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VIDÉO- Le harcèlement scolaire expliqué en dessins animés

VIDÉO- Le harcèlement scolaire expliqué en dessins animés
Contre le harcèlement scolaire, Vincent Peillon lance un plan de lutte... en images. En plus de clips TV qui seront diffusés dans les prochains mois, le ministre de l’Éducation nationale va présenter mardi 10 dessins animés, destinés à être montrés aux élèves dans les écoles primaires. Europe1 a pu se les procurer en avant-première. Lutte contre le harcèlement scolaire E1par Europe1fr Des moqueries au racket, en passant par les bagarres ou les insultes... Episode02par Europe1fr En France, 40% des élèves disent avoir été victimes d'une agression ou méchanceté en ligne. Related:  CLIMAT SCOLAIRE

aménager les cours d'école Aménager les cours des écoles Le projet d’aménagement des cours d’école a pour objectif la promotion de l’activité physique à l’école et la lutte contre la sédentarité. Il relève plus globalement des missions attribuées à l’école pour l’éducation à la santé des élèves. Cliquez pour accéder en ligne aux documents du cédérom Cliquez pour télécharger une image ISO du cédérom Aménager une cour d’école Cliquer sur l’image pour accéder au site. Les objectifs visés par le projet sont les suivants : Augmenter le temps d’activité physique des élèves à l’école Contribuer à la construction de coordinations motrices simples Proposer aux élèves un environnement ludique et attrayant Prévenir les conduites à risques Le dispositif permet également l’acquisition de connaissances liées à l’éducation à la route ainsi que l’évaluation de l’état de forme des élèves (diagnoform kid). La réalisation des tracés : Un plan –type est proposé avec l’ensemble des tracés. Les fiches pédagogiques : L’éducation à la route :

"Stop la violence", un Serious Game sur la violence à l'Ecole Pourquoi un Serious Game sur la violence ? « Un élève est victime de harcèlement lorsqu’il est soumis de façon répétée et à long terme à des comportements agressifs visant à lui porter préjudice, le blesser ou le mettre en difficulté de la part d’un ou plusieurs élèves ». Lorsque ces faits se déroulent sur les réseaux sociaux, par SMS ou par e-mail, on parle de cyberharcèlement. Ces micro-violences, qui peuvent parfois sembler anodines, peuvent induire de véritables souffrances qui se traduisent par des phénomènes tels que l’absentéisme, le décrochage scolaire, le repli sur soi, l’insomnie, des comportements agressifs, la délinquance… Aussi bien pour le harcelé que pour le harceleur, contrairement aux idées reçues ! Dans leur vie quotidienne, les enfants sont amenés à connaitre des situations auxquelles ils ne sont pas forcément préparés. Au collège, dans la rue, en centre de loisirs et même à la maison, ils peuvent être témoins ou devenir acteurs de violence. « Stop la violence !

Et si on s'parlait du harcèlement à l'école ? | UNICEF France L’UNICEF France soutient le ministère de l’Éducation nationale dans sa campagne de lutte contre le harcèlement. Son engagement dans la lutte contre les violences à l’école a été initié avec la publication en mars 2011 d’une enquête sur la victimation et le climat scolaire dans les écoles primaires (« À l’école des enfants heureux…enfin presque », UNICEF France). Le dispositif global de la campagne repose sur différents axes, autour desquels l'UNICEF se mobilise : notamment à l’aide d’un site Internet dédié : www.nonauharcelement.education.gouv.fr • PRÉVENIR : > en s'appuyant sur des supports vidéos et interactifs, différentes ressources • PRENDRE EN CHARGE : depuis le numéro d’appel 3020 L’UNICEF France s’est associé à l’association Les Petits Citoyens pour la conception d'un livret pédagogique et de 10 vidéos d'animation intitulées Et si on s’parlait du harcèlement à l’école. Un outil de sensibilisation Ce livret et les 10 vidéos associées sont destinés aux enfants à partir de 7 ans. sensibiliser

Vidéo animée : introduction à la communication bienveillante pour les enfants Source : Haute École d’art et de design Genève 1. Tes mots sont comme des épées Ta parole est comme une épée : à double tranchant. Choisis tes mots avec prudence car ils sont aussi puissants que des armes. 2. Grâce à ton bouclier, tu peux ne pas être d’accord avec ce que les autres disent de toi et tu n’es plus touché par les paroles blessantes. Que les autres croient ce qu’ils veulent, toi, tu sais ce qui est vrai ! Mais le bouclier ne doit pas prendre toute la place car il peut te couper du monde. 3. Est-ce que ce que je pense est vrai ? Ça ne sert à rien de croire des histoires désagréables car cela rend malheureux. Cherche toujours à savoir plutôt qu’à croire et tu trouveras la vérité. 4. Il arrive qu’on se sente parfois fatigué alors le “mieux” n’est pas très haut. Fais de ton mieux jour après jour ! Related Je lis mes premiers mots (Les Petits Montessori - de 4 à 7 ans) In "Bibliothèque (livres utiles)"

Discipline Positive - supermaitre Depuis mon entrée dans le métier, j'ai toujours souhaité installer un cadre à la fois ferme et bienveillant dans la classe, exactement ce que prône la discipline positive. Néanmoins, avec les années, j'ai toujours eu l'impression de ne jouer que sur un des 2 tableaux à la fois en alternant avec la classe mais aussi les élèves un système de type encouragement / sanction. Or cette organisation atteint très vite ses limites face à de plus en plus d'élèves. Du fait de ma découverte de la discipline positive en fin d'année scolaire 2014-2015 , j'ai organisé et mis en place quelques principes dès la rentrée de Septembre 2015. 1. Au quotidien, dans mon rapport aux élèves mais aussi dans l'organisation de la classe voici les éléments issus de la discipline positive que j'utilise : - suppression complète des punitions (travaux écrits, mise à l'écart pour une activité) - travail important en début d'année sur les règles de la classe et les engagements de chacun 2. 3. 4. 5. - évaluation par ceintures

EBEP - Les comportements oppositionnels et provocateurs - La tanière de Kyban Cet article est un complément traitant d’une difficulté particulière parmi toutes celles potentiellement rencontrées et listées dans mon article Elèves à besoins éducatifs particuliers. Ça a été ma première véritable et grande claque à mon entrée dans le métier : mais où est passé le respect ? C’est la question que je me suis vite posée. Il ne suffit pas de demander (ou d’ordonner) pour qu’un élève fasse. Il ne suffit pas d’avoir un master et un concours en poche et même de l’expérience avec les enfants, pour être obéi, pour être respecté ou pour être écouté. Rien, absolument rien, de ce que j’avais appris jusque là en formation, ne m’avait préparée à ce choc ! Alors, bien encadrée que j’étais en tant que PES, on m’a dit « Mais non… ce n’est pas ça ! C’est peut-être le premier conseil que je pourrais donner : quand on sait qu’on va être confronté à cette situation, ou quand on sent que c’est déjà le cas, il est bon de prendre de la distance et d’analyser la situation. Ouf ? Le regard

quelques points de repère Alors que la rentrée se rapproche et que la consultation de mes billets de blog de “conseils” et de “bibliothèque idéale” pour les débutants augmente, je vous propose, dans la même logique, quelques réflexions pour faire le point sur l’autorité et la gestion de classe... Pendant plusieurs années à l’IUFM de Paris, j’ai animé des séances de formation transversales consacrées à la “gestion de classe”. Au cours des années, le titre a changé et c’est d’ailleurs assez révélateur de l’évolution de la conception. On est passé de “tenue de classe” à “gestion de classe” puis à “gestion de classe et climat scolaire”. Le terme de “tenue de classe” m’a toujours mis mal à l’aise avec ce qu’il sous-entendait de rapport de forces et de “domptage”. La “gestion” renvoie à un vocabulaire plus technique et nous permet d’insister sur l’aspect systémique et l’existence de “ressources”. Lorsque j’évoquais ces séances de formation auprès de personnes hors de l’école, les réactions étaient très diverses.

Le jeu des trois figures Je m'énerve trop vite, je crie sur mes enfants ... - S Comm C, le blog « Je m’énerve trop vite sur mes enfants. Au moindre problème je leur crie dessus, parfois j’ai envie de les taper et quelques fois la fessée ou la claque part. Je sais que ce n’est pas la solution mais je ne sais pas comment faire autrement. » Cette demande est fréquente parmi les parents que j’accompagne. C’est la lecture d’un article écrit par un autre coach qui m’a donné envie de rédiger ce billet (article que vous trouverez ici). Les parents ne doivent pas crier sur leurs enfants, faute de quoi ils les traumatisent. Et ce discours m’énerve au plus haut point ! J’en avais d’ailleurs déjà parlé avec les articles « Quand y en a marre, y en a marre ! Pour éduquer ses enfants faut-il être parfait ? Evidemment je suis d’accord avec l’idée qu’un enfant – comme tout autre être humain, mais à plus forte raison avec un enfant – se développe de façon plus harmonieuse et plus constructive quand on lui parle avec respect et quand on ne le tape pas. Mais quand je lis une phrase comme : Pourquoi ?

Faut-il vraiment éradiquer la violence ? - S Comm C, le blog Selon certains spécialistes, Alice Miller en tête, la violence serait un problème lié à notre enfance, nous l’aurions apprise au travers de notre éducation. L’idée généralement répandue est donc qu’une personne « normale » ne devrait jamais être violente. Il faudrait alors un « traitement » – une thérapie idéalement évidemment – pour nous « soigner » et extirper hors de nous cette mauvaise herbe que serait la violence. Beaucoup de partisans de la bienveillance éducative semblent aller dans le même sens. Entendons-nous bien : je suis une militante convaincue de la bienveillance éducative. Cette vision des choses me semble en effet oublier un point primordial : avant d’être un problème, la violence est une solution. Et si la violence n’était pas que mauvaise ? La violence, une solution ??? Je m’explique : Quand nous vivons un contexte dérangeant, désagréable pour nous, nous avons besoin de faire en sorte que ce contexte change pour revenir à un état plus satisfaisant. Mon bébé pleure.

En réponse à l'article du Figaro ''Suède: les dérives de l'interdiction de la fessée'' - Mind in Sweden Des enfants retires a leurs parents en un claquement de doigts, des parents qui auraient peur de leurs enfants, des enfants qui eux consommeraient de plus en plus d’alcool et de tabac a l'adolescence. Des psychiatres, des avocats qui se souleveraient contre l'Abolition des chatiments corporels... A quelques semaines du passage au Senat de la loi venant abolir les violences faites aux enfants en France, le Figaro se tourne vers la Suede, pionniere de cette loi, pour disons-le franchement, aller y trouver un peu tout et n’importe quoi. Il serait question ’’d’enfants retires a leurs parents pour une claque’’, le journal indiquant : "Quarante ans apres la loi bannissant toute forme de chatiment corporel, des effets pervers surgissent.’’ Oui. Pour ecrire cet article je suis rentree en contact avec differents professionnels qui m’ont tous accorde leur temps pour repondre a mes questions, mes interrogations. A peine ma premiere question posee, la sienne ne se fait pas attendre. Ces chiffres :

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