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Théorie des supercordes

Théorie des supercordes
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue d'artiste de la théorie des supercordes Actuellement, le problème le plus fondamental en physique théorique est la grande unification, ou, autrement dit, l'harmonisation de la théorie de la relativité générale, qui décrit la gravité, et s'applique bien aux grandes structures (étoiles, planètes, galaxies), et de la mécanique quantique qui décrit les trois autres forces fondamentales connues : électromagnétique (EM), l'interaction faible (W) et forte (S). La physique des particules élémentaires modélise celles-ci comme des points dans l'espace et les fait interagir à distance nulle, ce qui amène à des résultats de valeurs infinies. L'idée de départ est que les constituants fondamentaux de la réalité seraient des cordes d'une longueur de l'ordre de la longueur de Planck (approx. 10-33 cm), qui vibreraient à des fréquences de résonance. Le nombre de dimensions[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Related:  Science - divers2018 Juillet

Cosmologie 1 : le Big-Bang Cela fait maintenant quelques semaines que mon temps et mon énergie vont plutôt dans la réalisation de vidéos que dans l’écriture de billets de blog. Pour ceux qui préfèrent la forme écrite à Youtube, j’ai décidé de me rattraper en vous proposant en alternance avec les vidéos une petite série de 3 billets consacrés aux éléments de base de la cosmologie théorique, une discipline pas si imbitable qu’on le croit ! Comme d’habitude, l’idée est que ces billets soient lisibles avec des connaissances de lycée. Le billet de cette semaine commence avec le Big-Bang, et les deux suivants seront consacrés respectivement au destin de l’Univers, et au mystère de l’énergie noire. L’équation d’Einstein Toute la cosmologie moderne est fondée sur la théorie de la relativité générale d’Einstein. Pour pouvoir concrétiser cette idée, Einstein avait besoin d’une équation qui permette de quantifier ce lien, c’est-à-dire qui relie la courbure de l’espace-temps à la masse. la vitesse de la lumière, et à un instant

Univers biocentrique L'Univers biocentrique (du grec : βίος, bios, « vie »), aussi connu sous le nom de biocentrisme, est un concept proposé en 2007 par le docteur américain Robert Lanza, scientifique dans le domaine de la médecine et de la biologie régénérative[1],[2],[3]. Il voit la biologie comme la science centrale qui régirait l'univers et conçoit la compréhension des autres sciences comme dépendante d'une compréhension plus profonde de la biologie. Le biocentrisme stipule que la vie et la biologie sont au cœur de l'être, de la réalité et du cosmos et que la conscience créerait l'univers plutôt que l’inverse. L'auteur affirme que les théories actuelles du monde physique ne fonctionnent pas et ne pourront jamais être mises en œuvre tant qu’elles ne prendront pas pleinement en compte la présence de la vie et de la conscience. Les critiques se sont demandé si cette théorie était falsifiable ou non. Hypothèse[modifier | modifier le code] Sept principes forment le cœur du biocentrisme[9].

Théorie des cordes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les niveaux de grossissements : monde macroscopique, monde moléculaire, monde atomique, monde subatomique, monde des cordes. La théorie des cordes est un domaine actif de recherche traitant de l'une des questions de la physique théorique : fournir une description de la gravité quantique c’est-à-dire l’unification de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité générale. La principale particularité de la théorie des cordes est que son ambition ne s’arrête pas à cette réconciliation, mais qu’elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du tout. La théorie des cordes a obtenu des premiers résultats théoriques partiels. Dans le cadre de la thermodynamique des trous noirs elle permet de reproduire la formule de Bekenstein et Hawking pour l’entropie des trous noirs. Présentation élémentaire du problème[modifier | modifier le code] Hypothèses et prédictions[modifier | modifier le code]

Ondes scalaires (1) Ondes scalaires (1) Nota Bene: la science officielle ne reconnaît pas l'existence des ondes scalaires. Je me permet un petit résumé des diverses informations que j'ai pu avoir à propos des ondes scalaires. C'est un livre écrit par Bearden (inventeur du MEG) sur lequel je suis tombé et que j'ai dévoré, car il fait une très bonne synthèse de ce que sont les ondes scalaires. Quel intérêt ont-elles? Que sont-elles? Comment se les présenter? La résultante est nulle et produit une onde se propageant dans la même direction, mais ne vibrant plus: une onde scalaire. Mais elles vibrent d'une manière différente: par le changement de leur magnitude dans le temps. C'est une pression qui ne se "voit" pas, qui s'exerce sur le vide dans lequel elles se déplacent. Qui les produit? La différence avec la vision quantique, est que l'énergie n'a pas été perdue, mais a été transformée en ondes scalaires qui représentent des lignes de pression dans le continuum espace temps. Lien avec la gravité

Théorie du tout Un événement simulé dans le détecteur de particule du LHC du CERN L'unification théorique des quatre forces fondamentales régissant la physique dans son ensemble porte aussi le nom de superforce. Historique[modifier | modifier le code] La physique dans son ensemble procède d'une démarche unificatrice, cherchant à développer des théories susceptibles d'offrir la description d'un nombre croissant de phénomènes physiques. L'interaction gravitationnelle[modifier | modifier le code] À la suite de sa publication sur la relativité générale en 1915, Albert Einstein a consacré les trente-cinq dernières années de sa vie à tenter d'unifier les interactions gravitationnelle et électromagnétique[1]. L'interaction électromagnétique[modifier | modifier le code] Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, James Clerk Maxwell aborda et proposa finalement en 1873 le cadre unifié permettant de décrire les phénomènes électriques et magnétiques : l'électromagnétisme. L'interaction forte[modifier | modifier le code]

Théorie M - M theory Nos Magazines Nos services Afficher plus de tags Mots-clés | physique Théorie M Aucun commentaire Réagissez Théorie spéculative unifiant les 5 théories des supercordes. vidéo 1.vidéo 2. Définition précédente Théorie électrofaible Définition suivante Thermodurcissable connexes Actualité Voir plus Dossier Définition Livre Vos réactions Chargement des commentaires Le TOP des définitions next Top 3 Actualité Top 3 Dossier Restez connecté Nos magazines Nos Services Contact | Widget Actualité | Flux RSS | g+ | Mentions légales | Qui sommes-nous ? AddThis Sharing FacebookTwitterGoogle+ Hide Show Share Toggle Dock Share Close AddThisPrivacy

Ondes scalaires (2) Ondes scalaires (2) Ondes scalaires: rupteurs atomiques? En fait que je parle de déstabiliser la liaison nucléïque, je ne parle pas de destruction de la liaison, qui est collée par intéraction forte, plus solide que les énergies mises sen jeu par les ondes scalaires. Je parle plutôt d'ajouter ou soustraire de l'énergie à cette liaison, capable d'exciter ou désexciter un atome, et pourquoi pas brouiller la liaison qui existe entre le noyau et les électrons en orbite, rendant les électrons plus mobiles ou moins mobiles, en les liant plus fortement au noyau (puisque les ondes scalaires sont sensées être des ondes de potentiel gravitique et des engendreurs de champ magnétique et électrique par interférence mutuelle). Elles sont en quelque sorte l'énergie de base qui sert à actionner d'autres forces. Dans les processus à énergie libre, on récupère l'énergie de ces ondes scalaires, créées par le "vide" quantique pour créer de l'énergie sous forme électrique. <<< Précédent | Suivant >>> 1 2 3 4

Martin White: Current Research Interests RESEARCHINTERESTS Martin White Recent publications Overview I am a theorist and phenomenologist. Cosmology today is in a state similar to where particle physics was 20 years ago. I am a member of the Theoretical Cosmology group. While the study of structure formation is a unifying concept, my research falls into four separate categories: I have extensive experience in the cosmic microwave background, large-scale structure surveys, the Lyman Alpha forest, clusters of galaxies, galaxy formation and evolution and quasars. In addition to my purely theoretical work I am a member of several large experimental/observational teams. I was the chair of the survey science team for BOSS, which was a part of SDSS-III. The quickest way to see what I am thinking about is to look at my list of publications, some of which (plus tutorials, movies, pretty pictures etc) are online. Questions in Physical Cosmology Questions to which we don't know the answer include: Large-Scale Structure The Microwave Background

théorie des cordes Rating: 3.5/5 (8 votes cast) Retranscription et récapitulatif d’un entretien avec Etienne Klein enregistré dans l’émission Ombres et lumières sur l’origine de l’Univers de Ciel et Espace Radio, entretien dans lequel il parle de son dernier ouvrage “Discours sur l’Origine de l’Univers” La cosmogonie tente de décrire la formation de l’Univers, alors que la cosmologie est la science qui s’intéresse aux lois qui gouvernent l’Univers en tant que système physique. Il paraît qu’il n’y a pas de culture sans cosmogonie (à vérifier auprès des anthropologues…). Nature ontologique et législative de l’Univers Avant Galilée on considérait qu’il existait un monde sub-lunaire fait d’une matière de 4 éléments et un monde supra-lunaire constitué d’une autre essence. Le Néant Le mot Origine Notre manière de conceptualiser le changement en utilisant la notion d’identité fonctionnne-t-elle pour expliquer l’origine de l’Univers et des objets qui le constituent? Origines secondaires Origine primaire Le vide quantique

La Constante de Planck Le physicien Max Planck apporta une très grande contribution à la théorie quantique ; il découvrit la valeur d'une constante qui portera son nom et qui exprime le seuil d'énergie minimum que l'on puisse mesurer sur une particule. Voyons maintenant la valeur de cette constante : h = 6,63 . 10 -34 joules.seconde. Planck découvrit cette constante en 1900, par la force des choses si l'on peut dire, car à cette époque on croyait que les échanges d'énergie entre la matière et le rayonnement s'effectuaient de façon continue, alors que les expériences prouvaient le contraire. Il introduisit la valeur de cette constante dans ses calculs, avec par la suite l'intention de faire tendre sa valeur vers 0 pour revenir à une description continue du rayonnement, mais ses efforts furent vains : la constante h ne pouvait être annulée sans contredire les expériences... Voici donc la formule élaborée par Max Planck : E = h . f, dans laquelle : Il donnera plus tard le nom de quantum à ces quantités.

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