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[ITW] « Internet, c’est la démocratie directe »

[ITW] « Internet, c’est la démocratie directe »
Wikileaks a provoqué un séisme dans le monde de l'information. Marqué un tournant. Celui de l'ouverture d'une guerre civile numérique. Paul Jorion est anthropologue et blogueur sur les questions économiques et financières. Quel a été l’évènement déclencheur qui vous a poussé à écrire La guerre civile numérique ? L’évènement déclencheur a été le refus de Paypal et Mastercard de transmettre à Wikileaks les donations qui lui avaient été faites. Ce terme de « guerre civile numérique » est très fort, vous pensez vraiment qu’il s’agit là d’une guerre ? Mon éditeur voulait intituler le livre « l’insurrection numérique ». Ce qui est apparu par la suite comme une évidence, c’est la collusion profonde entre le gouvernement américain et les entreprises privées, pour faire la guerre à Wikileaks mais aussi à des journalistes et des éditorialistes qui défendaient le site de Julian Assange. Le gouvernement américain s’était déclaré favorable aux sites whistleblowers [lanceurs d'alerte]. gaelx

[vidéo] La créativité, une matière trop souvent en option Petite leçon sur l'école faite à TEDx. On se rassure le professeur s'appelle Sir Ken Robinson et il nous délivre un discours iconoclaste. Dans cette conférence TED de 2006, le spécialiste anglais de l’éducation Sir Ken Robinson explique que l’école devrait faire sa révolution en encourageant la créativité plutôt que de la tuer. Dans ce but, il prône le droit à l’erreur et, plus généralement, invite à repenser notre conception de la richesse de la capacité humaine. Aujourd’hui indexée sur le point de vue universitaire, l’éducation doit remettre les arts au centre. Voici la version animée de la conférence de Sir Ken Robinson sur le même thème, donnée à la RSA (Royal Society encouragement for the Arts) à Londres au mois d’octobre dernier : À lire aussi sur OWNI : “L’éducation musicale en France, une partition discordante” Image CC Flickr John-Morgan

FDN -- Association fournisseur d'accès RTC et ADSL Le Pentagate par Thierry Meyssan - Enquête sur l'attentat du Pentagone, le 11 septembre 2001 ambitionnait de décortiquer les incohérences de la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 et de présenter un point de vue différent sur ces événements. Les journaux français qui l’ont dénigré ont concentré leurs attaques sur le premier chapitre consacré à l’attentat du Pentagone. A défaut d’arguments pour défendre la version officielle, ils ont mis en cause la crédibilité et la sincérité de l’auteur, puis l’intelligence des lecteurs. se contentait d’observer l’impossibilité matérielle du crash d’un Boeing 757 sur le Pentagone sans expliquer la nature exacte de l’attentat. Il ne tirait aucune interprétation politique des faits. Avec l’aide de nos lecteurs et certains de nos confrères journalistes, qui nous ont transmis des documents et leurs propres réflexions, nous avons poursuivi nos investigations.

Social Network Unionism | For a peer to peer, transnational, common, and hyperempowered labour class movement Thierry Meyssan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thierry Meyssan Il est principalement connu pour avoir ouvert la polémique sur les attentats du 11 septembre 2001 avec son livre L'Effroyable imposture, dans lequel il développe ce que ses détracteurs qualifient de théorie du complot. Il y attribue la responsabilité de ces attentats à « une faction du complexe militaro-industriel ». Biographie[modifier | modifier le code] Thierry Meyssan est né le à Talence (Gironde). Selon Fiammetta Venner, dans un livre à charge contre Meyssan, il aurait été exclu de Sciences-po pour « des raisons qui restent non élucidées », puis de l'association Gais pour les libertés et de l'International Lesbian and Gay Association[3]. Il est membre du comité éditorial de la 9/11 Scholars Review, un site internet prônant la thèse du complot intérieur à propos des attentats du 11 septembre 2001. Il travaille actuellement à un livre d’analyse sur l’administration Obama[11]. L'Effroyable Imposture[modifier | modifier le code]

La copie au service de l’innovation Pour copier en mieux, il faut innover. Il ne s'agit pas de reproduire à l'identique mais de s'inspirer pour aller plus loin. C’est toute la force d’Internet aujourd’hui : favoriser la copie pour dynamiser le processus d’évolution. J’ai entendu beaucoup de bêtises sur l’innovation. Le plus bel exemple d’une innovation parfaitement orchestrée est celui d’Apple. Steve Jobs n’a pas inventé la souris Ni même l’interface en fenêtres (“windows”, copié quelques années plus tard par Microsoft). En échange de parts dans sa boîte, le fondateur d’Apple, alors âgé de 24 ans, a obtenu de jeter un œil aux créations de Xerox dans son laboratoire de recherche, le Xerox PARC. Très excité, Jobs marchait dans tous les sens dans la pièce, raconte Tesler. Voici le “Star” de Xerox et le Macintosh : La souris Xerox, à trois boutons (coût de fabrication : 300$ l’unité) et la souris du Mac à un bouton (coût de fabrication : 15$) : Apple a-t-il volé l’idée de Xérox ? S’inspirer et … faire mieux

[ITW] « Récupérer un espace qui appartient à tout le monde et à personne » Geoffrey Dorne, graphiste et auteur de Vendredi c’est Graphism était invité à la Lift. Il revient pour OWNI sur les raisons et les façons de hacker la ville. De quelles façons les technologies envahissent l’espace et la ville et quelles peuvent être les conséquences ? Les nouvelles technologies permettent aux gens moins riches d’avoir les mêmes outils et les mêmes possibilités que ceux des quartiers plus aisés : les réseaux sociaux, les moyens pour échanger les objets, etc. En adaptant la technologie à la ville, on la hacke pour que les citoyens se la réapproprient ? Oui c’est tout à fait ça. Autre exemple en Chine. Quel est le sous-entendu de telles démarches ? Qui dit se réapproprier la ville dit qu’elle ne nous appartient plus. C’est comme si le lien social avait plus ou moins disparu et qu’il était nécessaire de le retrouver. Michel Mafesoli disait que « le lieu fait le lien ». Mais qui sont les hackers de la ville ? Oui tout à fait. Hacker la ville est donc une forme d’activisme ?

Hacker la ville : une bonne idée ? Arthur Devriendt, doctorant en géographie spécialisé sur les dimensions spatiales des TIC, revient sur l'intervention de Saskia Sassen consacrée aux « villes intelligentes » lors de Lift 2011 et met en garde contre une lecture trop rapide. Dès sa mise en ligne, le compte-rendu, écrit par Hubert Guillaud, de la communication réalisée par Saskia Sassen lors de la Lift 2011 qui s’est tenue à Marseille le 7 juillet dernier, a connu un grand succès, fortement relayé (retweeté en l’occurence) par les « geeks », « explorateurs du web » et autres technophiles en tous genres. Face à cet engouement, j’ai bien sûr eu envie de jouer les empêcheurs de tourner en rond… L’objectif de ce petit article n’est évidemment pas d’émettre un jugement catégorique sur la réflexion que mène actuellement S. Une nouvelle forme de ségrégation ? Deuxièmement, il ne faut pas oublier que les compétences informatiques et numériques ne sont nullement partagées et réparties également au sein de la population.

Est-ce que la technologie désurbanise la ville ? Retour sur un des thèmes abordés dans le cadre de la conférence Lift France. La sociologue et économiste américaine Saskia Sassen a, entre autres, exposé son point de vue. Pour la sociologue et économiste américaine Saskia Sassen (Wikipédia), qui introduisait la 3e édition de la conférence Lift France qui se tenait la semaine dernière à Marseille, la ville est devenue un espace stratégique pour tout type d’applications technologiques, mais dans quelles mesures ces capacités technologiques déployées dans l’espace urbain urbanisent-elles véritablement la ville ? “A l’heure où tout le monde se demande comment utiliser la ville, diffuser ses services dans l’espace urbain, la question de savoir si les technologies urbanisent ou pas la ville me semble d’importance.” La ville doit pouvoir être hackée La technologie donne des capacités technologiques qui vont au-delà de la technologie elle-même. La ville est un espace complexe, anarchique, rappelle la spécialiste du sujet. Alain Renk. tarentula_in

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