background preloader

RISQUES ET DANGERS POUR LA SANTE

RISQUES ET DANGERS POUR LA SANTE

pollution nappes phréatiques Note d’informationL’extraction des gaz de schistes arrive en France après s’être considérablement développée aux Etats-Unis au cours de la dernière décennie. En mars 2010, le ministère de l’Ecologie, alors en charge de l’énergie, annonçait l’octroi de trois permis d’exploration dans le Sud de la France – les permis de Montélimar, de Villeneuve de Berg et de Nant. Les Amis de la Terre France se mobilisent contre un projet industriel à grande échelle qui ne résoudra en rien la difficile équation entre la crise climatique et la sécurité énergétique, et pose un risque sanitaire et environnemental grave. PrésentationLes gaz de schistes sont des gisements de gaz présents dans des schistes du sous-sol, non pas sous la forme de nappes mais « prisonniers » au cœur de roches sédimentaires. La technologie nécessaire à l’exploitation de ces gisements n’est disponible que depuis peu. La fracturation hydraulique consiste à fragmenter la roche par injection de sable et d’eau à forte pression.

Carte de France du GPL Stations-service en France Particulièrement bien développé, et depuis longtemps chez nos voisins européens, le GPL bénéficie à ce jour en France, d'un réseau de près de 1 750 stations-service GPL. En savoir plus Consultez la carte de France des stations-service GPL et des installateurs Consultez l'annuaire des stations services GPL (positionnement des stations, relevés de prix par station, téléchargement d'outils de recherche de stations, possibilité de créer la liste de ses stations favorites, etc Site de GPL online Stations-service en Europe Pour vous permettre de préparer vos déplacements en Europe et vous ravitailler en GPL, vous trouverez sur le site en lien ci-dessous des informations sur les stations-service délivrant ce carburant. Adaptateurs pour l'étranger En Europe, plus de 27 000 stations GPL à votre service ! Comment vous procurer les adaptateurs GPL ? Ces adaptateurs sont parfois vendus dans les stations ou même mis à disposition gratuitement.

cocktail toxique pour extraire Benzène, toluène, plomb, cuivre, diesel… ces substances très nocives ne sont qu'un petit extrait des 2500 produits chimiques utilisés entre 2005 et 2009 par l'industrie des gaz de schiste aux Etats-Unis. Les démocrates de la Chambre des représentants américaine ont publié samedi un rapport dressant "l'inventaire le plus complet" de ces produits nécessaires à l'extraction par fracturation hydraulique des gaz non conventionnels. 29 cancérigènes ou polluants Parmi les 750 substances chimiques identifiées se trouvent 29 produits classés comme des cancérigènes probables ou suspectés, ou des polluants de l'air ou de l'eau. Et ces substances toxiques ont été utilisés à grande échelle : en cinq ans, plus de 38 millions de litres de produits contenant au moins un cancérigène, et 43 millions de litres d'ethylbenzene (polluant de l'air et de l'eau). Pour en savoir plus : Téléchargez le rapport complet (en anglais) : Chemical use in hydraulic fracturing

Le jour où le plein de ma voiture me coûtera 200 euros L'arrivée du "peak oil", du pic pétrolier, celui où la demande excède définitivement l'offre, ne saurait tarder. D'ici quelques années, malgré des tentatives de remplacement par les agrocarburants, nous allons être en manque de pétrole. Nous nous en apercevrons en passant à la pompe. Le prix du plein va monter, atteignant 100 euros, puis dans les décennies à venir, deux cents puis trois cents euros. Pour rester réaliste, les hypothèses formulées dans cette article s'appuient sur deux postulats: • le prix des matières premières (métaux et plastiques) augmentent dans les mêmes proportions. • les déficits publics et privés des pays européens ne soient pas résorbés. 1. Les ménages et les entreprises vont devoir faire davantage attention à leurs déplacements automobiles. Dans les entreprises, on regardera aussi à la loupe le déplacements des commerciaux ou la fréquence de réunions des cadres. On envisagera aussi d'un autre oeil les déplacements en avion. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Conclusion

Les opposants au gaz maintiennent la pression n en aurait presque oublié qu'ils étaient en colère. Hier après-midi, sous un soleil radieux, un cortège bariolé réunissant toutes les générations, très bon enfant, chantant au son de l'accordéon et de divers orchestres, manifestait son opposition à l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste à Cahors. Parmi les 5 000 participants, selon les organisateurs - 3 200 selon les forces de l'ordre - se trouvaient de nombreux Sarladais. Une centaine avait rallié la capitale du Lot avec deux bus affrétés pour l'occasion et beaucoup étaient venus par leurs propres moyens. Michel Roy, un travailleur social retraité, a pris le bus : « Avec le bus, cela permet de faire du covoiturage, d'émettre moins de CO2, et de garder une dynamique. » Le trajet a permis aux participants de faire le point sur le mouvement (lire ci-dessous et en page 6) et sur le gaz de schiste en général. « Il faut rester vigilants et mobilisés. « Gaz toi pauv'con »

Shell : il faut quatre Arabie saoudite en plus d’ici dix ans ! J'ai d'abord cru qu'il y avait une énorme coquille dans cet article du Financial Times du 21 septembre. Mais non. Son auteur, Ed Crooks, chef du service industrie aux Etats-Unis, m'a fait part de son propre effarement. [FT] Shell chief warns of era of energy volatility, par Ed Crooks Le PDG de Shell, Peter Voser, déclare : « La production des champs existants décline de 5 % par an à mesure que les réserves s'épuisent, si bien qu'il faudrait que le monde ajoute l'équivalent de quatre Arabie saoudite (sic) ou de dix mers du Nord dans les dix prochaines années rien que pour maintenir l'offre à son niveau actuel, avant même un quelconque accroissement de la demande. » Quatre Arabie saoudite ? Bien entendu, Shell ne fournit pas la moindre précision pour étayer cette surenchère... cataclysmique. Et M. Peter Voser, PDG de Shell [DR] Voilà maintenant que Shell double la charge : presque la moitié des capacités de production mondiales à remplacer... en dix ans ! Pourquoi un tel revirement ?

Gaz de schiste : foule à Nant - Aveyron Ils étaient entre 4 000 et 10 000, selon les estimations, à battre le pavé de Nant, hier, contre le gaz de schiste. Il y avait majoritairement des individus non encartés de tous âges, et des familles. Malgré les promesses législatives, le combat va se poursuivre. La terre contestataire larzacienne s'est à nouveau levée pour se défendre, hier à Nant. Le département rouergat est concerné par deux permis, celui de Nant pour le sud, et celui de Cahors pour le Villefranchois. À Nant, l'ambiance était familiale, festive et colorée. L'un des moments forts de la journée fut l'intervention de José Bové au nom du collectif « Non au gaz de schiste » de l'Aveyron. Bové a rappelé indirectement que la date du 17 avril n'avait pas été choisie par hasard. Jean-Claude Luche s'est déplacé à Nant.

Turning Algae into New Energy Just three years ago, Colorado-based inventor Jim Sears shuttered himself in his garage and began tinkering with a design to mass-produce biofuel. His reactor (plastic bags) and his feedstock (algae) may have struck soybean farmers as a laughable gamble. But the experiment worked, and today, Sears' company, Solix Biofuels in Fort Collins, is among several startups betting their futures on the photosynthetic powers of unicellular green goo. The science is simple: Algae need water, sunlight and carbon dioxide to grow. The oil they produce can then be harvested and converted into biodiesel; the algae's carbohydrate content can be fermented into ethanol. The reality is more complex. Solix addresses these problems by containing the algae in closed "photobioreactors"—triangular chambers made from sheets of polyethylene plastic (similar to a painter's dropcloth)—and bubbling supplemental carbon dioxide through the system. Given the right conditions, algae can double its volume overnight.

radioactivite Postée le 03/03/2011 à 17h08 Dans un dossier très documenté, le New York Times révèle les dangers sanitaires que fait peser sur la population américaine l’extraction des gaz non conventionnels. Pour le secteur gazier, c’est une affaire digne de Wikileaks qui commence. Dans son édition du 26 février, The New York Times publie un très sévère réquisitoire contre l’exploitation des gaz non conventionnels (GNC) aux Etats-Unis. Le sujet n’est pas nouveau. Mais, cette fois, la charge est des plus sérieuses. Qu’apprend-on en épluchant cette documentation fraichement exhumée? Ensuite, les ravages de cette industrie. Car, c’est tout le problème de ces GNC. Pour arriver à leurs fins, les foreurs utilisent de très grandes quantités d’eau (jusqu’à 15 millions de litres pour un seul puits). A force de creuser, les foreurs traversent parfois des terrains comprenant des minerais radioactifs (uranium, radium). Problème: l’activité de l’eau remontée de bon nombre de puits est particulièrement élevée.

Related: