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La Théorie des Jeux — Science étonnante #39

La Théorie des Jeux — Science étonnante #39

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Related:  Chapitre n°3 - Comment les marchés imparfaitement concurrentiels fonctionnent-ils ?Après le coursMicro-économie

Trois leçons de ski pour économistes débutants Les vacances de neige sont propices à l’enseignement de l’économie de la concurrence. Des monopoles locaux, les écoles de ski, battus en brèche ; des fournisseurs de chaussures, fixations et planches qui détiennent un pouvoir de monopole ; des opérateurs de remontées mécaniques qui jouent leur survie par manque de neige. Si vous lisez cette série de leçons jusqu’au bout, vous obtiendrez votre première étoile d’économie. Leçon 1 : Il y a des bons et des mauvais monopoles John Rockefeller (1839-1937), Standard Oil : roi du pétrole et plus grosse fortune de l’histoire Un chiffre : 200 milliards de dollars d’aujourd’hui, la plus grande fortune jamais accumulée par un homme. Le pactole du créateur de l’industrie pétrolière John Rockefeller a fait de lui l’incarnation du capitalisme (dans sa version sauvage née aux Etats-Unis à la fin du XIX e siècle). La voie du succès n’est pas toute tracée pour ce jeune homme né en 1839 à New York, descendant d’une famille de huguenots français – les Roquefeuille – qui avaient fui le royaume de Louis XIV après la révocation de l’édit de Nantes.

Margrethe Vestager : « Il n’y a pas de définition magique du marché pertinent » Depuis le 1er décembre, Margrethe Vestager est vice-présidente exécutive de la Commision européenne, aux côtés d’Ursula von der Leyen. Elle a gardé la main sur les dossiers de la concurrence, dont elle était déjà responsable entre 2014 et 2019, dans l’équipe de Jean-Claude Juncker. La Danoise, qui s’est faite connaître en imposant des mega amendes aux GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon), a aussi récupéré le numérique.

L'autorité de la concurrence suspecte l'existence d'un "cartel des yaourts" L'Autorité de la concurrence prête à épingler un cartel du yaourt ? Le Figaro révèle, mardi 24 février, que l'administration enquête depuis trois ans sur plusieurs fabricants de produits laitiers frais dont Novandie, Senoble, Lactalis et Yoplait, soupçonnés de s'être concertés sur les prix et la répartition du marché. Réunions dans des hôtels ordinaires partout en France, carnet secret, téléphone souscrit au nom de la compagne d'un des participants : plusieurs indices font soupçonner la constitution d'un "cartel du yaourt", détaille le quotidien qui a consulté un document recensant les griefs reprochés aux producteurs par l'Autorité. Selon l'organisme, "des échanges d'informations sensibles" ont permis aux grands producteurs, ainsi qu'à des PME, "une concertation destinée à coordonner leurs politiques tarifaires et commerciales". Selon le quotidien, les accusés se sont défendus devant l'Autorité lors d'une réunion en novembre 2014.

Concurrence : le cartel de la compote et celui des émetteurs de titres restaurant sanctionnés Pas moins de deux cartels ont été mis au jour, sur le marché des titres restaurant et celui de la compote. Mercredi 18 décembre, l’Autorité de la concurrence a infligé 414,7 millions d’euros d’amende pour entente aux quatre émetteurs historiques de titres restaurant que sont Edenred (Ticket Restaurant), Sodexo Pass France (Chèque Restaurant), UP (Chèque Déjeuner) et Natixis Intertitres (Chèque de Table). Article réservé à nos abonnés Lire aussi Concurrence : les émetteurs de titres-restaurant lourdement sanctionnés Fnac-Darty : la naissance d'un nouveau géant français Dans quelques jours, la Fnac va racheter Darty. L'information a été divulguée ce vendredi 6 novembre. Cette union déconcerte un peu les clients, mais les deux entités vont conserver leurs particularités. Pour acquérir Darty, la Fnac va débourser 95 millions d'euros. Cet investissement lui permettra de mettre la main sur un réseau deux fois supérieur au sien en France. Cette alliance doit aussi ouvrir la voie à des économies en matière d'approvisionnement de certains produits.

PSA et Fiat-Chrysler signent un accord de fusion « pour former le quatrième constructeur automobile mondial » Les constructeurs automobiles français PSA et italo-américain Fiat-Chrysler ont signé « un accord de rapprochement engageant » en vue d’une fusion entre égaux de leurs activités, « pour former le quatrième constructeur automobile mondial », ont annoncé mercredi 18 décembre les deux groupes dans un communiqué conjoint. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Fusion PSA - Fiat : « le vrai problème, c’est l’avenir de la production automobile sur le territoire français » La nouvelle entité, de plus de 400 000 salariés, affichera un chiffre d’affaires consolidé de près de 170 milliards d’euros et des ventes annuelles de 8,7 millions de véhicules, sous les marques Fiat, Alfa Romeo, Chrysler, Citroën, Dodge, DS, Jeep, Lancia, Maserati, Opel, Peugeot et Vauxhall. « La réalisation de la fusion devrait intervenir sous douze à quinze mois », précise le communiqué. La société mère de la nouvelle entité sera basée aux Pays-Bas, mais restera cotée à Paris, Milan et New York.

Les GAFAM, ces champions du numérique parfois compliqués à dompter Comment les GAFAM ont-ils réussi à s’imposer comme les champions du numérique ? Les GAFAM se sont développés chacun dans leur activité respective dont ils sont devenus les leaders. Ils se sont répartis, de fait, les principaux segments du marché du numérique dans lesquels ils ont su s’imposer et prospérer grâce à la combinaison de plusieurs facteurs :

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