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INPES - Promotion de la santé mentale

INPES - Promotion de la santé mentale
Le programme « Santé mentale » vise à accroître ou maintenir le bien-être et à réduire la prévalence des troubles mentaux ainsi que l’incidence des suicides. L’Inpes intervient soit sur les environnements (précarité, éducation, participation sociale...) et/ou les comportements (consommation de substances psychoactives), soit directement sur le sujet de la santé mentale (comme ce fut le cas pour le dispositif d’information des Français sur la dépression de 2007). Les actions de ce programme s’inscrivent dans d’autres programmes de l’Institut, en particulier « Grossesse et petite enfance », « Santé des jeunes » et « Vieillir en bonne santé ». Quatre publics ont été identifiés comme prioritaires : les adultes (en particulier les chômeurs), les personnes âgées, les jeunes, les enfants et leurs parents.

Grands types de maladie mentale | AQPAMM - Association québécoise des parents et amis de la personne atteinte de maladie mentale inc. Retour aux articles La schizophrénie La schizophrénie est un désordre cérébral qui perturbe le processus mental de la pensée et du jugement, la perception sensorielle et la capacité d’interpréter et de réagir de façon appropriée à des situations ou à des stimuli particuliers. Plusieurs cliniciens décrivent les symptômes typiques de la schizophrénie comme étant « positifs » ou « négatifs ». Parmi les symptômes positifs, on retrouve: hallucinations ; (le malade entend, ressent ou voit des choses qui n’existent que dans sa tête);idées délirantes ; (idées fausses tenaces), méfiance;troubles marqués de la pensée (difficulté à communiquer, incohérence);comportement bizarre et désorganisé. Les symptômes négatifs entre autres: alogie; (trouble d’enchaînement de la pensée, de la parole);.anhédonie; (incapacité de ressentir du plaisir);effet d’abattement (manque d’émotion ou monotonie);comportement asocial (peu d’intérêt envers les autres);amotivation ; (manque d’intérêt ou de ténacité).

Autisme et autres troubles envahissants du développement État des connaissances hors mécanismes physiopathologiques, psychopathologiques et recherche fondamentale Méthode : Consensus formalisé adapté Promoteur : Haute Autorité de Santé Objectifs : Ce travail répond à la mesure 1 du Plan Autisme. à la définition de l’autisme et des autres TED et leurs différentes formes cliniques ;aux données épidémiologiques et facteurs associés à l’autisme et autres TED ; aux spécificités du fonctionnement de la personne avec TED ;aux outils d’évaluation du fonctionnement à disposition des professionnels (outils de repérage, de diagnostic, de suivi de l'évolution) ;aux interventions proposées (description, objectifs, critères de jugement de l’efficacité). Concernant les interventions proposées aux personnes avec TED, le but du présent travail n’est pas de dire pour chaque intervention si celle-ci est évaluée ou non évaluée, ni de préciser le niveau de preuve de cette évaluation, ni de conclure sur le fait de recommander ou non cette intervention. Documents

Statistiques en psychiatrie en France : données de cadrage Publications de la DREES [9][9] La plupart sont disponibles sur le site : « L’activité des établissements de santé en 2000 : des évolutions diverses selon les secteurs hospitaliers », Études et Résultats, no 177, juin 2002. ANGUIS M., CASES C., SURAULT P., « L’évolution des suicides sur une longue période : le rôle des effets d’âge, de date et de génération », Études et Résultats, no 185, août 2002. ANGUIS M., DE PERETTI C., « Les personnes suivies régulièrement pour troubles psychiques ou mentaux », Études et Résultats, no 231, avril 2003 (exploitation enquête HID). ANGUIS M., ROELANDT J. AUDRIC S., NIEL X., « La mobilité des professionnels de santé salariés des hôpitaux publics », Études et Résultats, no 169, avril 2002. BADEYAN G., PARAYRE C., « Suicides et tentatives de suicide en France, une tentative de cadrage statistique », Études et Résultats, no 109, avril 2001. « Les professions de santé : éléments d’informations statistiques », Série Études, no 9, janvier 2001.

Les maladies mentales | La Fondation des maladies mentales Les troubles cognitifs sont souvent les premiers symptômes qui apparaissent et sont précurseurs de la schizophrénie. Ce sont ces troubles qui entraînent les difficultés de socialisation chez une personne atteinte de schizophrénie. Troubles d’attention, de concentration, manque de tolérance à l’effort La personne atteinte prend du temps à répondre aux questions, à réagir aux situations demandant une réponse rapide. Troubles de mémoire La personne atteinte oublie de faire des tâches de la vie quotidienne (faire ses devoirs, suivre son horaire), a de la difficulté à raconter ce qu’elle lit, à se rappeler ce que les autres disent ou à suivre une conversation. Troubles des fonctions exécutives Les fonctions exécutives sont essentielles à tout comportement dirigé, autonome et adapté, comme préparer un repas. Ces troubles cognitifs se présentent en premier, comme des symptômes annonciateurs, mais ils persisteront longtemps après la résorption des symptômes aigus. Symptômes dits positifs Délires

Schizophrénie Dossier réalisé en collaboration avec Marie-Odile Krebs, directeur de recherche à l’Inserm (unité 894), professeur de psychiatrie à l’université Paris Descartes et chef de service à l’hôpital Sainte-Anne à Paris - Mai 2014 © Fotolia La schizophrénie concerne environ 0,7% de la population mondiale, dont 600 000 personnes en France. La maladie touche aussi bien les femmes que les hommes. Des symptômes très variables Les symptômes de la schizophrénie sont très hétérogènes d’un patient à l’autre et évoluent souvent au cours de la maladie. Les cliniciens les classent en trois groupes : Les symptômes positifs sont les plus impressionnants : un sentiment de persécution (paranoïa), une mégalomanie, des idées délirantes bizarres, invraisemblables et excentriques, mais également d’hallucinations sensorielles. La présence de symptômes positifs facilite le diagnostic de la maladie. Un tiers des patients en rémission durable Une affaire de génétique et d’environnement © Inserm, P. © Inserm, P. Actualités

Tout savoir sur le syndrome d'asperger - Définition, symptômes, thérapies... Le syndrome d’Asperger est un trouble de la famille de l’autisme, un trouble envahissant du développement touchant entre 350 000 et 600 000 personnes à travers le monde et qui se manifeste dès l’enfance. Le syndrome d’Asperger a une origine neuro-biochimique associé à un problème génétique faisant probablement intervenir plusieurs gènes, se distingue par le fait que l’intelligence de la personne atteinte demeure intacte bien que les troubles neurologiques affectent l’activité du cerveau. Les sujets atteints par ce syndrome ont des difficultés à se sociabiliser et à interagir avec les autres personnes. Description du syndrome d'Asperger Le syndrome d’Asperger est un trouble neurologique du spectre autistique qui touche le cerveau et qui fait partie des troubles envahissants du développement. Les troubles associés au syndrome d’Asperger résultent d’une mauvaise transmission entre la réception et le traitement des informations au niveau du cerveau. Symptômes du syndrome d'Asperger

Groupe Asperger - Syndrome Le syndrome d’Asperger est une forme d’autisme sans déficience intellectuelle ni retard de langage. Le syndrome d’Asperger fait partie des TSA (troubles du spectre autistique). C’est un désordre du développement d’origine neurobiologique qui concerne plus fréquemment les garçons que les filles et qui affecte essentiellement la manière dons les personnes communiquent et interagissent avec les autres. En effet, ces personnes décodent avec difficulté les situations de la vie quotidienne. Ce syndrome a été décrit pour la première fois en 1943 par le pédiatre viennois Hans Asperger puis remis en valeur par la psychiatre Lorna Wing en 1981. Les classifications internationales s’accordent sur les caractéristiques principales suivantes : Le syndrome d’Asperger n’est encore reconnu comme entité à part entière que par quelques professionnels. Le risque de dépression et la perte d’estime de soi sont réels pour la personne qui vit régulièrement l’échec, l’anxiété et l’insécurité.

Autisme France Autisme Dossier réalisé en collaboration avec le Pr Catherine Barthélémy, chef de service honoraire du service de Pédopsychiatrie au CHU Bretonneau de Tours, chercheuse au sein de l’UMR930 Inserm/Université François Rabelais "Imagerie et Cerveau", équipe "Autisme" - Février 2013. © Fotolia L’autisme fait partie des troubles envahissants du développement (TED), un groupe hétérogène de pathologies, caractérisées par des altérations qualitatives des interactions sociales, des problèmes de communication (langage et communication non verbale), ainsi que par des troubles du comportement correspondant à un répertoire d’intérêts et d’activités restreint, stéréotypé et répétitif. Le handicap associé est variable, allant de léger à sévère. Il est presque toujours associé à des difficultés d’apprentissage. L’autisme apparaît dans la petite enfance, avant l’âge de trois ans, puis persiste tout au long de la vie. On estime qu’environ 100 000 jeunes de moins de 20 ans sont atteints d’un TED en France.

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