C'est nul facebook! les mauvais côtés de facebook <span class=aff_author>moicemoi35</span> en gros, les gens sensés et réfléchis n'en useront qu'avec modération et en pleine conscience des risques de trop se dévoiler, en ayant parfaitement intégré les conséquences à long terme. On peut en dire autant des forums, dont une bonne part des contenus est archivé ad vida eternam dans les caches des moteurs de recherche (et sans doute ailleurs, de manière moins "officielle" ou visible). N'importe quelle personne patiente et froidement analytique pourra retirer une quantité de données sur un participant régulier, bavard et imprudent. Certains et certaines ici ont, en leur temps, usé et abusé de cette technique pour agir de manière nuisible sur quelques pseudos dont ils/elles avaient fait leur cible, pour le seul plaisir de nuire ou/et d'en tirer un sentiment de supériorité (la toute-puissance des psychologies perverse-narcissiques). moicemoi, et accessoirement des saturations de spam via les habituelles sociétés privées spécialistes du genre...
www.reseau-medias.ca/francais/recherche/JCMB/phaseII/upload/JCMBII_sondage_eleves.pdf Indice relatif de bonheur (IRB) fr/articlesfr/impact-reseaux-sociaux.htm Les impacts ne proviennent jamais des outils, mais de l’utilisation qu’on en fait. Croyez-vous que l’existence des réseaux sociaux contribue, d’une quelconque façon, à enrichir votre vie? C’était la question. Le match est serré entre les partisans du oui et ceux du non. Alors que 45 % des répondants le croient, dont 7 % en sont fortement convaincus, une proportion légèrement moindre (40 %) n’y croît pas dont 14 % qui sont tout aussi fortement convaincus. Est-ce encore une fois la manifestation de l’optimisme, la croyance ou la foi, mais l’IRB moyen des 7 % de fortement convaincus que les réseaux sociaux contribuent à enrichir leur vie est le plus élevé à 80,20. Le clan du oui comprend une plus forte proportion de locataires (50 %), de jeunes (54 % chez les moins de 35 ans), et d’enfants uniques (65 %) alors que c’est auprès des mieux nantis financièrement que cette affirmation recrute le moins d’adeptes (32 %). Le contrepoids d’une tendance Une nouvelle forme de dépendance
Utiliser Facebook est-il mauvais pour la planète ? Régulièrement, Greenpeace s'intéresse aux nouvelles technologies pour distribuer bons et mauvais points aux différentes entreprises visées. Ce mois-ci, c'est Facebook qui porte le bonnet d'âne. La fondation écologiste dénonce dans un rapport . Pour Greenpeace, le développement du stockage des données des utilisateurs sur des serveurs distants reliés entre eux (le "cloud computing") pose un problème majeur d'impact sur le climat, par l'empreinte carbone des data centers. Encore faut-il, comme le souligne Greenpeace, que ces énergies renouvelables, plus chères que le charbon ou le nucléaire, soient effectivement choisies par les entreprises qui mettent en place des solutions de cloud computing. Alors que les datacenters consomment aujourd'hui 330 milliards de kWh, ils pourraient consommer environ 1 milliards de KwH dans dix ans. Google apparaît dans le rapport comme le meilleur élève.
Médias sociaux contre marketing de recherche : atouts et inconvénients Principales composantes du , les et la constituent aujourd’hui plus que jamais des axes prioritaires de développement pour toute marque souhaitant tirer profit du web afin d’ accroitre sa notoriété . Dans chacun de ces deux domaines, des acteurs se distinguent par le potentiel de leurs fonctionnalités auxquelles ont recours les annonceurs pour améliorer leur visibilité. Rien de plus normal que de penser ainsi à Facebook qui propose depuis déjà un certain temps un outil de plus en plus utilisé par les professionnels en matière de publicité : Facebook Ads. De même, Twitter montre progressivement qu’il n’est pas qu’un simple réseau de micro-blogging mais aussi un site pouvant être pleinement exploité dans le cadre d’une campagne publicitaire. Toutefois, si ces différentes plateformes sociales ont le vent en poupe, la reste toujours le moyen privilégié par les internautes pour trouver un produit, des informations sur celui-ci, ou encore des renseignements sur un commerce local.
Business Development : Les avantages des réseaux sociaux - Le Blog iScriba Les réseaux sociaux sont en pleine expansion car chacun y trouve des intérêts divers, qu’ils soient personnels ou professionnels. En ce qui concerne l’aspect professionnel, ils sont une carte à ne pas négliger pour développer votre business et trouver notamment de nouveaux clients. Grâce à ces espaces d'échanges virtuels (Facebook, Twitter, Viadeo, LinkedIn, …), vous allez pouvoir : 1. Créer de nouveaux contacts Les réseaux sociaux professionnels vous permettent de lier facilement des contacts avec des personnes susceptibles d'être intéressées de près ou de loin par votre activité. 2. Les réseaux sociaux sont un fabuleux moyen de rester informé de l’actualité de son secteur d’activité : les internautes membres de groupes professionnels spécialisés postent régulièrement des articles de fond, des informations diverses, les dates d’évènements sociaux à ne pas manquer dans votre secteur d'activité, des commentaires, etc. 3. 4. 5. Bon à savoir :
Pourquoi aime-t-on les réseaux sociaux virtuel Bonjour, Les bons côtés des réseaux sociaux : cela permet à des groupes de personnes qui se sont créés en certaine occasions de rester en contact et de s'entraider (ex : les anciens d'une université, d'une grande école, d'une association ou d'une entreprise). cela permet a des personnes de renouer des contacts avec des personnes (famille ou amis) perdues de vue. Le mauvais côté : Cela fait croire à des gens qui se sont repliés sur eux mêmes, qu'ils ont une vie sociale et des amis. Au final, les réseaux sociaux sont une bonne chose à condition de les utiliser à bon escient et de ne pas trop se dévoiler (le contact réel restant indispensable et restant le plus vrai)
Cloud Computing et SaaS: 10 impératifs pour sélectionner vos Applications Cloud La sélection d'un fournisseur de solutions pour intégrer une série de Web Applications en mode Cloud Computing, ou "Cloud Apps" selon la terminologie américaine, ou encore SaaS (Software as a Service), est souvent le premier pas de l'entreprise vers le Cloud Computing, avant de songer à aborder le sujet du PaaS (Plateform as a Service) et de l'IaaS (Infrastructure as a Service). La raison majeure tient sans doute au fait que ces solutions permettent de répondre rapidement à des besoins immédiats. Les projections pour 2020 que l'on trouve dans la toute récente étude de Forrester dont nous avons parlé il y a quelques jours sur ce blog (dans le billet " le cloud computing: une architecture SI spécifique et un marché à 241 milliards de $ en 2020 "), confirment ce point, l'essentiel du déploiement du Cloud se faisant précisément à travers le SaaS. D'où la question: comment s'y retrouver dans ce maquis et éviter de trébucher dès la première marche, celle des applications SaaS? 1. 2. 3. 4. 5.
La dépendance aux réseaux sociaux : avantages et inconvénients Depuis quelques années, avec l’arrivée de la réforme éducative, on peut remarquer des changements aux niveaux de l’enseignement et du programme de formation de l’éducation au préscolaire et au primaire au Québec. Avec ces changements, plusieurs appellations de disciplines ont été modifiées ainsi que les objectifs de celles-ci. Exemple : on a changé respectivement « Sciences de la nature » et « Sciences humaines » pour « Univers social » et « Sciences et technologies ». Le XXIe siècle regorge de nouveautés dans tous les domaines, que ce soit la santé, l’éducation, l’économie, etc. Mon sujet sera divisé en deux points : au premier point, la dépendance aux réseaux sociaux, le lien avec l’éducation, quelques exemples de réseaux que l’on fréquente et une brève définition d’un réseau social. Pour commencer, ma définition personnelle de ce qu’est un réseau social : Voici la définition du sociologue John A. Il y a différentes sortes de réseaux. Que vous apporte la fréquentation de ces sites ?