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Le site de Roger-Pol Droit

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Bienvenue sur le blog de Luc Ferry Critique de la Raison Pure de Kant La Critique de la Raison Pure, publiée par Emmanuel Kant en 1781, est l’un des ouvrages les plus complexes et les plus marquants de la philosophie moderne, apportant une révolution au moins aussi grande que celle de Descartes et son Discours de la Méthode. La Raison pure laisse ainsi pantois des générations d’étudiants en philosophie. La complexité de la première critique (la seconde est la critique de la raison pratique, et la troisième est la critique de la faculté de juger), est telle que Kant publiera lui-même un texte introductif, intitulée Prolégomènes à toute métaphysique future, au coeur de la philosophie kantienne. Résumé de la Critique de la Raison Pure : L’ambition de ce livre se résume pourtant assez facilement : la métaphysique est un champ de bataille qui demande à être ordonné. C’est le sens du terme “critique” : il ne s’agit pas de faire le procès de la raison, comme ferait une critique sceptique et destructrice. Analyse : Les livres de notre partenaire

Philocité Frédéric Lenoir Platon " Si la vie vaut jamais la peine d'être vécue, cher Socrate, dit l'Étrangère de Mantinée, c'est à ce moment où l'homme contemple la Beauté en soi. Si tu la vois jamais, que te sembleront auprès d'elle l'or, la parure, les beaux enfants et les jeunes gens dont la vue te trouble aujourd'hui, toi et bien d'autres, à ce point que, pour voir vos bien-aimés et vivre avec eux sans les quitter, si c'était possible, vous consentiriez à vous priver de boire et de manger, sans autre désir que de les regarder et de rester à leurs côtés. Songe donc, ajouta-t-elle, quel bonheur ce serait pour un homme s'il pouvait voir le beau lui-même, simple, pur, sans mélange, et contempler, au lieu d'une beauté chargée de chairs, de couleurs et de cent autres superfluités périssables, la beauté divine elle-même sous sa forme unique. Penses-tu que ce soit une vie banale que celle d'un homme qui, élevant ses regards là-haut, contemple la beauté avec l'organe approprié et vit dans son commerce ?

Apprendre la Philosophie HANS BLUMENBERG L'œuvre de Blumenberg va rencontrer alors et dialoguer avec un autre philosophe allemand Ernst Cassirer , dont la Philosophie Des Formes Symboliques, s'intéresse aux phénomènes d'expression qui ne sont pas encore scientifiques.. En effet, avec Cassirer, la théorie s'est élargie au mythe et aux formes symboliques; Nous ne nous contentons pas de recevoir des impressions par nos sens, l'esprit génère des signes, des symboles: « un monde de signes et d'images qui se sont créés d'eux-mêmes s'avance au devant de ce que nous appelons la réalité objective des choses et s'affirme contre elle dans sa plénitude autonome et sa force originelle ». L'homme n'est pas en contact direct avec le monde : le symbole lui sert d'interface dans ce rapport à ce dernier, médiation nécessaire, la seule possible, entre l'homme et le monde. La conscience est un flux incessant qui se déroule dans le temps, mais doit produire en même temps de la stabilité, grâce aux formes symboliques. Quelques textes

Existence 0.0.0. - Introduction 0.0.1. — La mort s’oppose à l’existence, mais c’est le temps qui les réunit. En effet, hormis Dieu peut-être, exister n’a de sens que dans le temps ; quant à la mort, elle représente, pour l’homme, la preuve la plus incontournable de sa nature temporelle et terrestre : la mort est ainsi l’épreuve même et ultime du temps. 0.0.2. — Or nous avons défini le temps (cf. cours) comme une limite. Faut-il en dire autant de la mort? Par “limite”, faut-il entendre simplement le caractère “fini” de l’homme ? 0.0.3. — Dans son livre La mort, V. LE MYTHE DE LA CAVERNE Gaëlle Sartre-Doublet a dit : (article publié dans vox populi le samedi 16 octobre 2004) LE MYTHE DE LA CAVERNE, Platon (V° siècle avant J.C) , La République, Livre 7... C’est avec plaisir que je découvre cet article qui expose sobrement la fabulette de Platon, et, si ce n’est ses motivations, du moins son mode d’emploi pour les apprenti philosophes. La phrase d’introduction me convient presque : Le mythe de la caverne est une allégorie qui illustre la situation des hommes par rapport à la vraie lumière, c’est-à-dire par rapport à la vérité. mais je dirais plutôt : :L’allégorie de la caverne cherche a illustrer la situation des hommes par rapport à la vérité. Mon discours personnel serait plutôt : La réalité n’a pas de sens. Dont on peut conclure a) A chacun sa vérité b) LA vérité n’existe pas. J’en étais là de mes réflexions. A la réflexion, je me demande si j’aurais pu imaginer ma fable si j’avais appris la philosophie. Mes prémisses étaient les suivantes : Le vaisseau spatial

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