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SloWeAre — Le label de confiance de la mode éco‑responsable

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The Good Goods - Le média de la mode fondée sur des preuves Marque - Chaussettes orphelines Márcia de Carvalho a fondé sa marque en 1991. Invitée à participer au Grand Prix de la Création de la Ville de Paris en 2008, elle y présente son concept basé sur le recyclage de chaussettes orphelines et fonde l’association Chaussettes Orphelines pour sensibiliser au recyclage des déchets textiles. Elle met au point un fil issu de ce recyclage (Lauréate du Prix du Paris Durable en 2016) qui sert à tricoter de nouvelles créations. En 2017, elle obtient le 1er Prix de l'innovation de la Ville de Paris et le Label Fabriqué à Paris. Ancrée à la Goutte d’Or à Paris, elle organise aussi des ateliers d’insertion auprès des femmes du quartier. Son actu : un défilé et deux expositions axés sur le recyclage et la solidarité Pour la troisième édition de son défilé solidaire Chaussettes Orphelines - organisée le 4 février 2019 dans les salons de l'hôtel de Ville à Paris - la créatrice a montré que solidarité peut rimer avec créativité. Un des tableaux représentant un éco-geste, 2019 © Corinne Jeammet

Interview : "Le livre noir de la mode", par Audrey Millet Audrey Millet est docteure en Histoire et ès Lettres. Actuellement chercheure à l’université d’Oslo, elle travaille sur les écosystèmes de la mode et est membre du collectif Fashion Revolution. Auteur du « Livre noir de la mode », paru en mars 2021, elle répond à quelques-unes de nos questions sur la fast fashion, et les moyens de la révolutionner ! La fast-fashion, ça date de quand ? « La mode rapide est en fait une conséquence simple du prêt à porter. Quels coûts humains derrière la fabrication de la fast fashion ? « D’abord la fabrication. Pour aller plus loin, lire notre article consacré aux impacts écologiques, sociaux et sanitaires de l’industrie de la mode. Quels salaires dans la chaîne de production ? « C’est formidable d’avoir un salaire minimum, sauf si ce salaire minimum ne permet pas de se nourrir, de se loger, de se laver et d’éduquer ses enfants. La mode, source d’émancipation ou d’exploitation des femmes ? Donc il y a bien un système d’exploitation et d’oppression.

La Slow Fashion : la voix de la mode éthique et durable - Aatise Dans notre dernier article nous vous avons tout dévoilé sur notre modèle de CrowdFashion, qui s’inscrit elle-même dans une démarche de Slow Fashion. Et au cas où vous ne seriez pas totalement familier avec le terme de Slow Fashion nous sommes là ! Pour vous donner une définition simple et efficace, il s’agit d’un terme qui s’oppose à la Fast Fashion. Pour résumer, un modèle de production qui s’attache à proposer des vêtements alliant qualité, mode et durabilité. Mais pour nous, Slow Fashion rime aussi avec mise en avant des matières premières et de techniques de production, en toute transparence. Si vous voulez en savoir plus sur ce mouvement de plus en plus médiatisé, nous vous invitons à être attentive/if à la suite ! Slow Fashion VS Fast Fashion Reprenons depuis le début : le terme Slow Fashion (entendez, consommation d’une mode lente) s’oppose à la Fast Fashion (consommation rapide de la mode). Mais alors du coup, c’est quoi la Slow Fashion ? Bonnes choses à faire Nos engagements :

Les labels et pictogrammes Malgré la multiplication des produits affichant des promesses, il reste encore difficile de connaître les impacts sur la planète des produits que nous achetons. C’est notre ignorance qui fait de nous, souvent, des consommateurs peu exigeants et facilement satisfaits ! Pour se repérer, le consommateur utilise, lors de ses achats quotidiens en grandes surfaces, boutiquesou sur des sites marchands, de nombreux labels, logos et autres signes de qualité. Mais attention : tous ces pictogrammes n’ont pas droit à l’appellation de « labels » d’un point de vue strictement juridique, n’offrent pas tous la même fiabilité ni les mêmes garanties. Mescoursespourlaplanete.com a repéré et décrypté plus d’une soixantaine de pictogrammes différents censés apporter un « plus » pour qui veut consommer responsable, que ce soit d’un point de vue environnemental ou social. Ce guide a été réalisé avec le soutien de l'ADEME Pour savoir comment lire ce guide, consultez notre méthodologie d’analyse des labels.

ARTICLE : L'Ouzbékistan sacrifie la mer d'Aral à l'irrigation Ne parlez pas de la mer d'Aral à un responsable ouzbek à Tachkent. « C'est le sixième Etat de nos cinq républiques d'Asie centrale : nous lui sacrifions 30 millions de mètres cubes par an », coupe aussitôt le ministre de l'environnement M. Mirzoiev. La mer d'Aral est le réceptacle naturel de deux fleuves l'Amou-Daria et le Syr-Daria qui drainent un vaste bassin versant de cinq pays (Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghiztan, Tadjikistan). Depuis 1992, les cinq Etats se sont mis d'accord pour, sinon inverser le cours des choses, du moins ralentir le processus d'assèchement de cette mer qui préoccupe tant la communauté internationale et la Banque mondiale. Pourtant, rien de moins naturel que la disparition de cette mer intérieure . Cependant, les travaux d'aménagement gigantesques de la période stalinienne ont bouleversé un équilibre séculaire.

[Infographie] Les chiffres du gaspillage vestimentaire à avoir en tête avant de faire les soldes Mercredi 9 janvier, les soldes vont démarrer pour six semaines en France. Avec le mouvement des Gilets jaunes qui a paralysé de nombreuses villes et obligé certains magasins à fermer, les commerçants attendent beaucoup de cette nouvelle opération de promotions. Mais pas sûr que leurs caisses soient renflouées à hauteur de leurs espoirs. Depuis plus de 10 ans, le secteur textile est en perte de vitesse et a perdu 15 % de sa valeur, tous circuits de distribution confondus. 2018 devrait être particulièrement difficile pour le secteur avec un recul de 2,9 %, selon une étude de l’Institut français de la mode (IFM). Les Français achètent de moins en moins de vêtements, par contrainte budgétaire pour 60 % d'entre eux, mais aussi pour 40 % par souci écologique. Pour lutter contre ce gaspillage vestimentaire, le gouvernement doit voter une loi en 2019 pour interdire aux marques de jeter ou brûler leurs vêtements invendus. Concepcion Alvarez, @conce1

Stella McCartney: Change Agent LONDON, United Kingdom — In a nondescript building tucked away on a quiet street in West London, Stella McCartney and her team are comparing the properties of a real leather shoe to the various non-leather swatches being considered for her brand’s Winter 2015 shoe collection. McCartney is wearing a cream blouse, open at the neck, with faded blue jeans and non-leather boots. Pinned up against the wall are boards labeled: “Heels,” “Mules,” and “Cutouts.” A large white table is scattered with moulds, lasts and uppers – as well as scissors, ID cards, empty glasses and a partially-eaten package of organic dark chocolate. Women of differing ages, ethnicities and body types come in and out of the room with a constant flow of new ideas and creative references while McCartney acts as a kind of real-time editor, deciding what colours, materials and shapes feel right for the upcoming season. Stella's Sustainability Commitments | Source: BoF At this point, McCartney turns to me, a fly on the wall.

Mode éthique: le nouvel eldorado des marques? Face à une prise de conscience de sa dimension polluante et des mauvaises conditions de travail imposées dans certaines de ses usines, l’industrie de la mode commence à faire des efforts afin de proposer des produits plus éthiques. Les initiatives se multiplient et plusieurs marques ont annoncé des projets de développement plus durables et responsables. Même si la pertinence, voire la sincérité de ces démarches, suscite parfois des questions. L’annonce cette semaine de l’arrivée de la marque de Stella McCartney dans le giron du groupe LVMH a secoué le monde de la mode. Après avoir quitté l’année dernière le groupe Kering, dirigé par la famille Pinault, la fille de l’ex-Beatles a décidé de s’associer au conglomérat présidé par Bernard Arnault, principal rival de ses anciens partenaires financiers. D’ailleurs, Bernard Arnault, PDG du leader mondial du luxe, ne cache pas ses motivations derrière cette union. Prise de conscience des jeunes créateurs L’effet Rana Plaza touche le fast fashion

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