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Internet Addiction and Online Addiction

Internet Addiction and Online Addiction
By John M. Grohol, Psy.D. May 27, 1999, Last updated: March 4, 2016 A resource for objective, useful informationabout Internet addiction, a theorized disorder.Is the Internet Addiction Test valid? What is Internet Addiction Disorder (IAD)? Researchers still can't tell you exactly what Internet Addiction Disorder is, also know by the term "Pathological Internet Use" (PIU). The original research into this disorder began with exploratory surveys, which cannot establish causal relationships between specific behaviors and their cause. Do some people have problems with spending too much time online? What most people online who think they are addicted are probably suffering from is the desire to not want to deal with other problems in their lives. What some very few people who spend time online without any other problems present may suffer from is compulsive over-use. Case studies, the alternative to surveys used for many conclusions drawn about online overuse, are just as problematic.

Note 6 L’ouverture est-elle morte « L’ouverture est morte » (Open is dead) estime John Geraci sur GovLoop, la communauté de l’innovation publique américaine, et initiateur du projet Do it yourself City. « Telle est la conclusion à laquelle je suis arrivé lors d’une récente réunion où des gens se sont rassemblés pour discuter de la façon de faire avancer l’ordre du jour de l’Open Data. L’ouverture n’est pas morte comme mouvement, elle est morte comme terme qui peut-être utilisé pour motiver les gens, pour les amener à se rallier à une cause, pour participer à un évènement ou se rallier en ligne pour quelque chose. Le gouvernement ouvert. Réaction d’humeur d’un spécialiste un peu fatigué ou discussion de fonds sur les limites d’un idéal ? La réflexion de John Geraci évoque la fatigue des mots valises dont la mode ne dure pas. Mais l’ouverture des données n’est effectivement pas le sésame « ouvre-toi » que l’on croit. Ensuite cette ouverture est complexe.

Dr. Andrew Weil: Comment la technologie a piraté nos cerveaux Etudiant de premier cycle à Harvard dans les années 60, j'ai été fasciné par mes visites au laboratoire du psychologue B.F. Skinner. En réponse à une lumière ou à un son, les rats dans les cages du labo se mettaient à courir dans tous les sens jusqu'à ce qu'ils poussent par mégarde une barre provoquant la chute d'une boulette de nourriture. Assez rapidement, ils faisaient le rapprochement. La lumière ou le son conduisaient alors les rats à pousser intentionnellement la barre pour récupérer la nourriture, un procédé que Skinner a appelé le "conditionnement opérant". J'ai regardé ces rats jusqu'au moment où j'ai souhaité ne jamais les avoir vus. L'une des idées phare de Skinner : pour obtenir que les rats appuient sur la barre de façon persistante, il ne fallait leur donner une récompense que de temps en temps. Faisons un bond de cinquante ans en avant. Cela n'est pas anodin. Mais nous en sommes aux premiers balbutiements. Que pouvons-nous faire ?

Accro au jeu vidéo ? Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population. Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement. Qui joue le plus ? A quel type de jeu ? Pourquoi certaines personnes deviennent-elles addictes ? Qui joue ? Les derniers chiffres1 (octobre 2017) montrent que les plus gros joueurs se situent dans les tranches d’âge : 10-14 (95 %), 15-18 (92 %) et 19-24 (91 %). A quel type de jeu jouent les joueurs ? Dans le classement 2017 des 10 premiers jeux vendus en France toutes plateformes confondues1, on trouve : Les jeux de rôle en ligne massivement multi-joueurs (Massively multiplayer online role-playing game- MMORPG) dont « World of Warcraft » (WOW) et les arènes de bataille en ligne multijoueur (Multiplayer online battle arena-MOBA) dont « League of legends » (LOL) sont des jeux présentant potentiellement un caractère addictif. Puis-je être « addict » au jeu vidéo ? Les caractéristiques de l’addiction au jeu vidéo

Note 5 Pourquoi iOS est plus disruptif que vous ne le pensez Voilà maintenant 4 ans qu’Apple a lancé son iPhone sur le marché. Quatre années intenses qui ont complètement bouleversé le secteur de la téléphonie mobile, mais pas seulement ! Avec le lancement de l’iPad l’année dernière, Apple à initié un mouvement plus profond de transformation des usages qui vont modeler notre façon de consommer les contenus et services en ligne. Salué pour sa stabilité et sa simplicité de prise en main, le système d’exploitation D’apple est en fait bien plus disruptif qu’il n’y parait, car iOS rend obsolète les éléments d’interface et modalités d’interaction que nous avons côtoyés ces dernières décennies (lire à ce sujet : Quelle interface pour le système d’exploitation de demain ?). La fin de la souris Avec iOs, Apple a su populariser les interfaces tactiles signant ainsi la fin de la souris. La question que l’on se pose maintenant est la suivante : comment bénéficier des apports des interfaces tactiles avec les ordinateurs traditionnels ? La fin du clavier

Sudoc Mal être: La cyberdépendance, nouvelle drogue des temps modernes ? Quand l'ordinateur occupe de plus en plus de place dans la vie, il peut devenir un véritable objet d'addiction. Omniprésent, il entraîne de nombreux comportements compulsifs irrépressibles. Le cyberdépendant vérifie sa boîte à message toutes les 10 minutes, il consulte et re-consulte inlassablement les mêmes sites Internet ou passe d'innombrables heures à jouer en réseau. Même en vacances, il ne peut pas se séparer de son objet transitionnel et lemporte partout avec lui. La cyberdépendance est une forme de toxicomanie moderne. À partir de quand, à partir de combien d'heures de jeu par jour ou par semaine peut on parler d'abus et de consommation excessive ? Dans le cas de la véritable dépendance, la vie s'organise autour du jeu ou du clavier et le fonctionnement social, intellectuel et affectif en est affecté. Addiction à l'ordinateur selon le Computer Addiction Services Le Dr. 20 questions à se poser pour évaluer à sa "pécéconsommation"

Note 9 Des hackers veulent peupler l’espace de satellites anti-censure Hackerspace Global Grid (HGG). Le projet est ambitieux, tant par ses objectifs que par les moyens matériels qu’il nécessite. Il ne s’agit pas moins d’utiliser le satellite pour contourner les risques de censure sur le web. HGG est la réponse à une idée lancée en août 2011 par le « hacktiviste » Nick Farr à l’occasion du Chaos Communication Camp, une rencontre estivale et festive incontournable des hackers organisée par le célèbre groupe Chaos Computer Club (CCC) créé en 1981 à Berlin. Une nouvelle initiative communautaire un peu folle, en somme, aux conséquences encore difficiles à cerner analyse Silicon.fr. Concrètement, « HGG vise à fournir l’infrastructure nécessaire au projet, » peut-on lire dans la FAQ. « Nous voulons comprendre, construire et rendre la communication par satellite disponible à toute la communauté HackerSpace et à l’ensemble de l’humanité, » ajoute-t-elle. Chacun peut évidemment contribuer à Constellation en installant le logiciel dédié sur sa machine personnelle.

J’ai pris comme premier site l’article d’un psychologue américain sur ce qu’il appelle l’ Internet Addiction Disorder ou IAD. C’est un article de fond sur le sujet qui nous donne quelques informations factuelles sur l’état de la situation mais qui analyse également les sources de ces comportements addictifs.
Les Etats Unis ont été très souvent précurseur sur les outils informatiques et les contenus numériques et à part le Minitel qui lui était français, une grande majorité des usages et des nouvelles applications se développement d’abord aux Etats Unis, le choix d’un contenu américain prend donc son sens. by xdutertre_groupe1_psy Mar 29

Cet article scientifique ecrit en anglais par John Grohol (Psy.D) est intéressant dans la mesure ou il présente une approche différente des comportements addictifs liés à l’internet basée sur la distinction entre les raisons réelles de ce type de comportements et les effets observés (utilisation excessive). by oussi_groupe2_psy Mar 20

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