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J. Krishnamurti Online. Le dépositaire officiel des enseignements authentiques de Jiddu Krishnamurti

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Related:  Spiritualité

Arbre de Vie (Kabbale) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’Arbre de Vie (Etz haHa'yim עץ החיים en hébreu) représente symboliquement, dans la Kabbale, les lois de l'Univers (certains auteurs le rapprochent de l'arbre de la vie mentionné par la Genèse en 2:9). Sa description est considérée comme celle de la cosmogonie de la mystique kabbalistique. Certains commentateurs considèrent que l'Arbre de Vie est une adaptation hébraïque de symboles déjà présents au sein des peuples antiques, en effet, nous retrouvons en Égypte le sycomore sacré ainsi que le pilier Djed, jouant un rôle important dans l'ésotérisme égyptien. Il reste que l'Arbre de Vie cabalistique procède à tous égards de la cosmologie juive et que les processus philologiques, sémantiques et métaphysiques de son élaboration ne relèvent en rien des traditions précitées. Le schéma de l'Arbre de Vie est formé de : L'arbre kabbalistique des dix sephiroth Les dix Sephiroth sont[3] : La colonne de gauche (en hébreu, kav smol) est dominée par Binah.

La source du bonheur est dans notre cerveau Et si le bonheur, c’était vraiment dans la tête ? Une piste scientifique sans doute insuffisamment explorée, que nous explique un PDG-philosophe, dans son dernier ouvrage. Jacqueline Demornex Christian Boiron Heureux, Christian Boiron, 50 ans, l’est, visiblement. Remarié depuis peu, père d’une petite fille, PDG des premiers laboratoires d’homéopathie au monde, il habite, près de Lyon, une maison pleine de lumière, de couleurs et de tableaux, dont beaucoup sont de lui. Psychologies : Qu’est-ce qui vous a poussé, vous, chef d’entreprise, à écrire un essai sur le bonheur ? Christian Boiron : Adolescent, j’avais tout pour être heureux. Mai 68, c’est loin. Cette définition du bonheur, fondée pour la première fois sur des bases scientifiques, entraînait logiquement celle du malheur : le « malheur » provient d’un désaccord entre les trois cerveaux et se manifeste par un « état d’urgence de l’instinct». Que sont les états d’urgence de l’instinct ? Un exemple ? Une distinction fondamentale.

Théosophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emblème de la société théosophique. Les cinq symboles visibles dans le sceau sont l'Étoile de David, l'Ânkh, la Sauvastika, l'Ouroboros et, au-dessus du sceau, le signe Aum. Autour du sceau sont écrits les mots : « Il n'y a pas de religion supérieure à la Vérité ». Le terme théosophie fait référence à un système philosophique ésotérique à travers lequel l'être humain tente de connaître « le Divin » et les mystères de la Vérité. La « théosophie antique » est à distinguer de la « théosophie moderne » ou « théosophisme »[1] se référant à la Société théosophique. Théosophie antique[modifier | modifier le code] La théosophie (theosophia — en grec : theos, divin et sophia, sagesse) a été fondée par des auteurs de l'Antiquité. Pour Porphyre, le theosophos est « un être idéal unissant en lui-même la qualité d'un philosophe, d'un artiste et d'un prêtre du plus haut niveau »[2]. Théosophie moderne / Théosophisme[modifier | modifier le code]

Épistémologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'épistémologie (du grec ancien ἐπιστήμη / epistếmê « connaissance, science » et λόγος / lógos « discours ») désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières, soit la théorie de la connaissance en général. Définition[modifier | modifier le code] L'épistémologie serait selon la « tradition philosophique francophone », une branche de la philosophie des sciences qui « étudie de manière critique la méthode scientifique, les formes logiques et modes d'inférence utilisés en science, de même que les principes, concepts fondamentaux, théories et résultats des diverses sciences, afin de déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée objective »[1]. Dans la tradition philosophique anglo-saxonne, l'épistémologie se confondrait avec la théorie de la connaissance, et ne porterait donc pas spécifiquement sur la connaissance scientifique. Qu’est ce que la connaissance (la question gnoséologique) ?

Anātman Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Anattā est souvent exposé selon la formule « Chaque chose est sans soi. ». C'est l'une des trois caractéristiques. À noter que l'école Pudgalavāda (personnaliste), aujourd'hui éteinte, fut la seule à admettre l'existence d'un soi. La conséquence sotériologique de l'absence de soi est qu'il n'y a rien à sauver, le « soi » n'étant ni créé ni détruit, mais le simple résultat de conditions ; le pratiquant doit se diriger, par le détachement et le développement de l'esprit (bhāvanā), vers la cessation (nirodha) du « soi empirique » (le nāmarūpa), ce qui est le nirvāṇa. Anattā dans le bouddhisme theravāda[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Anātman, sur Wikisource Le théravāda (ancien véhicule) distingue deux niveaux de compréhension : l'opinion philosophique présumant un soi ;la croyance trompeuse à un soi, le sentiment d'avoir un soi. Les cinq agrégats provoquent l'attachement et la croyance que ces parties sont « soi ».

Quatre nobles vérités Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La première noble vérité : Dukkha[modifier | modifier le code] La première noble vérité est que l'existence conditionnée, l'existence que nous connaissons, est imbue de souffrances : la naissance est une souffrance, la vieillesse est une souffrance, la maladie est une souffrance, la mort est une souffrance, être uni à ce que l'on n'aime pas est une souffrance, être séparé de ce que l'on aime est une souffrance - et, finalement, les cinq agrégats (skandhas) d'attachement (à savoir la forme, la sensation, la perception, la volonté et la conscience) sont aussi des souffrances. Ce terme de souffrance est aussi traduit par l'insatisfaction, puisque ce qu'il désigne est bien au-delà de la douleur physique. Le mot « dukkha » (duḥkha en sanskrit) est souvent traduit par « souffrance » ou « douleur »[3], ce qui est réducteur. La deuxième noble vérité : Samudaya[modifier | modifier le code] La quatrième noble vérité : Magga[modifier | modifier le code]

Vipassanā bhāvanā Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vipassanā bhāvanā ("vision supérieure" ou "vue pénétrante") est le nom d'une méthode de méditation dont le principe est de « prêter attention à la réalité ». Origine[modifier | modifier le code] La pratique[modifier | modifier le code] C'est une des pratiques de méditation les plus étudiées avec la Méditation transcendantale[1]. Dix-huit inspections[modifier | modifier le code] Stades[modifier | modifier le code] Souillures[modifier | modifier le code] Dans le Mahâyâna et le Hinayana[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] (en) Vipassana Fellowship Bibliographie[modifier | modifier le code] William Hart, L'art de vivre, Méditation Vipassanā enseignée par S.N. Références[modifier | modifier le code] ↑ (en) Raymond J.

Tarot divinatoire - Wikipedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Papesse, arcane majeur du Tarot Visconti Le tarot divinatoire est l'application de la cartomancie aux cartes du Tarot de Marseille ou de ses variantes historiques ou modernes. C'est un art divinatoire qui utilise toutes ou une partie des 78 cartes du Tarot. Suivant le contexte d'utilisation – oracle ou approche plus psychologique – cette pratique d'interprétation des cartes est diversement désignée par différents néologismes, par exemple tarologie. Histoire[modifier | modifier le code] pour l'histoire des jeux de cartes utilisés dans le Tarot divinatoire voir l'article Tarot de Marseille L'usage divinatoire du Tarot pourrait être daté de 1527 avec la parution du Chaos del Tri per uno, essai littéraire de lecture divinatoire avec les tarots de Teofilo Folengo écrit sous le pseudonyme de Merlin Cocai. Son travail sera repris et réinterprété dans les livres d'Etteilla. Description[modifier | modifier le code] Tirage[modifier | modifier le code]

Âtman Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vedānta[modifier | modifier le code] En tant que conscience absolue ou conscience pure, l'ātman est aussi le Brahman dans le Vedānta et particulièrement l'Advaita Vedānta. La nature de l'ātman est identique à celle du Brahman à savoir : être absolu et éternel, conscience absolue, pur Je Suis Cela (Cela signifiant l'Âme universelle, le Brahman, qui est le pouvoir qui envahit tout, toute chose et toute créature) et félicité absolue[5]. Celui qui connaît l'ātman est « l'agent de chaque chose (visvakrt), l'agent du Tout (sarvakarta), le monde est à lui et il est ce monde même »[6]. Bouddhisme[modifier | modifier le code] Le bouddhisme n'admet pas l'existence de l'ātman. C'est la non-existence du soi (anātman) , la notion complémentaire de l'ātman, qui est employée pour désigner le non-soi des phénomènes corporels et mentaux (skandha). Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Brahman

Les Deux Vérités Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Deux Vérités ou Les Deux Réalités, l'une relative et l'autre ultime, est une notion fondamentale du bouddhisme. Dans le bouddhisme la réalité est interprétée sous deux perspectives appelées Les Deux Vérités ou Les Deux Réalités. I. Philippe Cornu déclare : « La réalité relative ou réalité d'enveloppement, réalité de surface, ou réalité conventionnelle se rapporte au mode d'apparence des phénomènes et de l'existence. II. « La réalité absolue désigne le mode réel des choses, leur nature essentielle et ultime[1]. » Georges Dreyfus ajoute : « L'importance de l'enseignement des deux vérités est bien révélé par Nagarjuna lorsqu'il dit que l'enseignement du Bouddha est entièrement basé sur les deux vérités, la vérité conventionnelle et la vérité ultime [...] Guy Bugault dit que « la distinction de deux vérités n'est pas une invention de Nagarjuna. Au niveau absolu, les deux vérités sont identiques. Georges Dreyfus explique :

Ikigai Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ikigai (生き甲斐) est l'équivalent japonais en français de "la joie de vivre" et "raison d'être". Bien que les significations soient identiques, les attitudes culturelles envers le concept sont différentes. Peu possèdent une raison d'être, mais ceux qui passent leur vie avec une passion pour quelque chose, peuvent être consumés par elle au détriment des rapports sociaux et d'un style de vie « normal ». Chacun, selon les Japonais, a un ikigai caché. (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ikigai » (voir la liste des auteurs) Portail du Japon

Overview effect Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Des observateurs extérieurs ont noté des changements d'attitude significatifs auprès des personnes ayant témoigné avoir vécu cet effet[5]. Les astronautes Rusty Schweickart[5], Edgar Mitchell[5], Tom Jones[5], Chris Hadfield[6] et Michael J. Massimino[7] auraient vécu cet effet. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ (en) « hanging in the void » ↑ (en) National Aeronautics and Space Administration et Douglas A. (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Overview effect » (voir la liste des auteurs). Voir aussi[modifier | modifier le code] Article connexe[modifier | modifier le code] Adaptation humaine à l'espace Lien externe[modifier | modifier le code] (en)Overview Institute [archive]

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