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Le Décodex évolue, dix questions pour comprendre notre démarche

Le Décodex évolue, dix questions pour comprendre notre démarche
Notre outil pour aider les lecteurs à repérer les sites diffusant régulièrement de fausses informations évolue après sa mise en place en février. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Après un lancement initial au début de février, Le Monde met en ligne, jeudi 16 mars, une nouvelle version du Décodex, un outil gratuit pour aider nos lecteurs à se repérer dans un univers où circulent de plus en plus de fausses informations. Pourquoi le Décodex ? Nous dénonçons depuis plusieurs années les nombreuses fausses informations qui circulent sur Internet. Enquête : Les mille et une ruses de l’industrie de la désinformation Quel est le principe du Décodex ? Il s’agit d’un outil à disposition des lecteurs leur permettant de repérer les sites jugés trompeurs ou diffusant régulièrement des fausses informations. Nous mettons pour cela à disposition : Il s’agit d’un travail évolutif, qui tient compte des remarques qui nous sont faites. Quels sont les changements de la nouvelle version ? Non. Related:  Chercher, évaluer l'informationFake news et complotisme

Les mille et une ruses de l’industrie de la désinformation Enquête sur des méthodes employées par des sites trompeurs pour diffuser de fausses informations sans se faire prendre. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Les fake news qui circulent massivement en ligne ne tombent pas du ciel. L’examen détaillé de certaines de ces rumeurs par Les Décodeurs à l’occasion du lancement du Décodex montre que les artisans de la propagande déploient des méthodes de plus en plus ingénieuses. 1. Dans un univers numérique où l’identification des sources d’information est plus difficile pour les lecteurs, la mouvance d’extrême droite dite « identitaire » a lancé de prétendus sites d’informations locales. Le même phénomène existe pour des sites anti-IVG, qui se présentent comme des plates-formes d’information neutres. Sur Facebook, de manière plus insidieuse, des pages comme « Je soutiens la police » ou « Je soutiens nos pompiers » s’efforcent d’attirer la sympathie en mélangeant informations anodines et propagande d’extrême droite. 2. 3. 4. 5. 6.

Fausses informations : Facebook lance son outil de fact-checking en France En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous permettre de partager du contenu via les boutons de partage de réseaux sociaux, pour vous proposer des publicités ciblées adaptées à vos centres d'intérêts et pour nous permettre de mesurer l'audience. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies Fausses informations : Facebook lance son outil de fact-checking en France Dénoncer une publication douteuse en un clic, c'est ce que propose Facebook à ses utilisateurs français pour signaler les fausses informations circulant sur le réseau. France 2France Télévisions Mis à jour le publié le Comment démêler le vrai du faux ? Huit organes de presse impliqués Facebook s'appuie en France sur huit organes de presse comme France Télévisions, les journaux Le Monde et Libération, ou encore l'AFP pour vérifier les publications que les internautes signaleront comme douteuses. Le JT

CrossCheck: des journalistes s’allient pour vérifier les informations en ligne L'Atelier des médias, c’est, à la fois, une émission de radio et un réseau social à l’écoute de l’innovation, de la société numérique et des révolutions dans le monde des médias. Vous aussi venez découvrir nos histoires, reportages et entretiens et, si vous le souhaitez, vous inscrire : Le travail de Ziad Maalouf, Simon Decreuze et de leur équipe est, chaque semaine, enrichi, stimulé, orienté, aiguillé par vos contributions, vos réactions, vos commentaires, vos suggestions, via la communauté de l'Atelier des médias. Présentation : Ziad Maalouf. Avec la collaboration de Marie-Stéphanie Servos, Constance Léon et Camille Deloche. Le site de L'Atelier des médias :

Desintox Deux fabricants non repentis de fake news s’expliquent | Meta-media | La révolution de l'information Gros malaise, mais aussi forte curiosité, mardi dans l'immense salle de conférence du Festival South by Southwest à Austin, quand Yasmin Green, directrice de Jigsaw, un des labs d'innovation de Google, a longuement interrogé deux anciens fabricants populaires --et non repentis-- de "fake news" sur leurs pratiques et leurs motivations. Jestin Coler et Jeffrey Marty. Deux Américains, âgés d'environ 35/40 ans. Le premier, motivé surtout par le remboursement de son prêt immobilier (mais aussi visiblement par le fun); le second, juriste et soutien de Trump, pour faire bouger les lignes d'un "établishment" qu'il exècre. Jestin Coler a fondé Disinfomedia, qui a édité le National Report et le Denver Guardian, connu pour avoir publié trois jours avant l'élection une info bidon, vue 1,6 million de fois et partagée 500.000 fois : “FBI AGENT SUSPECTED IN HILLARY EMAIL LEAKS FOUND DEAD IN APPARENT MURDER-SUICIDE”. "Au début c'était pour rigoler entre potes.

Le fact-checking, ou journalisme de vérification - CLEMI Ressources Ce mode de traitement journalistique s’est imposé en France depuis une dizaine d’années, suivant son développement aux États-Unis. À l’origine, le terme désignait un processus de vérification interne dans les organes de presse anglo-saxons. Les journaux avaient dans leur sein (et continuent d’avoir) des employés dont le travail était de vérifier l’exactitude des faits, chiffres ou citations rapportés par les journalistes de terrain. Les évolutions du fact-checking Depuis, la pratique du fact-checking s’oriente dans deux directions. Une efficacité contestée Un paradoxe se dessine toutefois : alors que la pratique du fact-checking s’est institutionnalisée, est l’objet de cours dans les écoles de journalisme, et a pris une grande place dans le débat public, son efficacité est régulièrement questionnée. Cédric Mathiot, journaliste, responsable de la rubrique Désintox, Libération

Fake news : peut-on répondre à la désinformation Depuis l’élection de Trump (voir nos deux précédents articles : « Trump : les 5 échecs des nouvelles technologies » et « Facebook, une entreprise politique ? »), la question de la propagation de fausses informations semble révéler d’une véritable crise de confiance dans notre système médiatique et politique, comme l’expliquait récemment le chercheur en science de l’information Olivier Ertzscheid. De partout, les esprits s’agitent pour tenter de trouver des réponses. Eli Pariser, celui qui a imaginé le concept de « bulles de filtres » tant mis en question ces dernières semaines, a ouvert un Google Doc pour recueillir des solutions. Le document fait désormais plus de 100 pages et Nicky Woolf, pour le Guardian, a tenté d’en faire la synthèse. Des solutions… concrètes ? Mieux comprendre la diffusion de la désinformation Si, comme nous le disions, Google et Facebook ont annoncé des premières mesures pour lutter contre la désinformation, reste encore à s’assurer de la réalité du problème.

France culture : A qui confier la vérification de l'info ? Tous unis contre les "fake news", les fausses nouvelles. C’est le slogan qui pourrait résumer l’ambition du projet CrossCheck, qui sera lancé demain et qui, contrairement à ce que son nom semble indiquer, est un projet impliquant des médias français. Une douzaine de rédactions (pour l’instant) se sont associées au Google News Lab (la division médias du moteur de recherche) pour proposer un outil qui permettra d'"identifier et vérifier les contenus qui circulent en ligne, qu’il s’agisse de photos, de vidéos, de commentaires ou de sites d’actualités". Cette initiative n’est pas isolée. La multiplication de ces initiatives ne doit rien au hasard. ‘’A qui confier la vérification de l’info ?’’ "Controverse Décodex : et si on pensait la qualité de l’information comme un Commun ?"

6 outils pour éviter les hoax Les hoax, ces fausses informations, photos ou vidéos virales, on pense à chaque fois s’en être débarrassés, les avoir évités et pourtant il y en a toujours un qui réapparait et qui nous fait tomber dans le panneau ! Gizmodo vous présente 6 outils à utiliser dès que vous avez le moindre doute sur une information trouvée sur le net. La recherche inversée d’image La plus simple et une des plus efficaces, on n’y pense pourtant pas assez souvent ! Google mais aussi TinEye permettent de trouver des pages web contenant l’image ou son adresse URL que vous aurez renseignée. Cela vous permettra d’éviter de vous faire piéger comme avec la photo d’un réfugié attaquant la police avec un drapeau d’Isis : Youtube DataViewer Si vous regardez la dernière vidéo virale, faites attention à ce qu’elle ne soit pas une « scrape » : une vielle vidéo réuploadée par une personne clamant être le témoin d’origine ou affirmant que la vidéo montre un nouvel événement. Jeffrey’s Exif Viewer FotoForensics WolframAlpha

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