Banksy et son soutien affiché aux migrants de Calais EN IMAGES - Le 24 janvier, un nouveau graffiti du street-artist a été découvert à Londres, en face de l'ambassade française. Il y faisait à nouveau référence à la «jungle» située dans le Nord de la France, où il avait réalisé en décembre plusieurs dessins alertant sur la situation des hommes qui y sont coincés. S'il continue de dissimuler sa véritable identité, Banksy ne s'est jamais caché d'être un artiste engagé. Dans ses œuvres de street-art, il dénonce par exemple régulièrement les effets du capitalisme. Une cause qu'il ne compte pas laisser tomber, comme l'a prouvé un nouveau graffiti réalisé sur une palissade en face de l'ambassade de France à Londres, découvert le 24 janvier. Cet ultime graffiti rappelle les autres peintures et collages effectués par Banksy début décembre à Calais. «Nous sommes souvent amenés à croire que l'immigration va pomper les ressources d'un pays, mais Steve Jobs était le fils d'un immigré syrien» Banksy
HOLY SHIT – La restauration d’une peinture du Christ tourne au massacre A gauche, la peinture originale. A droite, la même après restauration. On croit d’abord à un poisson d’avril, puis on se souvient qu’on est en août. De quoi s’agit-il ? A gauche, la peinture telle qu’elle était il y a deux ans ; au milieu, la peinture en juillet, quand elle fut photographiée pour un catalogue d’art religieux régional ; à droite, la même après « restauration », telle qu’elle fut découverte par les membres du Centre d’études de Borja le 6 août. Que s’est-il passé ? L’affaire a déclenché l’ire de quelques Espagnols, et en a fait sourire beaucoup. Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans Actualité.
L’Art «dégénéré», l’art détesté par les Nazis, s’expose à New York Temps de lecture: 5 min Comment illustrer dans seulement trois salles la politique systématique d’un Etat totalitaire de mise à l’index de l’art moderne, au nom de la vision esthétique d'un seul homme: Adolf Hitler. C'est la gageure entreprise et réussie par la Neue Galerie à New York au travers de l’exposition Degenerate Art: The Attack on Modern Art in Nazi Germany, 1937» (Art dégénéré: l’attaque contre l’art moderne dans l’Allemagne nazie en 1937). L’histoire d’une génération perdue, racontée au travers d’une cinquantaine d’œuvres, une douzaine de cadres vides, représentant des peintures disparues ou détruites... et d’un inventaire impeccablement tenu. Arrivé au pouvoir en 1933, Hitler a voulu rapidement instaurer un art officiel. Le logo du Bahaus via Wikimedia Commons Une fois au pouvoir, les nazis ont entrepris de diaboliser à une grande échelle l’avant-garde allemande. Des oeuvres détruites, vendues ou échangées Une exposition à Munich en 1937 Le concept idéologique de dégénérescence
Des affiches de cinéma en art minimal Dans la série des affiches de cinéma détournées, Konbini vous a déjà rapporté de nombreux projets différents. Des visuels honnêtes aux personnages incarnés par des loutres ou encore des lampes (oui, oui), on n'arrête plus les appropriations du septième art. Michal Krasnopolski est graphiste et amateur de cinéma. Mais son truc, surtout, c'est l'art minimal. Des aplats de couleurs vives, des traits simples et quelques formes géométriques parfaites... Voilà comment cet artiste voit les classiques du cinéma. Les Dents de la Mer (Crédit image : Michal Krasnopolski) Alien (Crédit image : Michal Krasnopolski) Lost Highway (Crédit image : Michal Krasnopolski) Le Seigneur des Anneaux : la Communauté de l'Anneau (Crédit image : Michal Krasnopolski) Singin' in the Rain (Crédit image : Michal Krasnopolski) Pulp Fiction (Crédit image : Michal Krasnopolski) À la recherche d'Octobre Rouge (Crédit image : Michal Krasnopolski) Tron : l'héritage (Crédit image : Michal Krasnopolski)