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Psychologie du développement

Psychologie du développement
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La psychologie du développement est l'étude scientifique des changements dans le fonctionnement psychologique (fonctions cognitives, langagières, affectives et sociales) de l'individu humain au cours de sa vie. Domaine[modifier | modifier le code] Même si l'accent est souvent mis sur l'étude du développement de l'enfant (par exemple sur l'acquisition du langage), le champ s'intéresse aussi à l'évolution psychologique du nouveau-né, du nourrisson, de l'adolescent et dans une certaine mesure de l'adulte, notamment lors du vieillissement. La psychologie traite donc de questions portant sur l'existence et l'étendue des facultés mentales présentes aux différents âges, sur les processus d'apprentissage ou l'influence du milieu social et éducatif sur le développement, particulièrement en lien avec les caractéristiques propres de chaque individu. Développement psychologique[modifier | modifier le code] La méthode longitudinale La méthode transversale

Assimilation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : assimilation, sur le Wiktionnaire Une assimilation (ou « l'assimilation ») peut être : L’assimilation est un processus qui va de l’objet vers le sujet. Psychologie La psychologie est une discipline qui appartient à la catégorie des sciences humaines. Divisée en de nombreuses branches d'étude dont les théories et les méthodes de recherche varient grandement, la psychologie a des applications nombreuses. Étymologie[modifier | modifier le code] Étymologiquement, le mot psychologie dérive du latin psychologia, terme lui-même formé à partir du grec ancien ψυχή (psukhē : le souffle, l'esprit, l'âme) et -λογία (-logia, la science, l'étude, la recherche)[1] par le savant humaniste croate Marko Marulić (1450-1524) et qui semble apparaître pour la première fois dans le titre de Psichiologia de ratione animae humanae (fin XVe - début XVIe) dont la trace a été perdue[3],[4] si bien que la première occurrence attestée se trouve chez le juriste et philosophe allemand Johann Thomas Freig (lat. Freigius, 1543-1583). Objet d'étude et objectifs[modifier | modifier le code] L'objet d'étude de la psychologie est un débat non clos depuis des siècles. Traitement cognitif

Empathie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'empathie (du grec ancien ἐν, dans, à l'intérieur et πάθoς, souffrance, ce qui est éprouvé) est une notion désignant la « compréhension » des sentiments et des émotions d'un autre individu, voire, dans un sens plus général, de ses états non-émotionnels, comme ses croyances (il est alors plus spécifiquement question d'« empathie cognitive »). En langage courant, ce phénomène est souvent rendu par l'expression « se mettre à la place de » l'autre. Cette compréhension se produit par un décentrement de la personne (ou de l'animal) et peut mener à des actions liées à la survie du sujet visé par l'empathie, indépendamment, et parfois même au détriment des intérêts du sujet ressentant l'empathie. Dans l'étude des relations interindividuelles, l'empathie est donc différente des notions de sympathie, de compassion, d'altruisme ou de contagion émotionnelle qui peuvent en découler. Théories et théoriciens[modifier | modifier le code] Voir, par exemple :

Mémoire (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mémoire. Les formes et fonctions de la mémoire en sciences. En psychologie, la mémoire est la faculté de l'esprit permettant de stocker, conserver et rappeler les expériences passées, des informations ou encore des gestes. C'est un domaine qui est traité par différentes approches : cognitivistes, comportementaliste, psychanalytique et en neuropsychologie. Pyramide des 5 systèmes de mémoires Le courant cognitiviste classique regroupe habituellement sous le terme de mémoire les processus d'encodage, de stockage et de récupération des représentations mentales. Le plus influent des modèles structuraux de la mémoire est le modèle modal, qui divise la mémoire en trois sous-systèmes : registre sensoriel, mémoire à court terme et mémoire à long terme. Les trois composantes de la mémoire dans le modèle modal sont : Les trois sous-composants du modèle de Baddeley et Hitch sont :

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