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Sociocratie

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Sociocratie Sociocratie Sociocratie, l'entreprise à l'heure du consentement Idées d'ailleurs - Mercredi 14 Septembre 2011 Comment garantir le fonctionnement efficient d’une entreprise, en créant le respect et la confiance qui permettent l'implication de tous les salariés ? A la fin des années 1960, Gerard Endenburg, ingénieur hollandais à la tête d'une société d'électrotechnique, trouve la réponse en expérimentant la Sociocratie. Ce modèle de gouvernance, théorisé par le pédagogue Kees Boeke, se fonde sur l'intelligence collective et la participation de tous au processus de décision. En Hollande, environ 200 entreprises l'ont adoptée. Aujourd’hui, le modèle se développe en France. Le consentement est le cœur de la Sociocratie. Dans une clinique vétérinaire de Plaisir, en région parisienne, vétérinaires et auxiliaires ont instauré la Sociocratie depuis 2010. Mais ce qui fonctionne avec une douzaine de salariés peut-il se pratiquer à grande échelle ? www.sociocratie.net www.auxenfans.com

Sociocratie : Gerard Endenburg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sociocratie est un mode de prise de décision et de gouvernance qui permet à une organisation, quelle que soit sa taille — d'une famille à un pays —, de se comporter comme un organisme vivant, de s'auto-organiser. Son fondement moderne est issu des théories systémiques. L'objectif premier est de développer la coresponsabilisation des acteurs et de mettre le pouvoir de l'intelligence collective au service du succès de l'organisation. Histoire[modifier | modifier le code] Gerard Endenburg[modifier | modifier le code] Gerard Endenburg (nl) (1933-) est un ingénieur hollandais en électrotechnique. Sources[modifier | modifier le code] La création de la sociocratie par Gerard Endenburg est la confluence de quatre éléments: Origine du mot[modifier | modifier le code] Le mot sociocratie a été inventé par Auguste Comte (1798-1857)[4]. Diffusion[modifier | modifier le code] Gerard Endenburg a créé aux Pays-Bas un centre de diffusion de la sociocratie[7].

coaching Origines Le mot sociocratie est dérivé du latin societas (société) et du grec kratein (gouverner). Il s’agit de la gouvernance du ‘socios’, c'est à dire des personnes liées par des relations significatives entre elles. En comparaison la démocratie, est la gouvernance du ‘demos’, la masse des gens qui n’ont pas grand-chose en commun en dehors de certaines valeurs de base. L’autocratie quant, à elle, est la gouvernance d’une seule personne : ‘auto’. Le mot sociocratie fut inventé par Auguste Comte au début du XIXe. Plus tard, le mot fut utilisé par le sociologue américain Lester Frank dans un article qu'il écrit pour le mensuel Penn en 1881 et plus tard encore par le hollandais Kees Boeke, qui appliqua le concept à l'éducation. Ward, plus tard, élargit le concept dans ses livres « sociologie dynamique » (1883) et « les facteurs psychiques de la civilisation » (1892). Les quatre principes directeurs de la méthode de prise de décisions politiques d’Endenburg Organisation en cercles.

Sociocratie La sociocratie est un mode de gouvernance partagée qui permet à une organisation, quelle que soit sa taille, de fonctionner efficacement selon un mode auto-organisé caractérisé par des prises de décision distribuées sur l'ensemble de la structure. Son fondement moderne est issu des théories systémiques et date de 1970[1]. La sociocratie s'appuie sur la liberté et la co-responsabilisation des acteurs. Dans une logique d'auto-organisation faisant confiance à l'humain, elle va mettre le pouvoir de l'intelligence collective au service du succès d'objectifs communs. Cette approche permet donc d’atteindre ensemble un objectif partagé, dans le respect des personnes, en préservant la diversité des points de vue et des apports de chacun, ceci en prenant appui sur des relations interpersonnelles de qualité. La sociocratie utilise certaines techniques mises au point par son concepteur qui fondent son originalité, notamment l'élection sans candidat, et la prise de décision par consentement[2].

Holacracy Qu'est-ce que l’Holacratie ? L’holacratie est une pratique pour les organisations qui recherchent davantage d’efficacité et d’agilité dans leurs structures de base telles que les réunions, les processus de décision et leur organisation. Elle s’appuie sur des principes innovants et opérationnels qui permettent de faire émerger l’essence, la capacité d’innovation et le potentiel collectif de l’organisation en la libérant des peurs et des ambitions des egos individuels et collectifs. L’Holacratie est le premier système de gouvernance qui permet de véritablement répondre aux défis du 21e siècle car elle transforme une organisation fragmentée, inconsciente des interdépendances et des enjeux du monde et de son marché, en un éco-organisme cohérent et intégré, fort de l’expérience, de la compétence et de la capacité d’innovation collective de ses membres. Elle répond à des questions telles que : Comment rendre son organisation agile ? L’essence de l’Holacratie : le pilotage dynamique

sociocratie Colibris Sociocratie, l’intelligence collective dans la gouvernance | L’utilisation des processus et des outils de la Sociocratie dynamise la coopération et le développement de l’intelligence collective au sein d’une entreprise ou d’une organisation. La participation de tous est recherchée pour donner du sens à l’activité d’une organisation et pour harmoniser l’implication des professionnels. Le fonctionnement de l’entreprise en pyramide, selon un organigramme classique, reste efficace pour l’action. La Sociocratie est un terme inventé par Auguste Comte au début du XIXe siècle. Une explication de la Sociocratie sous forme de carte (BM Chiquet) « Actuellement, pour une entreprise qui baigne dans l’intelligence multiple, il en existe une dizaine d’autres qui pataugent dans une culture de conflits et de folie” (Karl Albrecht) Cette entrée a été publiée dans gouvernance, avec comme mot(s)-clef(s) Sociocratie.

Le blog de la facilitation « «formapart formapart Plusieurs participants des groupes de co-développement que nous avons accompagnés nous ont confié qu’en raison des pressions et des contraintes de leur travail, ils n’ont que rarement l’occasion de prendre le temps de prendre du recul sur leur activité. L’intensification du rythme de travail et sa complexification sont devenues tout à fait courantes. Les équipes font face à des séries de changements qui se suivent à un rythme effréné. Pour faire face à une telle situation, les acteurs concernés ont justement besoin de pouvoir réfléchir à la transformation de leur rôle et de leurs tâches. Il est tout aussi essentiel de prendre le temps d’apprécier et d’être reconnaissant pour ce qu’on accomplit, de célébrer les petits ou les grands avancements et les succès. Sur un plan personnel, le temps d’arrêt est aussi le moment pour l’autoréflexion, la prise de conscience et pouvoir comprendre comment nous influençons les autres.

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