Généralités[modifier | modifier le code] Le mot deuil vient du bas-latin dolus (« douleur »), par l'ancien français duel (« douleur », « affliction causée par la mort de quelqu'un »)[1]. D'une manière générale, le deuil permet de surmonter un événement critique de la vie. Il est souvent associé à la mort : « la mort d'une image parfaite des parents lorsque ceux-ci divorcent », « la mort de la confiance en une personne », « la mort d'une relation amoureuse lors d'une séparation », « la mort de quelqu'un ». Le deuil peut être réalisé par le biais de tous moyens d'expressions directement créatifs ou délégués (construction de monuments, funéraires ou non, commandes d'œuvres spécifiques en hommage à la personne disparue auprès d'artistes, etc.). Étapes[modifier | modifier le code] Elisabeth Kübler-Ross a élaboré un modèle qui est très diffusé, sans qu'il ait été cependant démontré scientifiquement.

Joie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joie de vivre (sculpture de Richard MacDonald, 2002). La joie est une émotion ou un sentiment de satisfaction spirituelle, plus ou moins durable, qui emplit la totalité de la conscience. Philosophie[modifier | modifier le code] La joie est une notion qui désigne, dans son sens le plus courant, le sentiment d'une personne en présence d'un bien qui lui convient. Cicéron en a une conception plus proche du sens courant : pour lui, la joie est un état de l'âme, qui, confrontée à la possession d'un bien, n'en perd pas pour autant la sérénité. Chez Leibniz, on trouve une distinction entre deux termes latins pouvant être traduits en français par « joie » : d'une part gaudium, la jouissance paisible qui n'est soumise à aucune condition extérieure au sujet, et d'autre part laetitia, le plaisir de l'âme lié à possession d'un bien (au sens de Cicéron, en fait). La joie d'une mère devant son enfant. Religion[modifier | modifier le code]

Phobie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme phobie, du grec ancien phobos (φόβος), frayeur[1] ou crainte[2]. désigne dans la langue courante une peur démesurée d'un objet ou d'une situation précise, par exemple l'acrophobie (phobie des hauteurs), l'herpétophobie (peur des serpents et autres reptiles), l'arachnophobie (peur des araignées) ou la phobie du téléphone. En psychanalyse et psychiatrie le terme désigne une crainte déraisonnable dont la personne reconnait le caractère injustifié et dont elle souffre[2]. Les phobies en psychologie[modifier | modifier le code] Les phobies se présentent de manière différente chez l'enfant où elles sont souvent sans conséquence[réf. nécessaire], ou chez l'adolescent et l'adulte. Lorsqu'elles prennent valeur de symptômes, elles doivent être appréciées comme un signe d'une souffrance psychique. Dans l’approche béhavioriste[modifier | modifier le code] Épidémiologie comportementale[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :

La COLERE dans les ouvrages de jeunesse Petit rappel historique Ce n’est qu’après les années 70 que dans la littérature jeunesse on prend les enfants aux sérieux et que l’on se préoccupe de se qu’ils vivent et comment ils le vivent dans ce monde. On remarque alors une émancipation des images, ce que l’on observera pour les livres étudiés ici. A partir des années 80, les récits d’apprentissage apparaissent en grand nombre. On note cette tendance d’autant plus présente aujourd’hui avec l’acquis en général que les enfants sont des êtres capables de penser et de se questionner. Quelques ouvrages...  Grosse colère C’est une journée où tout va de travers pour Robert. D’ALLANCE, Mireille.  La colère d’Aubépin Dans les sous-bois tout semble harmonieux. LACHNER, Dorothea.  Les colères Cet ouvrage présente les situations typiques des colères chez l’enfant. DOLTO-TOLICH, Catherine.  La lumière de Bouchka Bouchka ne supporte plus les absences de son père. HAUSFATER, Rachel, WYART, Rémi. ... et pour aider à grandir Quelques sites à visiter

Travail de deuil Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le travail de deuil est une expression créée par Sigmund Freud dans l'article Deuil et mélancolie en 1915[1]. Il s'agit du processus intrapsychique consécutif à la perte d'un objet d'attachement, d'un être cher. De ce point de vue, toute perte peut nécessiter un travail de deuil. Ce travail s'accompagne de phases pouvant être décomposées classiquement en cinq étapes. Le deuil[modifier | modifier le code] Article détaillé : Deuil. La mort de l'autre nous renvoie à l'idée de notre propre mort et à l'angoisse qu'elle provoque. « Le deuil est un processus humain provoqué par toute rupture, toute perte significative dans le champ de nos investissements. — Janine Pillot, Le travail de deuil Le deuil est un état affectif douloureux provoqué par la mort d'un être aimé. « Le deuil est régulièrement la réaction à la perte d'une personne aimée ou d'une abstraction mise à sa place, la patrie, la liberté, un idéal, etc. » — Sigmund FREUD, Deuil et mélancolie

Intelligence émotionnelle La mise en forme de cet article est à améliorer (octobre 2022). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Le détail des points à revoir est peut-être précisé sur la page de discussion. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article. L'intelligence émotionnelle (IE) fait référence à la capacité d'une personne à percevoir, comprendre, gérer et exprimer ses propres émotions, ainsi que celles des autres, afin de résoudre les problèmes et réguler les comportements liés aux émotions[1],[2]. Bien que le terme soit apparu pour la première fois en 1964[3], il a gagné en popularité dans le best-seller L'Intelligence émotionnelle[4], écrit par le journaliste scientifique Daniel Goleman en 1995. Portail de la psychologie

fear A scared child shows fear in an uncertain environment. In humans and animals, fear is modulated by the process of cognition and learning. Thus fear is judged as rational or appropriate and irrational or inappropriate. An irrational fear is called a phobia. Fear should be distinguished from, but is closely related to, the emotion anxiety, which occurs as the result of threats which are perceived to be uncontrollable or unavoidable.[1] The fear response serves survival by generating appropriate behavioral responses, as it has been preserved throughout evolution.[2] Etymology[edit] The noun "fear" stems from the Middle English words feer, fere and fer, the Old English fǣr for "calamity" or "danger" (and its verb fǣran, "frighten", but also "revere") is related to the Proto-Germanic fērą, "danger", the Proto-Indo-European *per, "to attempt, try, research, risk". Types[edit] Top 10 types of fear in the U.S. Common phobias[edit] One of the most common fears in humans is the fear of public speaking.

La colère | Avant d'imprimer ce document | Mise en garde | | Les quatre types d'expériences émotives | Pour explorer d'autres expériences émotives! | Des exemples J'en veux à mon patron d'ignorer notre entente sur mon augmentation salariale. Je suis furieuse contre mon fils qui veut abandonner ses cours. C'est le troisième problème que je rencontre avec mon ordinateur aujourd'hui. La colère est un émotion simple qui traduit l'insatisfaction. C'est sur cet aspect que la colère se différencie fondamentalement de la tristesse (qui elle aussi traduit une frustration). La colère est une émotion que nous vivons fréquemment. Selon l'importance de l'insatisfaction , la colère prend différentes intensités et diverses identités. Il y a aussi divers genres d'insatisfactions qui s'expriment à travers une gamme d'émotions de colère reflétant leurs particularités. À quoi sert la colère? La colère surgit lorsque l'équilibre est rompu dans un aspect de notre vie. La mobilisation nous prépare à "l'attaque".

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