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Soumission à l'autorité - expérience de Milgram

Soumission à l'autorité - expérience de Milgram
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Génération Y... Les empêcheurs de travailler en rond M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Guillemette Faure C'est l'histoire de la directrice d'une agence de pub qui a voulu secouer un de ses salariés âgé de 28 ans pour qu'il accepte d'arriver au bureau avant 11 h 30 et qui s'est vu répondre : "C'est pas de ma faute, c'est mon biorythme." C'est l'histoire de la responsable d'un magasin de luxe qui a trouvé son employé affalé dans un fauteuil en vente, un café à la main et a entendu :"Ben quoi, je suis en pause." "Comme dans "Super Nanny", les dirigeants font appel à des personnes extérieures pour élever leurs enfants", blague à moitié Christine Charlotin, du cabinet Openmind Conseil, qui intervient dans toutes sortes d' entreprises, de Hermès à Eiffage. "C'est la génération ‘si c'est ça la vie, alors je mange le dessert d'abord’, explique-t-elle encore. Alors, comment s'y prendre ? On les décrit comme impatients et impulsifs. Une histoire caricaturale de la génération Y ?

Quel modèle de leadership pour l'entreprise ? Publié le 11/07/2012 Attention, cet article a été publié le 11/07/2012. Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Dans un livre blanc, Cornerstone Ondemand rappelle que le leadership en entreprise a considérablement évolué ces dernières années. La notion de leadership dans les entreprises a changé. Authenticité et communication Dans ce contexte, plutôt que de chercher à recruter de futurs leaders, le livre blanc invite les entreprises à les produire elles-mêmes. Des leaders ouverts à la collaboration Non contents de devoir inspirer leurs collaborateurs, les leaders de demain devront aussi être ouverts à la collaboration, dans un contexte où le travail en équipe sera davantage valorisé que la performance individuelle. Gérer la performance Yves Rivoal Crédits photo : Fotolia.com

Psychologie sociale Site de Philippe Meirieu La question de l'autonomie a le mérite de ne pas nous laisser indifférents. Elle suscite même chez les professeurs de vives polémiques : - Les uns invoquent l'autonomie "naturelle" des enfants, leur capacité spontanée à se prendre en charge, leur don d'initiative et leur sens des responsabilités... Ce débat devient d'autant plus passionné qu'il arrive que les mêmes enseignants passent facilement d'une position à une autre et se rallient à la thèse de "l'enfant-à-dresser" après avoir défendu celle de "l'enfant-à-respecter"; ils sont alors d'autant plus durs pour leurs jeunes collègues pleins d'illusions dont eux-mêmes, forts de leurs expériences, "sont revenus". Ce n'est pas un hasard si ce mouvement de balancier est si fréquent et, à la réflexion, il n'est pas si curieux. Ainsi, supposer l'autonomie c'est bien souvent laisser jouer les privilèges et se creuser les écarts. Car, c'est bien là le noeud : l'autonomie n'est pas un don. Alors l'enjeu est simple :

Site de l'Institut Français de l'Education Pourquoi la Génération Y est insatisfaite et malheureuse ? La Génération Y, ce sont les personnes nées entre les années 70 et le milieu des années 90 – le terme a été inventé en 1993 par le magasine Advertising Age, désignant ainsi la génération qui suit la Génération X (née approximativement entre 1965 et 1977). La Génération Y, ce sont aussi les « Echos Boomers » en référence au fait que beaucoup sont des enfants de baby-boomers, ou des « Enfants du millénaire » (« Millenials » en anglais) en lien avec leur date de naissance. Les américains utilisent également l’expression « Digital Natives » pour pointer le fait que ces enfants sont nés avec un ordinateur ou tout simplement les diminutifs « GenY » ou « Yers ». En France, la Génération Y regroupe environ 13 millions de personnes, soit près de 21% de la population française (13 192 178 ont vu le jour selon l’INSEE entre 1978 et 1994). Il s’agit de la génération la plus importante depuis la génération du baby-boom. En quoi consiste l’insatisfaction ? L’individu Lambda est insatisfait de sa vie.

[Intelligence Collective] La théorie de la Dissonance cognitive Par Philippe Mougel,Sociologue cognitif, chef de projet à Welience et par Aurélien Trioux, chargé de mission « Mobilité et Territoire », Octobre 2010 Léon Festinger (1993), qui fut un étudiant de kurt Lewin, trouva avec ses associés un article dans le journal local intitulé « La prophétie de la planète Clarion, lance un appel à la ville : Fuyez cette inondation ! ». Cette annonce prédisait que le monde serait englouti par une grande inondation à une date précise. Le groupe de croyants, menés par un gourou, s’était fortement impliqué dans cette croyance, ce qui indiquait un haut degré de conviction. Ainsi la dissonance entre l’annonce du déluge et son échec a été réduite par un travail de ré-interprétation des messages « divins » et par une intense activité de prosélytisme. Festinger a décrit comment l’individu rationalise ses cognitions pour expliquer ses conduites et pour éviter l’état de dissonance cognitive. - la première comme conséquence de décisions prises, - 1. - 2. - 3. - 4.

Revue électronique de psychologie sociale Technique d'apprentissage PNL : la carte mentale Technique d'apprentissage dans les écoles en Finlande Une technique à modéliser dans nos écoles partout dans le monde. C'est d'une simplicité, les enseignants démontrent aux étudiants à construire une carte mentale pour mieux apprendre et surtout ils axent sur l'individualité de chacun dans la compréhension. La carte mentale permet de faire immerger le génie en nous, inventé par un psychologue anglais Tony Buzan. Un logiciel vous est offert gratuitement: Méthode d'apprentissage Finlandaise : la carte mentale ...envoyé par le-comite-invisible. - Les derniers test hi-tech en vidéo.

Techniques innovantes pour l'enseignement supérieur La "génération Y" jugée ambitieuse et individualiste par ses aînés La "génération Y" des moins de trente ans n'est pas très bien perçue par les salariés plus âgés, qui jugent ses représentants plus ambitieux et individualistes, et moins efficaces et motivés, selon un sondage Ipsos rendu public lundi 16 janvier. Selon cette enquête réalisée pour le CESI en partenariat avec Le Figaro et BFM, 55 % des salariés de plus de trente ans jugent leurs nouveaux collègues plus "ambitieux" et 58 % plus "individualistes" qu'eux-mêmes. Ils sont aussi dépeints comme "moins efficaces" (48 %), "moins motivés" (46 %), "moins enthousiastes" et "moins polyvalents" (44 %). De leur côté, les "Y" (la lettre "y" pour symboliser la conjonction anglaise "why", "pourquoi", en français) se voient comme plus polyvalents, plus motivés, plus efficaces, plus enthousiastes mais admettent être plus individualistes et plus ambitieux. Malgré tout, plus de 70 % des patrons et salariés restent optimistes pour les six mois à venir sur le maintien de l'emploi.

Sommes-nous câblés pour argumenter Cette irrationalité inhérente à l'esprit humain, dont nous avons déjà présenté plusieurs aspects dans nos colonnes, d'où vient-elle ? Si la raison a été réellement développée pour nous permettre de résoudre des problèmes complexes, elle aurait dû se montrer plus efficace. C'est le lièvre que soulève un article du New Scientist (réservé aux abonnés, mais ses sources sont disponibles en ligne). La réponse la plus évidente est que la raison n'a pas pour but de trouver des solutions. Le raisonnement sert-il d'abord à convaincre ? Fondamentalement, nous explique-t-on, l'homme est un animal social dont l'intelligence a évolué au sein d'un groupe. Afin de l'emporter dans le débat, certains biais propres à notre fonctionnement mental se seraient particulièrement développés. Un autre exemple cité par le New Scientist est la façon dont nous sommes sensibles à la manière dont les arguments sont présentés. Des biais innés ? D'où l'importance du travail avec les enfants. Rémi Sussan

Cours de psycho sociale

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