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La Servante écarlate - Margaret Atwood

La Servante écarlate - Margaret Atwood
Serena Joy serre mes mains comme si c'était elle, et non pas moi, qui se faisait baiser, comme si elle trouvait la chose agréable, ou douloureuse, et le Commandant baise, à un rythme régulier de pas cadencé, une, deux, sans relâche, comme un robinet qui goutte. Il est absorbé, comme un homme qui fredonne sous la douche sans se rendre compte qu'il fredonne ; comme un homme qui a d'autres choses en tête. C'est comme s'il était ailleurs, à attendre de jouir, tout en tambourinant des doigts sur une table. Il y a une impatience dans sa cadence, à présent. Mais n'est-ce pas le rêve érotique de tout homme ? deux femmes à la fois? + Lire la suite

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Kathy Acker interview Interview by R.U. Sirius Photo by Ali Hossaini, computer illustration by Ian Stahl This interview first appeared last year in the print version of io. She calls herself Acker. Les Sept boules de cristal: feuilleton radiophonique de 1959 1/4 En octobre 1959 sur FranceII-Régional, certains soirs de la semaine, les jeunes auditeurs écoutaient les aventures de Tintin reporter. Le 12 octobre 1959 c’était une nouvelle aventure qui les attendait : « Les sept boules de cristal ». En octobre 1959 sur FranceII-Régional, certains soirs de la semaine, les jeunes auditeurs écoutaient les aventures de Tintin reporter. Le 12 octobre 1959 c’était une nouvelle aventure qui les attendait : « Les sept boules de cristal ». Profitez de cette grande et joyeuse bouffée de retour en enfance qui vous permettra d’écouter et de podcaster, l’intégrale du feuilleton radiophonique tirée des aventures de Tintin. Tintin et ses amis prennent la parole dans le feuilleton radiophonique, grâce aux voix de Maurice sarfati (Tintin), Jacques Hilling (le capitaine Haddock), Jacques Dufilho (Tournesol), Henri Virlogeux ( Nestor) Jean Carmet et Jean Bellanger (les Dupondt).

Last Exit to Brooklyn by Hubert Selby Jr., Grove/Atlantic, Inc. WHAT a ride! This book sucks you in from the very first page and holds you tightly in its grasp until he very end. It covers topics from all sides of despair and is shockingly graphic. The descriptions are meant to curl your toes as ALL details are unvelied without shame. This is the first book of Hubert Selby Jr. and I will be adding to my collection of his stories. Sabine Weiss : “La photo humaniste, c'est quoi ? Une photo avec des humains ?” - Sortir Après guerre, elle a photographié le peuple de Paris. Et regrette une innocence perdue, le temps où la vie était dans la rue, et facile à immortaliser. On vous cite comme étant la dernière grande photographe humaniste, qu'en pensez-vous ?

De la domination masculine, par Pierre Bourdieu (Le Monde diplomatique, août 1998) Je ne me serais sans doute pas affronté à un sujet aussi difficile si je n’y avais pas été entraîné par toute la logique de ma recherche (1). Je n’ai jamais cessé, en effet, de m’étonner devant ce que l’on pourrait appeler le paradoxe de la doxa (2) : le fait que l’ordre du monde tel qu’il est, avec ses sens uniques et ses sens interdits, au sens propre ou au sens figuré, ses obligations et ses sanctions, soit grosso modo respecté, qu’il n’y ait pas davantage de transgressions ou de subversions, de délits et de « folies » (il suffit de penser à l’extraordinaire accord de milliers de dispositions — ou de volontés — que supposent cinq minutes de circulation automobile sur la place de la Bastille ou sur celle de la Concorde, à Paris). On voit bien qu’en ces matières il s’agit avant tout de restituer à la doxa son caractère paradoxal en même temps que de démonter les mécanismes qui sont responsables de la transformation de l’histoire en nature, de l’arbitraire culturel en naturel.

James Baldwin - A Letter to My Nephew Editor's Note: In light of the protests around the country demanding a stop to police brutality and changes to a racist justice system, we are reprinting one of James Baldwin's most famous articles published in The Progressive magazine, from December 1962. (Baldwin later adapted it in his essay collection, The Fire Next Time.) Senior editor Matt Rothschild remarked today, "This might be the greatest piece we've ever published." Vipassanā Vipassanā (pāli) ou vipaśyanā (विपश्यना, sanskrit; chinois 觀 guān; tibétain ལྷག་མཐོང་, lhaktong) désigne dans la tradition bouddhique la « vue profonde »[1] ou « inspection »[2], ainsi que les pratiques de méditation qui y sont associées. C'est la deuxième étape des pratiques de méditation dans le bouddhisme, qui est utilisée après samatha, « la pacification mentale ». Certains scientifiques étudient aujourd'hui cette méditation issue de la tradition spirituelle orientale et qui est devenue populaire en Occident au XXe siècle, notamment par l'intermédiaire de Mahasi Sayadaw[3], S. N. Goenka[4] et Ajahn Chah[5]. Définition[modifier | modifier le code]

"L'Europe a construit sa domination en écrivant l’histoire des autres" BibliObs. Le XVIe siècle, écrivez-vous dans «la Machine à remonter le temps», est un tournant dans la façon dont on raconte l’histoire du monde. Pourquoi? Serge Gruzinski. Il y a au XVIe siècle, avec la découverte du Nouveau Monde par les Espagnols, un mouvement inédit de connexion entre les différents continents. Joan Didion on Self-Respect For the past half-century, Joan Didion (b. December 5, 1934) has been dissecting the complexities of cultural chaos with equal parts elegant anxiety, keen criticism, and moral imagination. The dismal fact is that self-respect has nothing to do with the approval of others — who are, after all, deceived easily enough; has nothing to do with reputation, which, as Rhett Butler told Scarlett O’Hara, is something people with courage can do without.To do without self-respect, on the other hand, is to be an unwilling audience of one to an interminable documentary that deals with one’s failings, both real and imagined, with fresh footage spliced in for every screening.

Joan Didion on Keeping a Notebook by Maria Popova “We are well advised to keep on nodding terms with the people we used to be, whether we find them attractive company or not.” As a lover — and keeper — of diaries and notebooks, I find myself returning again and again to the question of what compels us — what propels us — to record our impressions of the present moment in all their fragile subjectivity.

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