background preloader

Un test pour l'EMI avec Le p'tit Libé

Un test pour l'EMI avec Le p'tit Libé
Related:  Chercher, évaluer l'informationEducation aux médias et à l'information

La chaîne YouTube du Temps — Enseigner avec le numérique Fondé en mars 1998, Le Temps est le média de référence de la Suisse romande et francophone. Il décline ses contenus sur différents supports dont la chaîne vidéo YouTube, sur laquelle on peut découvrir 2 courtes vidéos de la journaliste Catherine Frammery : la première s'intéresse tout particulièrement aux réseaux sociaux comme Facebook et à la nécessité de gérer finement les paramètres (visibilité des messages, blocage des indésirables...) tandis que la deuxième souligne l'importance de vérifier les informations circulant sur les réseaux numériques (nom de domaine, nom du site, statut de publication, date, critères formels, croisement des sources, authentification d'une photographie) : Gérer les paramètres des comptes des médias sociaux Évaluer l'information en ligne Ces deux supports pédagogiques complètent les vidéos déjà existantes comme celles de France 24 visant à démêler le vrai du faux, à faire le tri entre info et intox. Sources Réseaux et médias sociaux

Trouver une information sur Internet Support : Moodle Auteur : Claire Filleul. Collège Adrien Cadet - Les Avirons Niveau : Cycle 4 Parcours d'autoformation à la recherche d'information sur Internet à déposer sur une plate-forme Moodle disponible dans l'ENT METICE ou autres. Ce parcours permet d'aborder les différentes étapes de la recherche d'information depuis l'analyse du sujet jusqu'à la présentation des résultats de la recherche. Plan du cours : Définir le travailCerner le sujetTrouver une sourceEvaluer une sourcePrendre des notes et citer une sourcePrésenter les résultats Télécharger l'archive à importer dans Moodle : backup-mieux_chercher_sur_internet-.mbz

L’Éducation aux médias et à l'information (EMI) et la stratégie numérique : Le choc des cultures (Partie 1) L'EMI s'implante très vite dans le paysage éducatif, en témoignent son entrée dans la Loi d'orientation de 2013, précédée d'une conférence nationale, et la relance du CLEMI. Cette rapide évolution se répercute tout naturellement dans l'univers des professeurs documentalistes : la mention de l'EMI dans le référentiel métier en 2013, un dossier dans SavoirsCDI1, deux numéros de Médiadoc2 et la parution d'un classeur de fiches pédagogiques dédiées3, au point de bousculer les habitudes et d'interroger une nouvelle fois les objets d'apprentissages info-documentaires et l'avenir de la profession. Il peut être dès lors intéressant de prendre un moment pour questionner l'origine de l'EMI et les raisons qui poussent le ministère de l’Éducation nationale à la mettre en avant. 1.1. L'EMI peut nous apparaître à juste titre comme la réunion de deux « éducations à », bien distinctes jusque là dans une configuration particulière à la France. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. EMI : La chaîne alimentaire.

Séance Info ou intox Les jeunes sont les plus exposés aux dangers du net. (Balint Szlanko/AP/SIPA) Apprendre à se repérer sur la toile avec un esprit critique pour devenir des e-citoyens avertis, qui consomment et produisent des informations de manière responsable, sans se faire berner ni manipuler : tel est l’enjeu d’un projet inédit d’éducation aux médias que je viens d’expérimenter auprès d’enfants de 10-11 ans. Des clés indispensables pour naviguer sur le net. Mes élèves se sont donnés à fond dans ce projet Jeudi dernier a eu lieu une cérémonie de remise des diplômes "d’apprenti hoaxbuster". Au cours des huit séances de 1h30, ils se sont tous, sans exception, donnés à fond dans mon projet "info ou intox sur internet, comment faire la différence ?". Même les vendredis, veille de vacances, ou jour d’éclipse, ils sont restés attentifs et ont vécu intensément cette expérience. Les résultats concluants des évaluations prouvent que l’on peut aborder cette problématique avec des enfants aussi jeunes.

Les fiches pratiques du CECIL pour réduire les risques liés à la surveillance | CECIL Les multiples révélations d’Edward Snowden concernant les dérives des programmes de surveillance de la NSA ont bien montré que les États-Unis et leurs alliés (mais ce ne sont malheureusement pas les seuls) écoutent et traitent massivement les informations de gouvernements étrangers, d’entreprises et d'individus (majoritairement non américains) souvent par l’intermédiaire de compagnies telles que Microsoft, Yahoo, Google, Facebook, AOL, Apple… En plus de cette surveillance étatique, une personne peut aussi être la cible d’entreprises commerciales et de pirates informatiques mal intentionnés. Conformément à son objet social de protection des individus face aux risques de l’informatique, le CECIL propose un recueil de fiches pratiques pour découvrir, pas à pas, des outils visant à mieux maitriser les informations exposées, protéger la vie privée et les libertés fondamentales.

Les TPE engagés dans l'EMI Alors que dans beaucoup d'établissements on s'approche de l'évaluation finale des TPE, un dispositif d'enseignement ayant vocation à préparer les élèves de 1ère générale au travail dans le supérieur, la note de service vient modifier leurs critères d'évaluation. Lors des TPE, les enseignants devront veiller à enseigner le respect du droit d'auteur et l'analyse des sources, annonce une note de service publiée au BO du 2 mars. La note introduit dans les consignes l'apprentissage du droit d'auteur. " Cette production devra attester d'un usage pertinent des nouvelles technologies de l'information et de la communication, qui nécessite de la part des élèves un travail d'analyse des sources auxquelles elles donnent accès", stipule la note. La note met aussi l'accent sur le plagiat. La note

Intox en série sur des pages Facebook d’extrême droite Des pages qui soutiennent souvent ouvertement le Front national ont relayé des fausses informations ces derniers jours. Elles s’appellent On aime la France, La révolte des vaches à lait, ou encore Soutien national en bleu Marine. Ces pages Facebook militantes d’extrême droite réunissent chacune des centaines de milliers d’abonnés sur la plate-forme. Et à moins de deux mois du premier tour de l’élection présidentielle, elles se montrent particulièrement actives. Quitte à diffuser des informations erronées, voire complètement fausses. Florilège. Le retour d’une vieille intox sur Najat Vallaud-Belkacem La page Facebook France, ma patrie, ma nation (environ 140 000 abonnés) a partagé, le 21 février, un message diffusant ce qui est présenté comme une citation de Najat Vallaud-Belkacem sur RTL en 2006 : Il s’agit en réalité d’une fausse information persistante, déjà démentie par Les Décodeurs du Monde en 2015. L’affaire des « frais de bouche » d’Emmanuel Macron « cachée par les médias » ?

La complexité de l’EMI vue à travers l’étude du Web – Méta-DIC Avec la réforme du collège, les compétences en info-documentation et celles travaillées dans le cadre de l’Education aux Médias se sont mélangées, ont fusionné, pour devenir l’Education aux Médias et à l’Information. Or, l’EMI a été distribuée alors qu’elle est constituée en partie d’info-documentation dont l’enseignement nécessite un CAPES spécifique (le nôtre). Pour rappel, l’EMI = EAM + Info-doc + numérique (à lire, Intervention en 5 questions de Michel Reverchon-Billot, IGEN-EVS) Or, l’EMI est complexe et nécessite également des connaissances sur les médias sans cesse mises à jour. Ainsi, il me semble que si nous prenons le Web en tant qu’objet de connaissance, la complexité de l’EMI (et donc des compétences nécessaires pour l’enseigner) semble évidente. Je fais juste une précision : Internet n’est qu’un réseau, une infrastructure de communication. Les notions info-documentaires liées à l’étude du Web Les notions organisatrices sont en jaune (d’après le Wikinotion). Le Web via l’EMI

Lexique "fake news", etc. Théorie selon laquelle l'émotion et la croyance comptent désormais plus que les faits Post-truth, en anglais, fut le mot de l'année 2016, selon l'Oxford Dictionnary. Il se rapporte, explique la publication britannique, aux « circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d'influence sur l'opinion publique que ceux qui font appel à l'émotion ou aux croyances personnelles ». Si Ralph Keyes consacrait déjà un livre au sujet en 2004 (The Post-truth Era), c'est véritablement avec la campagne britannique sur le Brexit et la campagne présidentielle américaine que l'expression s'est démocratisée. L'idée ne va pas sans poser de soucis : elle peut laisser croire que la vérité était auparavant chose acquise, au moins comme valeur. 🔗 Partager cet élément :

« Post-vérité » et « fake news » : fausses clartés et points aveugles Concepts flous, utilisations orientées L’expression « post-vérité » (post-truth politics en version originale), apparue dès les années 2000 [1] connaît actuellement une deuxième vie, tellement riche qu’elle a été désignée « mot de l’année 2016 » par le dictionnaire Oxford. C’est Katharine Viner, rédactrice en chef « Informations et Médias » du quotidien britannique The Guardian, qui l’a remis au goût du jour, en l’actualisant, dans un éditorial du 12 juillet 2016. Avoir la vérité de son côté ne suffit plus, nous dit-on, à persuader les électeurs, davantage enclins à suivre celles et ceux qui font appel à leurs émotions et à leurs croyances personnelles [2]. Cette utilisation de l’expression est celle qu’on retrouve depuis dans la grande majorité des médias dominants, avec une fréquence accrue après les élections « surprises » de Donald Trump aux États-Unis, et de François Fillon puis Benoît Hamon aux primaires de leurs camps respectifs en France. En France, il n’est pas (encore ?)

Related: