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Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic)

Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic)
La particularité du statut Scic est de permettre l'association de divers acteurs autour d'un même projet de production économique et de production d'intérêt collectif. Cette forme de société coopérative peut être particulièrement intéressante pour des projets répondant à des besoins collectifs d'un territoire donné ou d'une filière d'activité donnée. Elle favorise en effet la meilleure mobilisation possible des ressources économiques et des compétences sociales présentes sur tel territoire ou dans telle filière. Le statut Scic répond à une volonté de concilier et de mettre à égalité d'importance les deux volets du développement que sont l'économique et le social. Sur les 117 Scic agréées depuis 2002, 103 sont en activité au 30 juin 2007. Les principales caractéristiques d'une Scic Le multisociétariat Le partenariat avec les collectivités locales Les principes coopératifs Le pouvoir Les votes en assemblée générale respectent le principe "une personne = une voix". L'agrément préfectoral

Équitables Pionniers Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Dans les années 1840, les tisserands de Rochdale, dans la région de Manchester, réclament sans succès des hausses de salaires. Ils constatent que leur niveau de vie est non seulement dépendant des manufacturiers, qui décident des salaires, mais aussi des commerçants, qui fixent le prix auquel ils vendent leurs produits. En 1844, 28 tisserands se rassemblent donc pour fonder, grâce à de modestes souscriptions, une association, "la Société des Équitables Pionniers de Rochdale", et ouvrent un magasin coopératif. Le but est simple : garantir à la clientèle des prix raisonnables (en vendant au comptant) et une bonne qualité de produits. D'une quarantaine de souscripteurs en 1844, la Société croît rapidement et atteint 390 membres en 1849, plus de 10 000 en 1880. Les principes de Rochdale[modifier | modifier le code] Les quatre règles fondamentales (toujours en vigueur aujourd'hui) sont ainsi : ↑ P.

Solecopedia ECLECTIC.COOP : Coopérative d'Activités et d'Entrepreneurs + Réseau de Tiers-Lieux Réseau des Territoires pour l'Economie Solidaire L’ancienne Bourse parisienne, dont les colonnes étaient pour le week-end habillées par les porteurs d’espoirs de l’ESS, a abrité pendant trois jours une multitude de débats, d’échanges, de films et de moments festifs, un village de l’innovation sociale, des étals d’un marché solidaire,... 80 journalistes présents, une couverture médiatique importante, environ 5000 visiteurs de tous horizons (dont environ 30% de néophytes), le succès de ces Etats Généraux de l’ESS est réel. Pari réussi donc pour Claude Alphandéry, le Labo de l’ESS et l’ensemble des partenaires et bénévoles qui ont construit l’événement. Comme l’a indiqué Benoît Lévesque, un des invités internationaux professeur au Québec citant Durkheim, ce type de rassemblement est un moment important où l’on prend conscience que le tout est plus que la somme des parties. étendre et approfondir les Cahiers d’Espérance, Retrouvez la conférence plénière d’ouverture du vendredi 17 et d’autres vidéos sur TV Brongniart. Blogs et site :

dph : Les coopératives dialogues, propositions, histoires pour une citoyenneté mondiale Les coopératives ont déjà une longue histoire. Sous leur forme moderne, elles ont été portées par le mouvement ouvrier et paysan dans les pays du Nord, préfigurant nombre de nos institutions sociales actuelles. Même absorbées par l’Etat ou remises en cause par la vague néolibérale, les coopératives jouent aujourd’hui encore un rôle social fondamental dans de nombreux domaines, depuis la consommation jusqu’au logement en passant par les services financiers. Parallèlement, des milliers de coopératives ont vu le jour dans les pays du Sud, comme moyen pour les petits producteurs de s’organiser et de se renforcer collectivement, ou d’accéder aux services de base. Au Nord, de nouvelles coopératives ont vu le jour dans le cadre du développement de l’économie solidaire ou de la défense de l’agriculture locale et des circuits courts. photo theregeneration, creative commons De grands modèles reconnus au niveau mondial

Site Adéquations MOBILIZ, le programme de social business de Renault pour une mobilité solidaire Ce mercredi 11 juillet, j’ai eu l’opportunité de participer au lancement officiel par Carlos Ghosn du programme de Social Business de Renault : MOBILIZ. Il indiquait: « ce programme renforcera l’ancrage local de Renault et ouvrira la voie à de nouvelles solutions de mobilité, économes et innovantes.» L’incapacité de se déplacer, en particulier l’impossibilité d’acquérir ou d’entretenir un véhicule est un facteur important d’exclusion sociale et économique. La mobilité, condition de l’insertion : de nombreux emplois, notamment peu ou non qualifiés, sont éloignés des centres urbains ou leurs horaires ne correspondent pas toujours à ceux des transports en commun. Pauvreté et mobilité en France. L’optique Social Business du programme Renault : MOBILIZ s’inscrit dans la définition du social business portée par Muhammad Yunus (> voir les articles sur le sujet): « On développe un Social Business pour résoudre un problème social de façon entrepreneuriale. Renault-MOBILIZ, de quoi s’agit-il ?

L'économie citoyenne : un nouveau mouvement a vu le jour Christian Felber, membre d’ATTAC (Autriche) a fondé un mouvement incitant les entreprises à faire, chaque année, le bilan de leurs efforts citoyens (écologiques, sociales, solidaires, démocratiques). Dans ce livre publié en France aux éditions Actes Sud, porté par les expériences concrètes et diverses d’une centaine d’entreprises, nous apprend donc comment transformer l’économie en évitant les écueils du communisme et d’autres totalitarismes. L’économie citoyenne repose sur des valeurs susceptibles de réunir l’adhésion d’un grand nombre de personnes, puisque ce sont les mêmes que celles qui font la réussite de nos relations sociales : confiance, coopération, respect, démocratie, solidarité (selon des études scientifiques récentes, il apparaît que ce qui satisfait et motive le plus l’être humain, c’est l’établissement de bonnes relations sociales). Quel est cet "intérêt général" que l’entreprise citoyenne s’engage à favoriser ? Les 15 piliers du modèle de l’économie citoyenne 1. 2. 3. 4.

BERCY COLLOC - Règles de mise en oeuvre du quart réservataire - Article 54 du code des marchés publics de 2001 - 13 mai 2004 Nota : Cette fiche a été élaborée en réponse à une question spécifique. Toute transposition à d'autres situations doit être faite avec précaution. Question Quelles sont les règles de mise en œuvre du quart réservataire prévues au II de l'article 54 du code 2001 ? L'article 54 II prévoit un régime réservataire qui ne concerne que les artisans, les sociétés d'artisans et les sociétés coopératives d'artisans. La Direction des Affaires Juridiques a précisé (cf. la revue de l'achat public n° 4/2001) : " Comme il est précisé dans l'instruction d'application, la référence à l'égalité de prix vise l'hypothèse où, comme dans l'ancienne procédure d'adjudication, le prix serait le seul critère de choix retenu En outre, il est de l'intérêt de la personne publique de définir le plus précisément possible son besoin et de prévoir parallèlement un nombre de critères suffisants afin de pouvoir départager les offres.

L’association comme réponse à la question sociale du XIXe au XXe 1 Le système de protection sociale peut être défini comme l’ensemble des organisations institutionnel (...) 1Liée à l’émergence du salariat, la « question sociale » en France, renvoie à l’« aporie fondamentale sur laquelle une société expérimente l’énigme de sa cohésion et tente de conjurer le risque de sa fracture » [Castel (1995), p. 18]. Dès le XIXe siècle, cette question va être au cœur de débats sur les réformes économiques et sociales à mettre en œuvre pour achever la dynamique réformatrice initiée par la Révolution française. Le débat va principalement se structurer autour d’une alternative : le renforcement de la logique libérale ou la reconnaissance d’un rôle élargi de l’Etat. Si la question sociale a été polarisée par ces deux types de réponses, l’un à dominante économique et l’autre à dominante politique, des institutions autres que des institutions marchandes ou étatiques ont participé aux débats : les associations. 2 Voir Vergara (1992).

Qu'est-ce que l'innovation sociale ? - APCE, agence pour la création d'entreprises, création d'entreprise, créer sa société,l'auto-entrepreneur, autoentrepreneur, auto-entrepreneur, auto entrepreneur, lautoentrepreneur, reprendre une entreprise, aides à  CV : Elise Depecker est directrice des programmes à l'Avise. Créée en 2002 par la Caisse des dépôts et les grands acteurs de l'économie sociale, l'Avise est l'agence nationale du développement des activités conjuguant dimension économique et finalité sociale. Elle a notamment pour mission d'informer, de former et de proposer des outils pour faciliter la création et le développement des entreprises sociales. Interview : Pouvez-vous nous donner une définition de l'innovation sociale ? Une définition a été proposée par le groupe de travail "innovation sociale" du Conseil supérieur de l'économie sociale et solidaire (CSESS) : " L'innovation sociale consiste à élaborer des réponses nouvelles à des besoins sociaux nouveaux ou mal satisfaits dans les conditions actuelles du marché et des politiques sociales, en impliquant la participation et la coopération des acteurs concernés, notamment des utilisateurs et usagers. Existe-t-il des outils pour caractériser une démarche d'innovation sociale ?

Mouvement coopératif Le mouvement coopératif naît au début du XIXe siècle en Europe* et poursuit son essor dans le monde après la décolonisation. On peut distinguer cinq étapes dans son développement, à partir du cas français. Les premières coopératives naissent au début du XIXe siècle à l’initiative des ouvriers de métiers. Elles agissent aussi bien en faveur de l’organisation du travail, la défense mutuelle de leurs membres, l’entraide et la formation. Ce premier mouvement, dit associationniste*, culmine pendant la révolution de 1848. Suite au coup d’Etat de Louis Napoléon Bonaparte en 1851, l’Empire frappe d’une répression sanglante ce mouvement. Après la Première Guerre mondiale, les coopératives connaissent une troisième phase de développement : elles s’institutionnalisent et deviennent un puissant mouvement économique et social. Dès lors, quatrième phase, le mouvement coopératif perd sa visée alternative. Le mouvement coopératif est regroupé au sein de l’Alliance coopérative internationale*.

Economie Sociale et Logiciels Libres : le temps de l’alliance Auteur : Bastien Sibille bastien.sibille@gmail.com Ce texte a été écrit pour appeler à la convergence des mouvements du libre et de l'économie sociale. Il a bénéficié de nombreuses remarques de plusieurs listes de discussions sur lesquelles il a été lu, et notamment la liste du groupe de travail de l'April « LibreAssociation », dont beaucoup des thèmes de travail recoupent les arguments qui y sont développés. Ce texte est sous licence Creative Commons (CC BY ND). Deux mondes co-existent qui dressent des remparts contre la tentation hégémonique du capitalisme : l’un est ancien et puise ses racines dans le XIXe siècle industriel – le monde de l’économie sociale (coopératives, mutuelles, associations…) ; l’autre est plus jeune et tisse ses réseaux dans le XXIe siècle informatique – le monde du logiciel libre. Raisons de l’alliance Depuis une vingtaine d'années des communautés d'informaticiens, puis des entreprises informatiques, ont développé ce qu'on appelle des « logiciels libres ».

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