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L'histoire des FabLabs...

L'histoire des FabLabs...

MaKey MaKey: An Invention Kit for Everyone - Buy Direct (Official Site) Diffuser la culture makers au monde extérieur Par Rémi Sussan le 31/10/13 | 10 commentaires | 1,189 lectures | Impression Quel point commun entre un projet de quartiers numériques à Lomé et le MadLab de Manchester ? En fait, tous deux se définissent comme des initiatives grassroots, et se préoccupent d’introduire le numérique dans des milieux pas forcément bien équipés en haute technologie. Alors que l’initiative de “hubcité” porté par Koffi Sénamé Agbodjinou cherche à intégrer le numérique aux modes de vie africains , le MadLab britannique cherche à briser la frontière entre les technophiles geeks et le reste de la population. Koffi Sénamé Agbodjinou (@senamekoffi), architecte togolais, fondateur de l’Africaine d’architecture, travaille sur la fusion entre les pratiques issues des Fab Labs et les traditions architecturales et culturelles africaines. Image : Koffi Sénamé Agbodjinou sur la scène de Lift France 2013 présente les lieux d’implantation des futurs Fab Lab de Lomé. Comment concilier ces deux univers ? Eloge du désordre

Fab lab en bibliothèque : Exemples et mode d’emploi Qu’est-ce qu’un fab lab ? Comment mettre en place ce nouveau type de lieu partagé ? Un espace public numérique peut-il aujourd’hui faire évoluer une partie de ces activités en fab lab ? À ces questions, Marie D. Fab lab : passer de l’âge de l’accompagnement à l’âge du faire numérique L’experte revient sur les différentes périodes technologiques vécues par les bibliothèques (et les lieux d’accès et d’accompagnement à l’informatique et à l’Internet) : l’âge de l’accès et de la formation et désormais l’âge de la participation (ou l’âge du faire numérique). Ce changement de paradigme induit une définition ouverte des lieux partagés que sont les fablabs pensés aussi bien dans les services proposés que dans la capacité de création, de partage et d’éducation à la culture numérique des citoyens : Fab lab : mode d’emploi Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : International Tags: bibliothèque, créativité, EPN, fablab, Innovation, lieux partages

Un bol à chat | échoFab | C'est plus qu'un atelier de fabrication numérique Avant les fêtes, Saad et Nicolas, deux élèves de cinquième année, sont venus au Lab avec un projet précis en tête : créer un bol à chat anti-dégât. En quelques visites au Lab, ils ont pu réaliser leur prototype qui a reçu les honneurs dans leur classe et auprès d’un juge de l’émission Dans l’oeil du dragon, diffusée sur les ondes de Radio-Canada. Portrait d’une grande réalisation par deux jeunes bidouilleurs. Pour un projet scolaire, les deux jeunes hommes de 10 ans devaient créer un produit qui réglerait un problème de la vie quotidienne. Nicolas, ayant remarqué que de la nourriture s’échappe régulièrement de la gamelle de son chat, décide de remédier à la situation en créant un bol aux rebords courbés vers l’intérieur. Rapidement, ils font face à un défi de taille : créer un prototype fait d’un matériel solide. Elle prend donc rendez-vous au Lab et quelques jours plus tard, les deux garçons sont accueillis par l’équipe d’animateurs.

Le Fablab ou le nouveau lieu de retrouvailles ? Le Fablab est un lieu ouvert au public, où il est possible d’utiliser des outils de conception technique afin de réaliser soi-même, ou à l’aide de la communauté des objets qu’on a soi-même designé ou dessiné. Vulgarisé avec l’apparition des imprimantes 3D, le Fablab est beaucoup plus qu’un endroit où on peut sortir un bibelot en plastique. Il n’est pas non plus réservé aux citadins en mal de nouveautés. Préparez-vous à changer de paradigme, et de laisser de côtés vos aprioris ! Focus… Les 3 ingrédients du Fablab. Un lieu Le fablab est avant tout un lieu. Le nouveau paradigme de la création-conception-consommation. A quoi sert un Fablab ? Créer plutôt que consommer Voilà la devise du 1er Fablab, créé dans la fin des années 1990, au MIT ( Massachussets Institute of Technology ). Le nombre de Fablabs se multiplie par 2 tous les ans. Car en Afrique, les produits achetés en occident, très chers, tombent en panne. Ce site permet de proposer l’ensemble des plans et des créations de la communauté.

Vive la Co-Révolution | Hors-Sillon « Une vision radicalement neuve de la nature humaine émerge lentement, se renforce et peut révolutionner notre façon de comprendre et d’organiser nos relations économiques, sociales et environnementales au cours des prochains siècles. Nous avons découvert l’homo empathicus » Jérémy Rifkin, Une Nouvelle Conscience pour un monde en crise, Vers une Civilisation de l’Empathie. Une société et une économie basée sur la confiance réciproque, l’entraide, l’échange de savoirs…. utopique me direz-vous? Pas si Sûr! Cohabitation, Covoiturage, Co-Utilisation, CoCréation, Coopération….Il y est question de toutes les formes de collaboration dans le monde, forme de collaboration ayant toujours existé, mais devenant un phénomène grandissant grâce au Web 2.0. et à ses outils. Et lorsque Kiss Kiss Bank Bank, la plateforme de Crowdfunding, parle d’économie collaborative, ça donne ça. Crédits Photos: Sandrine Martin

NYBI.CC | Makerspace Nancy Court-Circuit / Circuit Court » Retour sur la journée économie réinventée Le 11 février dernier, PiNG co-organisait avec le Quartier de la Création une journée d’échange et de réflexion autour de l’économie réinventée. Une soixantaine de personnes d’horizons différents (acteurs du secteur créatif et culturel, collectivités territoriales, structures de l’économie sociale et solidaire, entrepreneurs de l’économie collaborative…) sont venues participer aux présentations du matin autour de l’économie collaborative, de la monnaie locale nantaise et de la plateforme de financement collaboratif Goteo. L’après-midi s’est déroulé en mode barcamp : 4 ateliers différents ont été proposés à l’initiative de la trentaine de participants restés. Retour sur cette journée… Amorce d’un langage commun… La matinée avait vocation a créer un référentiel commun autour de sujets proposant une autre approche de l’économie. Pascal Bolo, adjoint au Maire, et Yves Matthieu, Missions Publiques, ont ensuite pris la parole pour présenter leur projet de monnaie locale nantaise.

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