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Une sacrée victoire pour la France

Une sacrée victoire pour la France
Coucou ! Aujourd'hui, c'est le 12 mars 2011 et c'est la journée mondiale de la cyber censure organisée par Reporters Sans Frontières (RSF). Pour "fêter" celà, ils ont mis en ligne une liste des ennemis d'Internet. Les voici : Arabie saouditeBirmanieChineCorée du NordCubaIranOuzbékistanSyrieTurkmenistanViêt-Nam Et en complément, une liste des "Pays sous surveillance", c'est à dire ceux qui en 2010, ont exercés une censure du net, via des arrestations, du harcèlements ou de la surveillance des net-citoyens mais aussi le blocage de sites web ou le vote de lois liberticides. Voici la liste : AustralieBahreïnBélarusCorée du SudEgypteEmirats Arabes UnisErythréeFranceLibyeMalaisieRussieSri LankaThaïlandeTunisieTurquieVenezuela Et oui, parmi tous ces beaux pays, la France figure en bonne place... Comment j'suis trop fier qu'on soit au niveau de l'Egypte, de la Malaisie, de la Libye ou du Vénézuela ! Pour tous les détails je vous invite à consulter le site de la journée mondiale de la cyber censure.

Censure d'un spectacle parodiant les discours de Sarkozy En Rhône-Alpes, la Drac (Direction régionale aux affaires culturelles) craint le crime de lèse-Sarkozy. Un de ses agents a fait du chantage aux subventions à une association grenobloise qui organise un festival de théâtre de rue depuis dix ans. Festiv’arts ne dépend pas à l’année des subventions publiques. Mais l’association, qui prépare la dixième édition de son festival pour avril, avait répondu à un appel d’offre du ministère de la Culture dans le but de financer un festival off consacré aux jeux de mots. L’occasion – « alors que c’est de plus en plus rare » – de financer une vingtaine de personnes et de rémunérer tous les artistes et les techniciens avec des cachets de plus de 75 euros, résume Auriane Faure, l’organisatrice. Pour la Drac, « un objet non-identifié » Conteurs, sérigraphiste, graffeurs étaient donc attendus sur deux jours, mais surtout une comédienne-metteur en scène, Rafaëlle Arditti, qui a construit son spectacle autour d’un discours de Nicolas Sarkozy.

Silvio Berlusconi encadre la publication de vidéos sur Internet 01net le 20/01/10 à 19h07 Les Italiens vont-ils être soumis aux mêmes obligations que les chaînes de télévision ? Cette autorisation sera obligatoire. Un danger pour la démocratie Les FAI et les sites de partage de vidéos italiens estiment quant à eux qu'ils ne peuvent pas être reconnus responsables des contenus postés par les internautes. Selon le commissaire de l'Autorité italienne des communications, Nicolas D'Angelo, « l'Italie devient le seul pays européen dans lequel il est nécessaire d'avoir l'autorisation du gouvernement pour développer ce genre ce service [la mise en ligne de vidéos, NDRL]. Certains notent le conflit d'intérêts auquel est exposé le Premier ministre italien. Le décret devrait entrer en vigueur le 27 janvier prochain, à moins qu'il ne soit retoqué par le Conseil d'Etat, comme le souhaite l'opposition.

Italie : censure sur le Web [MàJ - 6 octobre 2011] Ça continue... [MàJ - 25 janvier 2010] J'ai vu dans mes liens référents que ce billet est cité sur Numérama, où l'un des commentateurs dit ceci : Je ne suis pas complètement d'accord avec l'analyse de Jean-Marie Le Ray sur son blog. Oui, la directive européenne exclut "les activités dont la vocation première n'est pas économique et qui ne sont pas en concurrence avec la radiodiffusion télévisuelle, comme les sites web privés et les services qui consistent à fournir ou à diffuser du contenu audiovisuel créé par des utilisateurs privés à des fins de partage et d'échange au sein de communautés d'intérêt." Je précise donc que mon billet reprend surtout l'analyse dominante faite en Italie, qui est à l'origine d'une contestation officielle de l'opposition devant le Conseil d'État. (j'ai essayé de répondre directement sur Numérama, où je me suis inscrit pour publier, mais mon commentaire n'a pas été accepté, j'ignore pourquoi) Voyons pourquoi. Or que fait Berlusconi ?

AVIS DE SUSPENSION PROVISOIRE Aux Pays-Bas, lister des miroirs de The Pirate Bay est interdit Le blocage de The Pirate Bay aux Pays-Bas prend de l'ampleur. Ce sont désormais sept fournisseurs d'accès à Internet qui ont reçu l'ordre de la justice néerlandaise d'empêcher leurs clients d'accéder au portail de liens BitTorrent. Ils s'agit d'UPC, de KPN, de Tele2, de T-Mobile, de Telfort, de XS4ALL et de Ziggo. Ces deux derniers opérateurs ont fait l'objet d'une procédure distincte, survenue en janvier. D'après le site néerlandais Tweakers, les cinq FAI concernés par la décision de justice (UPC, KPN, Tele2, T-Mobile et Telfort) ont dix jours pour mettre en place le blocage effectif de leurs abonnés s'ils tentent de se rendre sur The Pirate Bay. En cas de refus, chaque FAI s'expose à une amende de 10 000 euros par jour de retard (250 000 euros au maximum). Manifestement conscient que certains internautes sont capables de contourner sans difficulté le blocage de The Pirate Bay, le tribunal néerlandais en a profité pour rendre une autre décision.

Une fonctionnaire suspendue pour un pamphlet sous pseudo Alain rousset dans l’hémicycle du conseil régional d’Aquitaine, le 20 mars 1998 (Régis Duvignau/Reuters). Aurélie Boullet, la fonctionnaire auteure d’un pamphlet sous le pseudo de Zoé Shepard sur le fonctionnement du conseil régional d’Aquitaine, a finalement écopé quatre mois de suspension, suivis de six mois de mise sous observation. Le conseil de discipline avait en juillet proposé deux ans d’exclusion sans rémunération, mais le président du conseil régional, Alain Rousset (PS), a « souhaité revoir à la baisse cette décision à l’égard d’une jeune fonctionnaire exerçant sa première expérience professionnelle ». Sanctionnée pour son « manquement à l’obligation de discrétion, manquement à l’obligation de réserve et comportement fautif à l’égard de sa hiérarchie », Aurélie Boullet entend saisir les tribunaux administratifs pour faire annuler cette sanction. Reste à Alain Rousset, président PS de la région, le délai d’un mois pour prendre une sanction définitive.

Le gouvernement invite les maisons de disques à censurer leurs artistes Ca n'est une surprise pour personne qu'un député UMP interroge le ministère de la Culture sur "la violence des paroles de certains groupes musicaux". Sans être explicitement nommé, le rap est directement visé par la question du député Jean Bardet, qui fustigeait en février dernier le fait que "sous couvert de liberté d'expression, ils transmettent un message de haine et de violence, et encouragent leur auditeurs à se révolter contre toute forme d'autorité publique". Le député demandait au ministère ce qu'il entendait faire pour que soient sanctionnés des propos qui "choquent nombre de nos concitoyens qui ne comprennent pas l'absence de réaction de l'État". La réponse du ministère de la Culture est plus surprenante. Si la censure ne peut s'exercer légalement au niveau des tribunaux, elle peut s'imposer en amont au niveau des maisons de disques et des organisateurs de concerts, semble plaider le ministère.

L’ancien président de Google Chine révèle des statistiques de la censure Sauf indication contraire, les liens dirigent vers des sites en anglais. Kai-Fu Lee, ancien président de Google Chine, a publié sur Twitter un graphique montrant la régularité à laquelle son micro-blog était victime de la censure du gouvernement chinois. Lee blogue régulièrement à propos des problèmes culturels et technologiques de la Chine sur Sina Weibo, l'une des plateformes de micro-blogging les plus influentes du pays. Le gouvernement censure régulièrement le contenu qu'il juge inadmissible. Vous trouverez ci-dessous le graphique mis en ligne par Lee ainsi que les explications des termes sensibles qui ont entraîné la suppression des posts en question. Graphique de Kai-Fu Lee sur les suppressions de posts sur Sina Weibo. 29 juillet – 5 août 2012 : 6 posts supprimés Termes sensibles : Incident de Qidong (啟東事件) : rassemblement de masse dans la province du Jiangsu. 10 septembre – 16 septembre : 8 posts supprimés 5 novembre – 11 novembre : 6 posts supprimés

Des ados ont développé leur propre système bancaire! Inde – Social: Un groupe d’adolescents de New Dehli … a décidé de prendre son avenir à bras le ….portefeuille! Ils ont décidé de travailler ensemble et de gérer les revenus de leur travail en développant un système bancaire personnel fondé sur l’idée : « Je travaille dur et j’épargne pour mon avenir ». La banque s’appelle « Le coffre au trésor » et existe depuis 2001 et se développe dans tout le pays… et même à l’étranger (A reproduire…) Elle compte aujourd’hui 300 branches en Inde, au Népal, au Bangladesh, en Afghanistan, au Sri Lanka et au Kirghizstan. L’idée est née des auteurs de ce site : butterflieschildrights.org Img Diapo WordPress: J'aime chargement…

croule sous les procès, aidez-nous à payer l'avocat ! L’arme judiciaire contre le journalisme d’investigation ; le soutien des lecteurs contre les pressions des plus puissants. Rue89 est confronté de plus en plus fréquemment à la menace de poursuites judiciaires abusives de la part de ceux qui tentent de brider nos enquêtes journalistiques. Riverains, aidez-nous à payer nos frais de défense et défendez l’indépendance de votre site. Rue89, comme tous les médias, en ligne ou sur papier, est naturellement soumis aux lois sur la diffamation, la protection de la vie privée, etc. Plusieurs fois poursuivi, Rue89 a, jusqu’ici, gagné tous ses procès. Précédemment, c’est Quick, la société de fast-food, propriété de la Caisse des dépôts et consignations, donc de l’Etat français, qui s’estimait diffamée par un article de notre journaliste-enquêteur Augustin Scalbert sur les conditions de son rachat à Albert Frère, le financier belge. Et encore des procédures judiciaires... Je choisis ma brique Voici une petite série de visuels que vous pouvez utiliser.

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