Spinoza, Misrahi Penseurs juifs de l'universel Robert Misrahi - philosophe Les autres conférences sur le même sujet Penseurs juifs de l'universelSubstance et éthique (88 min) Robert Misrahi, philosophe Centre communautaire - Paris, janvier 2006 Penseurs juifs de l'universel - Cours n° 6/2Désir et Liberté (51 min) Robert Misrahi, philosophe Studio - Paris, mai 2008 Penseurs juifs de l'universel - Cours n° 7/2Une éthique métaphysique (43 min) Robert Misrahi, philosophe Studio - Paris, mai 2008 Les autres conférences du conférencier Penseurs juifs de l'universel - Cours n° 6/2Désir et Liberté (51 min) Robert Misrahi, philosophe.
Entrevue avec Patrick Burensteinas réalisée par France-Spiritualités France-Spiritualités : Patrick Burensteinas, bonjour. Pourriez-vous, pour commencer, nous dire comment vous êtes venu à l'Alchimie ? Patrick Burensteinas : L'Alchimie, on y tombe ded Entrevue avec Patrick Burensteinas réalisée par France-Spiritualités France-Spiritualités : Patrick Burensteinas, bonjour. Plus tard, quand je suis entré à l'université, je suis tombé nez à nez avec la physique, et j'ai retrouvé l'instinct d'aller chercher à l'intérieur de la matière. A partir de là, j'ai suivi un cursus universitaire pur et dur, et j'ai été amené à m'intéresser vraiment au cœur de la matière. Je me suis dit que si je ne trouvais pas ce que je cherchais dans les livres standards, il y avait peut-être autre chose. Et puis j'ai eu une autre chance, celle de tomber sur un livre d'Alchimie qui donnait des modes d'emploi, c'est à dire qu'il disait : « Si vous faites telle expérience, il va se passer ça. » Et moi, je savais que sur un plan physique et chimique, ça n'était pas possible. Par conséquent, on ne peut pas dire : « Avec ça, on ne peut pas réussir. » On peut dire : «D'après ce que je sais, d'après ce que j'ai expérimenté, je n'ai pas réussi à partir de cela ». F. F. F.
Prendre soin de ses cellules, de son corps, sortie astrale ??? - show quoted text - > Yehovind :>> > Salut Bernard, Quintal,>> Salut Yehovind,>> > Je m'inquiète un peu pour les scientistes et tous ces farfelus> > rationalistes bien de chez nous>> C'est gentil, ça.>> > qui s'accrochent bec et ongles à leur petit carré de pétunias>> Je déteste les pétunias, mais je pense saisir le fond du propos.>> > que vont-ils devenir ? A quoi vont-ils pouvoir se racrocher ? Bonsoir Nicolas,ça alors, figure toi que ça ne me viendrait pas à l'idée de cracher,je trouve ça anti-hygiénique, dans tous les sens du terme. Voilà, je ne crache pas, je savoure un peu en attendant que les tempschangent, et les temps changent. parce que comme l'a déjà dit Bouddhail y a quelque temps déjà, tout est changement, et par conséquent ilvaut mieux ne pas s'accrocher à quelque branche que ce soit. Bonjour chez vous,Ricardo
'Alchimie & réalité', entrevue avec Patrick Burensteinas France-Spiritualités : Patrick Burensteinas, bonjour. Pourriez-vous, pour commencer, nous dire comment vous êtes venu à l'Alchimie ? Patrick Burensteinas : L'Alchimie, on y tombe dedans quand on est petit. Mon père était marchand de métaux, ce qui veut dire que j'ai été élevé dans la ferraille. L'odeur du métal, le toucher du métal, avoir cette espèce d'affinité avec le métal étaient pour moi des choses importantes. France-Spiritualités : Vous enseignez une technique que vous avez mise au point vous-même, et à laquelle vous avez donné le nom de "Trame®". Patrick Burensteinas : La "Trame®", comme son nom l'indique, c'est comme la trame d'un tapis. France-Spiritualités : Vous n'êtes pas parti d'enseignements initiatiques, et pourtant la base de ces techniques se retrouve dans certains d'entre eux. Patrick Burensteinas : On n'invente jamais rien ; la connaissance est heureusement universelle, et c'est rassurant. Patrick Burensteinas : Bien sûr, forcément. Patrick Burensteinas : Aucun !
ABC Oriente - Réalisez votre bilan de potentiels en ligne - l'orientation de votre vie de l'école à la retraite Alchimie - Quand les violons alchimiques jouent le chant des sirènes La mariée est une femme somptueuse. D'abord noire et belle, comme l'atteste le cantique des cantiques, elle devient blanche immaculée, puis prend le rouge dévorant du baptème du feu. Celui qui se fait mordre par le serpent alchimique vit la plus belle des histoires d'amour : le venin qui coule désormais dans ses veines lui dévoile progressivement la perspective d'ouvrir les portes de la surnature, et de venir rivaliser avec les dieux. C'est pourquoi la mariée, comme toute femme enchantée qui prévoit d'avaler son adepte, est exigeante, possessive, violente, volatile et aucunement fiable : après avoir puni Prométhée qui a laissé aux hommes l'opportunité de les rejoindre, les Dieux ont caché le feu secret sous une apparence si vile et dans des fonds si obscurs que seuls les philosophes perçants et fidèles pourront prétendre l'extraire et l'exploiter. C'est pour cela que les philosophes grecs avaient comme emblême la chouette, créature capable de voir profondément dans les ténèbres.
Qu’est-ce que le Dharma ? Le mot sanskrit Dharma se réfère à ce qui guide ou sauve nos esprits de la souffrance. Cependant, il existe des milliers et des milliers de types différents de souffrance, et même parmi ceux-ci, il peut y avoir différentes formes. Par exemple, au sein de la maladie, il existe des centaines de formes distinctes. L’effet du Dharma est totalement différent. Certaines personnes prennent des drogues et se sentent bien. De la même façon, toutes les choses quotidiennes, normales que nous faisons pour nous protéger de la souffrance, les choses que font aussi les animaux, sont également des méthodes simplement temporaires. Dans l’ancien temps, bien avant notre développement matériel moderne, les gens avaient des problèmes. Pourquoi les remèdes, les drogues et chaque chose que nous faisons ne mettent-ils pas un terme à nos problèmes temporels ? Ceci prouve que la cause réelle de la souffrance ne réside pas dans les conditions extérieures. Quel genre de méthode devrions-nous tous pratiquer ?