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Accueil - Théorie Relative de la Monnaie

Pézenas Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Géographie[modifier | modifier le code] Carte Histoire[modifier | modifier le code] Depuis le bas Moyen Âge, Pézenas était le siège de foires importantes, les foires du Languedoc[1], qui attiraient des marchands de tout le bassin méditerranéen. Les États de Languedoc s'y sont tenus (XVIIe siècle) avec l'arrivée d'Anne de Montmorency. Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de sociétés révolutionnaires. La plus importante des trois sociétés soutient activement ses homologues : elle intervient ainsi pour soutenir la création d’une société dans les bourgs voisins de Florensac et de Saint-Georges[4]. Entre 1790 et 1794, Pézenas absorbe la commune de Conas[5]. Administration[modifier | modifier le code] Démographie[modifier | modifier le code] En 2011, la commune comptait 8 290 habitants. Histogramme de l'évolution démographique Économie[modifier | modifier le code] Escalier de l'hôtel de Lacoste (XVIe).

Le dividende universel monétaire, une théorie fantaisiste ? Quelle est le positionnement du dividende universel et de la Théorie relative de la monnaie par rapport aux autres courants de pensées économiques ? Comme nous allons le voir, le dividende universel emprunte à d’autres courants certaines thèses, postulats, mais en rejette d’autres pour en faire un synthèse réellement hétérodoxe… mais non dénué de racines idéologiques. Le 31 décembre dernier, The Economist consacrait un riche papier sur les « révolutionnaires marginaux » ou les nouveaux courants de pensée monétaire qui ont émergé dans le débat économique grâce aux blogs et à internet en général. Précisons néanmoins d’emblée que tout ce qui sera dit dans cet article ne reflète que mon interprétation propre de toutes les théories monétaires su-citées (dividende universel compris). Une théorie « moderne » : plus de relance budgétaire ! puisque la monnaie-papier est une créature de l’État, les gouvernements ont en fait davantage de liberté financière qu’ils ne le croient.

Sol (monnaie complémentaire) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sol. Le Sol est une monnaie encore expérimentale issue du projet Sol, réalisé en partenariat par une banque, des compagnies d'assurances, le groupe Chèque Déjeuner et des régions françaises et avec le soutien du Fonds Social Européen, programme Equal. Sol est une abréviation de solidaire. Il s'agit d'une monnaie complémentaire[1] qui vise à replacer l'argent comme moyen et non comme une fin[2]. Elle est actuellement[Quand ?] Elle développe trois volets d'échange : la coopération entre entreprises de l’économie sociale et solidaire (Sol Coopération),l’engagement dans des activités d’entraide (Sol Engagement),les politiques sociales à travers une monnaie affectée (Sol affecté). Le Sol coopération fonctionne de manière analogue à une carte de fidélité. Le projet Sol est parti du collectif Reconsidérer la richesse qui s'inspirait des travaux de Patrick Viveret.

Le dividende universel est la solution, qu'on le veuille ou non Aussi utopique puisse-elle être, la théorie du dividende universel sera, dans un avenir pas si lointain, la seule solution pour faire face aux mutations profondes de la société : l’émergence des monnaies virtuelles, l’explosion des gains de productivité, et l’accroissement de la complexité de la société. Et ça, même les opposants au revenu minimum garanti le comprendront un jour… Sur ce blog, j’ai défendu à de multiples reprise le dividende universel, via des arguments très différents, allant de la défense d’une certaine décroissance, à l’insoluble problème des gains de productivité, en passant par la description d’un nouveau pacte social, l’étude des expériences menées à ce jour, la dénonciation de l’hypocrisie des talibans de la « valeur travail » et bien sûr par l’approche monétaire, et l’échec flagrant des politiques monétaires actuelles. Manifestement, les arguments économiques, progressistes, humanistes, et allant du bon sens ne suffisent pas toujours. keep_bitcoin_real

Système d'échange local Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sel. Un système d'échange local (ou SEL) est un système d'échange de produits ou de services qui se font au sein d'un groupe fermé (généralement associatif). L’association est locale : les membres peuvent se rencontrer facilement, se connaître et développer convivialité et confiance qui sont les valeurs fondamentales des SEL. Fondations[modifier | modifier le code] Les promoteurs d'un SEL cherchent à satisfaire des besoins qui ne sont pas satisfaits pour certaines personnes, à recréer du lien entre les membres du groupe. Comme il s'agit le plus généralement, d'échanger du temps, la valeur est simplifiée à l'extrême de façon à favoriser la solidarité et le lien social. La monnaie des SEL est souvent limitée à sa fonction d'échange et d'unité de mesure, elle ne remplit pas la fonction d'épargne (et ses corollaires : taux d'intérêt, spéculation etc.). Intérêt[modifier | modifier le code]

La monnaie et le totalitarisme du monde marchand | Inso 13 37 Un des grands reproches que je fais à la théorie libertarienne, c’est qu’elle ne voit dans l’échange que l’échange « Marchand ». C’est à dire, pour reprendre l’exemple de mon article précédent , l’échange ou chaque partie y trouve un intérêt personnel : Dans l’échange, les deux individus s’enrichissent. Ainsi, quand Jean achète un pain à son boulanger pour 5 euros, il juge que son billet de 5 euros vaut moins que le pain du boulanger. Le boulanger lui, juge que le pain vaut moins que le billet de 5 euros. Les 2 s’enrichissent. Toute la théorie de l’école autrichienne repose sur ce fondement, très critiquable. J’ai déja essayé de montrer dans l’article précédent la fausseté de cet argument. Comment est distribuée la monnaie, selon toutes les théories économiques majoritaires ? La monnaie est échangée via des crédits. Pourtant, l’homme est libre . L’échange n’est plus marchand dans une telle situation. On me rétorquera : oui, mais ils peuvent être rémunérés par le don !

Facebook's New Virtual Currency Rankles Some Game Developers Pour une politique monétaire du XXième siècle Voici la traduction d’un article intitulé « Monetary policy for the 21st century », signé Steve Waldman, qui écrit sur la finance et l’économie sur le blog Interfluidity. Dans cet article, Steve fait une proposition de réforme de la politique monétaire de la Réserve Fédérale américaine qui s’approche curieusement du « dividende universel » pour lequel je milite sur ce blog. L’approche de Steve est particulièrement pertinente car son raisonnement se base sur l’épuisement des politiques monétaires classiques notamment fondées sur le quantitative easing, c’est à dire l’expansion monétaire de la banque centrale, mais toujours par le crédit. Hélas, dans une économie déjà surendettée, ces solutions demeurent inefficaces pour relancer la machine économique. Il est remarquable de constater que l’idée d’un dividende monétaire reversé aux citoyens émerge sporadiquement dans la blogosphère éco anglo-saxonne. D’autres, notamment en Angleterre, s’emparent aussi de la question. Illustrations

Une monnaie complémentaire pour le pays de romans Equal Money System | Equal Money For All From Birth To Death 1001 monnaies The Basic Income is Dead Sharing | Toban Black Technological progress is accelerating faster than ever before. Are robots going to “take our jobs?” Do we require a Basic Income to solve this? Wages are determined by the margin of production. That was the historic difference between the “New World” and the “Old World.” In fact, in the United States the federal government didn’t require any income taxes for the first hundred years. As the land became increasingly homesteaded and auctioned off, the margin of production was reduced. Land is required for all production and even life itself. “The land is the original inheritance of mankind. With the exception of Malthus, all the classical liberals recognized that land is there for everyone. The idea of Technological Unemployment is a Malthusian concept (via Keynes) which teaches us to focus on scarcities, even though the scarcities are entirely artificial. All this raises an obvious question. How is this different than the Basic Income? The Basic Income is Dead.

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