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Les usages du Web 2.0

Les usages du Web 2.0
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Le design de la visibilité : un essai de typologie du web 2.0 La manière dont est rendue visible l’identité des personnes sur les sites du web 2.0 constitue l’une des variables les plus pertinentes pour apprécier la diversité des plateformes et des activités relationnelles qui y ont cours. Que montre-t-on de soi aux autres ? Comment sont rendus visibles les liens que l’on a tissés sur les plateformes d’interaction ? La décomposition de l’identité numérique L’identité numérique est une notion très large. L’extériorisation de soi caractérise la tension entre les signes qui se réfèrent à ce que la personne est dans son être (sexe, âge, statut matrimonial, etc.), de façon durable et incorporée, et ceux qui renvoient à ce que fait la personne (ses œuvres, ses projets, ses productions). Cinq formats de visibilité Sur ces deux axes, il est possible de projeter trois modèles de visibilité, auxquels s’ajoutent deux modèles émergents. Le paravent. Le clair-obscur. Le phare. Le post-it. La lanterna magica. 1. 2. 3. 4. Dominique Cardon

What Social Media Users Want [STATS] Twitterers mostly consume news, MySpace users want games and entertainment, Facebookers are into both news and community and Digg's audience has a mixed bag of interests. This is all according to online advertising network Chitika, who set out to analyze the interests of MySpace, Facebook, Twitter and Digg users by comparing the genres of sites that receive traffic from these social networks. 287,090 impressions were used in the report, and based on this research, each social site has a distinct makeup of users with unique tastes. The graphic below breaks it down. What's most interesting is that nearly half the traffic (47%) that Twitter generates falls into the news category. In fact, Twitter users' interest in the news genre surpasses that of Facebook users by nearly 20%, which would appear to make it the number-one social network for newsies. Another interesting tidbit is that MySpace users have no interest in news whatsoever. Image courtesy of ChrisAt, iStockphoto

Les 6 typologies d'internautes Lorsque l'on parle de participation sur Internet, on a tendance à ressortir deux données : La règle des 90 / 9 / 1% (90% d'internautes spectateurs, 9% qui réagissent sur des contenus et 1% qui produisent des contenus. Les réseaux sociaux ont partiellement remis en cause cette règle car il convient de différencier les 90 et les 9% plus fortement puisque nous constatons des comportements différents.Les différents niveaux de participation : vous avez certainement déjà vu l'échelle de participation des médias sociaux de Forrester Research (voir visuel ci-dessous), qui était l'un des enseignements majeurs du livre Groundswell de Charlène Li et Josh Bernoff, il y a quelques années. Une autre présentation est le tableau de la participation que je trouve plus parlant (Les 4 niveaux de participation sur Internet). Les typologies selon TNS Sofres Toutefois, il convient de voir les usages d'Internet plus largement que la simple participation pour prendre en compte tous les internautes.

Les médias sociaux : bénéfices collatéraux 29oct médias sociaux La mesure du ROI des médias sociaux se structure de jour en jour tant du côté des agences que des annonceurs. La façon la plus commune de concevoir ce ROI est sans doute la mesure quantitative et qualitative de l’engagement des consommateurs (posts sur les blogs, les forums, nombre de commentaires, nature des commentaires, etc…), comme nous en avions déjà parlé ici et là. Rohit, du Influencial Marketing Blog, introduit plusieurs autres formes de mesure de l’efficacité d’une stratégie de communication via les médias sociaux, qu’il nomme la “softer side of social media measurement“. La reconnaissance interne: Les employés en charge de développer des campagnes sur médias sociaux peuvent jouir d’un statut privilégié en fonction de la pertinence et du caractère innovant de leurs idées présentées en interne. Mehdi

Les jeunes et le numériques – Un site utilisant Sites Canopé Bordeaux Jusqu'où va la démocratie sur Internet ? Interview de Dominique Cardon Dominique Cardon, chercheur au laboratoire des usages de France Télécom R&D, a publié La Démocratie Internet. Promesses et limites (Seuil) en 2010. Nonfiction.fr l'a longuement interrogé sur les rapports entre le débat public et l'outil Internet. Nonfiction.fr- Est-ce que vous pensez que la société de conversation qui s’est développée sur Internet peut s’élever au débat d’idées ? Dominique Cardon- Il faut d’abord s’entendre sur ce que l’on entend par "idée". Dans l’imaginaire de l’Internet participatif, on a souvent considéré que, par un brusque renversement, tous, amateurs et professionnels, allaient produire de l’information et des idées créatives. De la même façon, on se méprend si l’on croit qu’Internet apporte des idées nouvelles, en considérant que les idées sont des énoncés en rupture, absolument inédits, muris dans l’esprit souverain et génial de leur promoteur.

Digital Adults: Pre-teens are on Facebook and Twitter - Technorati Technorati Women An eleven year old trying to create a Facebook profile is likely to be met with eight simple words: "Sorry, you are ineligible to sign up for Facebook." Most eleven year olds, are unlikely to be deterred and will simply add a couple of years to their birth date. That's according to research performed for AVG's Digital Diaries series that found that most kids have reached "digital maturity"-that is, are on mainstream social sites- by age 11. AVG, an online security firm, commissioned the report for the fourth installment of its Digital Diaries, a look at how technology is "fundamentally changing the nature of childhood." The research for Digital Diaries has involved a different age group at each stage. The latest survey of 4,000 parents in 10 countries found that 58% of their kids aged 10-13 had access to a "mainstream" social network, such as Facebook or Twitter (or their regional counterparts like Tuenti in Spain.) AVG's recommendations?

How Small Business Is Using Social Media [STATS] The University of Maryland's Smith School of Business looked at the relationship between social media and small businesses and found that the technology adoption rates in the U.S. have doubled in the past year from 12% to 24%. The data comes straight from the university's third installment to its Small Business Success Index report and is based on a December 2009 telephone survey of 500 small business owners. Adoption rate calculations are compared against a baseline report conducted in December 2008. The study concludes that nearly one in five small business owners are integrating social media into their business processes — Facebook and LinkedIn were the most popular sites. As the graphic below details, the small business owners who are using social media are primarily engaging in social media through company pages (75%) and status updates (69%) on Facebook or LinkedIn. [img credit: mfinelydesigns]

[Infographie] 44% des ados mentent pour accéder aux réseaux sociaux Selon une récente étude menée aux Etats-Unis, 44% des adolescents auraient déjà menti sur leur âge afin d’accéder à certains réseaux sociaux. Au total, 76% des 12-17 seraient des adeptes de ce genre de plateformes. Compte tenu de cette forte présence, l’infographie suivante, réalisée par ZoneAlarm, retrace les principaux usages et expériences des adolescents sur les réseaux sociaux. Parmi eux : Près de 88% discutent sur les chats avec leurs amis.87% commentent les posts de leurs amis.86% mettent à jour régulièrement leur statut.79% postent, eux mêmes, des vidéos ou des photos.70% tagguent leurs amis sur des photos ou des vidéos.50% jouent à des jeux en ligne.30% échangent leur mot de passe avec leurs amis.Très présents sur les réseaux sociaux, 20% des adolescents sondés déclarent néanmoins que les personnes rencontrées sur les plateformes sociales sont souvent désobligeantes.

6 clés pour comprendre comment vivent les ados sur les réseaux sociaux Après dix années de travail auprès de jeunes Américains, danah boyd, blogueuse sans majuscule, chercheuse chez Microsoft Research et professeure associée à l’université de New-York, publie un livre pour éclairer l’usage que les ados ont des réseaux sociaux. It’s complicated : the social lives of networked teens veut expliquer aux parents ce que font concrètement leurs enfants sur Internet, s’attachant à démonter plusieurs fantasmes et à nuancer les risques les plus couramment évoqués par les parents (cyber-addiction, perte d’identité, disparition de leur vie privée, harcèlement, mauvaises rencontres…). It’s complicated, du nom du statut Facebook, illustre toutes les facettes de cette vie en ligne qu’ont les adolescents aux yeux rivés sur leur smartphone. Nous avons rencontré danah boyd à Austin, au festival South by Southwest. Elle a donné plusieurs pistes pour comprendre comment les ados vivent sur les réseaux sociaux. Les copains d’abord Cette utilisation trouble parfois les parents.

10 propriétés de la force des coopérations faible Dominique Cardon, Maxime Crepel, Bertil Hatt, Nicolas Pissard, Christophe Prieur du laboratoire Sense d’Orange Labs ont synthétisé les 10 principes de fonctionnement des plateformes relationnelles. Ces caractéristiques génériques, que l’on retrouve dans la plupart des plateformes à succès du web 2.0, ne mettent pas en valeur un esprit communautaire, comme on le croit souvent, mais exploitent « la force des coopérations faibles », c’est-à-dire favorisent une dynamique de bien commun à partir de logiques d’intérêt personnel. Un schéma pour comprendre les modes de coopérations et le web d’aujourd’hui. Les nouveaux usages des plateformes relationnelles du web 2.0 (blogs, Flickr, Wikipedia, MySpace, Facebook, Twitter, etc.) font apparaître des modes de collaboration inédits entre utilisateurs. En écho au célèbre article de Mark Granovetter sur la force des liens faibles (.pdf), on propose de qualifier ce modèle de coopérations faibles [1]. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. ________________ 1.

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