background preloader

Cleopatra

Cleopatra
Cleopatra VII Philopator (Greek: Κλεοπάτρα Φιλοπάτωρ; Late 69 BC[1] – August 12, 30 BC), known to history as Cleopatra, was the last active pharaoh of Ancient Egypt, only shortly survived by her son, Caesarion as pharaoh. The name Cleopatra is derived from the Greek name Κλεοπατρα (Kleopatra) which meant "glory of the father" in the feminine form, derived from κλεος (kleos) "glory" combined with πατρος (patros) "of the father" (the masculine form would be Kleopatros Κλεοπατρος).[2][3] Cleopatra was a member of the Ptolemaic dynasty, a family of Greek [4] origin that ruled Egypt after Alexander the Great's death during the Hellenistic period. The Ptolemies, throughout their dynasty, spoke Greek[5] and refused to speak Egyptian, which is the reason that Greek as well as Egyptian languages were used on official court documents such as the Rosetta Stone.[6] By contrast, Cleopatra did learn to speak Egyptian[7] and represented herself as the reincarnation of an Egyptian goddess, Isis.

Théodora (femme de Justinien) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Théodora. Théodora (vers 500 - 548) est une impératrice de l'empire byzantin, femme de Justinien. D'humble origine, elle est semble-t-il la fille d'Acacius, un dresseur d'ours attaché au cirque de Constantinople. Avant de devenir la maîtresse du futur empereur Justinien, elle est, selon Procope de Césarée, danseuse et courtisane. Pour épouser Théodora, de 17 ans sa cadette, Justinien obtient de son oncle l'empereur Justin Ier l'abrogation d'une loi qui interdisait à un sénateur de se marier avec une courtisane. Sa vie privée, une fois sur le trône, est irréprochable, bien que Procope dans son Histoire secrète fasse de Théodora une véritable érotomane. Théodora est moins heureuse dans le choix de ses favoris et certaines de ses interventions sont pour le moins maladroites. Théodora meurt en 548, 17 ans avant Justinien, d'une maladie dont les symptômes ressemblent à ceux d'un cancer du sein.

Hatchepsout Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hatchepsout[1] est reine-pharaon, le cinquième souverain de la XVIIIe dynastie de l'Égypte antique. Généalogie[modifier | modifier le code] Son demi-frère, Thoutmôsis II, qu'elle avait épousé pour assurer la légitimité de ce dernier, monte sur le trône après le décès de son père ; mais, sans doute d'une santé fragile, il disparaît jeune. Manéthon l'appelle Amessis[2] ou Amensis[3]. « Thoutmôsis (le second) partit pour le ciel et se mélangea aux dieux. Or, à son avènement, le nouveau roi « était encore un tout jeune enfant. Titulature[modifier | modifier le code] Règne[modifier | modifier le code] Hatchepsout effectuant le rituel de fondation de la chapelle rouge en présence de Seshat On situe son règne de -1479 à -1457[5]. Sa célébrité actuelle doit plus à son audace de se faire représenter comme un homme qu'à son règne pendant l'âge d'or de la XVIIIe dynastie. Ce temple (photographies ci-dessous) a été restauré par une équipe polonaise.

Agrippine la Jeune Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Agrippine la Jeune C'est aussi la mère de Néron qui a été empereur de 54 à 68. Elle est en outre la descendante directe d’Auguste, empereur de 27 avant J. Petite-fille d'Agrippa et également petite-fille de Drusus, Agrippine la Jeune est la fille de Germanicus, tous trois généraux romains ayant commandé en Germanie Inférieure. Biographie[modifier | modifier le code] La fille de Germanicus[modifier | modifier le code] Statue d'Agripppine la Jeune trouvée à Orante en 1885 En 17, Germanicus est rappelé à Rome où l’on célèbre son triomphe le 26 mai. Dès lors, Agrippine l’Aînée et ses enfants sont ballotés entre les rivalités personnelles et les affaires d’État. La mère de Néron[modifier | modifier le code] Pièce romaine représentant Agrippine la Jeune. À Antium, le au lever du soleil[5], Agrippine accouche d’un fils, Lucius Domitius Ahenobarbus, le futur Néron. Sur l'ordre de Claude, Agrippine et Livilla retournent à Rome. Agrippine la Jeune était :

Septimia Bathzabbai Zénobie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Zénobie. Biographie[modifier | modifier le code] Aurélien entreprit une expédition, et remporta plusieurs succès sur les troupes palymériennes en Asie Mineure, puis à proximité d’Antioche, enfin près d’Émèse. La route de Palmyre était désormais ouverte ; la ville tomba sans combat, et l’empereur fit de Zénobie prisonnière alors qu’elle tentait de trouver refuge au-delà de l’Euphrate. Emmenée à Rome, elle orna son triomphe – quoique les sources soient très contradictoires sur le sort réservé à la reine après la prise de Palmyre. Quant à Palmyre, elle redevint ce qu’elle n’avait jamais cessé d’être depuis 19 apr. Après sa capture, Zénobie fut condamnée à l’exil à Tibur (aujourd’hui Tivoli). Dans l’art et le théâtre[modifier | modifier le code] Étymologie du nom de Zénobie[modifier | modifier le code] Le nom « Zénobie » vient de l’araméen Znuby Bath Zabbai (fille de Zabbai). Liste de femmes monarques

Livie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Livie Livie : Paris, Musée du Louvre. Fille de Marcus Livius Drusus Claudianus et troisième épouse de l’empereur romain Auguste. Biographie[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Livia Drusilla est née le 30 janvier 58 av. Mariage avec César Octavien[modifier | modifier le code] Ce mariage hâtif a fait couler beaucoup d’encre : est-il le fruit d’un «coup de foudre» ou répond-il à un besoin politique ? Livie et Auguste[modifier | modifier le code] Véritable appui politique et confidente d’Auguste, Livie est systématiquement consultée avant que son mari ne réunisse le consilium principis (le cercle de ses proches conseillers) : Auguste prépare même leurs conversations par écrit. Livie tient en outre une place importante dans la propagande impériale : sa maison sert d’exemple pour les ménages romains. Des honneurs sans précédent lui sont conférés du vivant d’Auguste : en 35 av. Livie disparaît en 29 à l'âge de 86 ans.

Olympias Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Olympias est sans doute née vers -375. Elle épouse Philippe II de Macédoine en -356, qu'elle a rencontré sur l'île de Samothrace lors de son initiation aux mystères des Grands Dieux. Olympias dans les arts[modifier | modifier le code] Olympias à travers la littérature[modifier | modifier le code] Elle est l'un des personnages du livre de fantasy de David Gemmell Le Lion de Macédoine. Olympias à travers le cinéma[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] (en) E. Article connexe[modifier | modifier le code] Liste de femmes monarques Portail de la Grèce antique

Boadicée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Selon les écrits, la mort de Boadicée diffère : dans une première version, en voyant la partie perdue, elle avale du poison pour ne pas tomber aux mains de l'ennemi, dans une autre version, blessée et prisonnière, elle meurt de maladie peu de temps après son arrestation. Pour ses filles aussi l'histoire diffère : dans la première version, l’aînée et la cadette moururent au combat, dans la seconde version, l’aînée survécut, et la cadette s'empoisonna. Mais pour l'histoire et les générations futures, Boadicée sera à jamais considérée comme la Vercingétorix bretonne[4]. La révolte de Boadicée est encore de nos jours un symbole de courage et de résistance des populations bretonnes contre l'envahisseur romain. Point de vue latin[modifier | modifier le code] Boadicée haranguant les Bretons de John Opie. Culture populaire[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Néfertiti Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Néfertiti (dont le nom signifie « la belle est venue » ou « la parfaite est arrivée ») est la grande épouse royale d'Akhénaton, l'un des derniers rois de la XVIIIe dynastie. Elle vécut aux environs de -1370 à -1333/34. Il n'est pas établi que Néfertiti ait survécu à Akhénaton. Néfertiti Généalogie[modifier | modifier le code] Akhénaton et Néfertiti, musée du Louvre Corps de femme, sans doute Néfertiti, musée du Louvre La date de son mariage et de sa montée sur le trône ne sont pas connues avec certitude, comme c’est le cas pour beaucoup d’autres données de cette époque. Les dernières études ont révélé que Toutânkhamon n'était pas son fils comme on pouvait le croire jusqu'à présent, mais le fils d'Akhénaton et de sa propre sœur et épouse secondaire[8], baptisée Younger Lady par les égyptologues qui hésitent sur son identité et ont répertorié la momie KV35YL[9]. La disparition de la reine[modifier | modifier le code] Michael E. Essais

Related: