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Partageux, mais bien marketés

Partageux, mais bien marketés
Auriez-vous l'idée de vous inviter chez un parfait inconnu pour partager son déjeuner? D'emprunter la première voiture venue en bas de chez vous pour une course impromptue? De rester dormir sur un canapé autochtone à l'autre bout du monde? Et de laisser le touriste de passage squatter le vôtre? Non?Pourtant ces petits plats finiront peut-être à la poubelle. Rien de bien neuf là dedans: jusqu'à la célébrité de l'adjudant Chanal l'autostop permettait d'utiliser les sièges vides des voitures croisées sur la route (et de partager le prix du plein) sans appeler ça covoiturage. Rachel Botsman: The case for collaborative consumption © TED Peut-être que le raccourcissement du trajet entre le producteur et le consommateur – démesurément allongé par la mondialisation et l'aplatissement du globe – permet-il à la planète de respirer à nouveau. L'un de ces usages oubliés est le partage des ressources, des équipements, des espaces, du temps privatisés. Plus de renseignements sur: Partage Recyclage

télécharger 40000 livres gratuits vers Dropbox Il y a quelque temps nous avons parlé d’une liste de sites des livres gratuits en ligne. Vous pouvez toujours y jeter un oeil pour chercher un livre à lire ou à télécharger. Aujourd’hui je viens pour parler d’un autre site qui ne présente pas peut-etre suffisamment de livres en français mais qui vient avec une belle option au niveau du stockage des livres téléchargés. télécharger 40000 livres gratuits vers Dropbox Il s’agit du projet Gutenberg. Pour ce faire c’est très simple, il suffit d’aller dans la page du téléchargement d’un livre puis à coté de l’ancien lien du téléchargement sur le bureau vous trouverez un autre lien vers Dropbox. Gutenberg

Quand l'économie du partage inspire les investisseurs | Consommation Collaborative Cet article est inspiré d’un post de Tim Hyer, fondateur de Rentcycle . Il est en partie reproduit ici avec la permission de l’auteur. J’ai trouvé cet article très intéressant car il met en perspective la montée des investissements dans les startups du partage. On parle de plus en plus de la consommation collaborative, mais concrètement à quel point le secteur intéresse-t-il les investisseurs ? L’investissement dans la consommation collaborative aux Etats-Unis Tim Hyer : “Il y a trois ans, j’ai eu la volonté de lancer une entreprise construite autour du partage : on s’est moqué de moi. Ces dernières années, on a assisté à une montée de la prise de conscience autour d’une tendance de fond ancrée dans le partage. Il n’y a encore pas si longtemps, nous achetions tous les films et la musique que nous consommions. Typiquement le mot « partage » n’est pas forcément le premier mot qu’on pourrait associer à investisseurs. L’année écoulée a vu la montée de l’économie de partage.

Consommation ou partage collaboratif? Suite à la lecture de l’article d’Hubert Guillaud sur Internetactu.net qui de façon plus large traite d’usage et de mésusages & suite à la lecture de Vincent Truffy sur son blog médiapart, j’ai voulu expliquer ce qui à mes yeux fait partie de la consommation collaborative, et des valeurs que je voyais naître grâce à ce mouvement. J’ai été gêné du mélange général que j’ai pu voir entre les différentes formes de pratiques qui existent et les différences qu’elles ont. Ainsi voilà pour moi les deux améliorations, deux formes de valeur ajoutée, qu’apportent la Consommation Collaborative / Economie Collaborative que je mettrai dans cet ordre : 1) Une meilleure allocation des ressources Elle permet de redonner du service à ce qui stagnait. Elle engendre une réflexion sur l’accès et l’usage plutôt que la possession. C’était l’ère de l’avoir. - La terre ne pourra pas supporter plus (et si on réfléchit, c’était bien débile d’en arriver là) - Le cool a changé. 2) Une rencontre et un partage

AMAN Fils d'Amadati, Amalécite et de la race d'Agag; ou, selon d'autres exemplaires, fils d'Amadath Bugéen ou Gogéen, c'est-à-dire, dela racé de Gog. Voyez le commentaire sur Esther (Es 3 :1, 2). Enfin on peut lire : Aman, fils d'Amadath, lequel Aman était Bago ou Bagoas, c'est-à-dire eunuque ou serviteur du roi de Perse, nommé Assuérus dans le texte d'Esther et qui est apparemment le même que Darius, fils d'Hystaspe. On n'a point d'autre preuve qu'Aman ait été Amalécite, sinon ce qui est dit en (Es 3 :1) qu'il était de la race d'Agag ; et cependant dans le grec de (Es 9 :24) du même livre, et dans le latin, il est appelé Macédonien de coeur et de nation ; ce qui fait douter qu'il soit de la race Amalécite. Mardochée, oncle de la reine Esther, mais qui ne s'était point encore fait connaître en cette qualité, était le seul qui ne voulait pas l'adorer. En suivant la superstition des Perses, il voulut premièrement tirer au sort pour savoir en quel jour il les ferait tous périr.

Des voitures « en libre-service » dans les cités d’Ile-de-France - 14/10/2011 Annoncée comme une nouveauté en France, la voiture partagée Autolib' débarquera à Paris le 5 décembre. Et pourtant, le concept est déjà expérimenté, en toute discrétion, dans les cités sensibles d'Ile-de-France. Le système, entièrement artisanal, répond à des règles communes : de nombreux quartiers possèdent au moins une voiture mise à disposition d'un certain nombre de conducteurs. Les policiers de Mantes-la-Jolie (Yvelines) en ont fait l'expérience en arrêtant, il y a quelques jours, des ados cambrioleurs venus de Chanteloup-les-Vignes. « Ils ont expliqué s'être rendus sur les lieux du cambriolage avec la voiture du quartier. Selon eux, les clés sont en permanence dessus et chacun peut l'utiliser quand il le souhaite », explique un enquêteur. Sans permis et sans assurance « Cela dure depuis des années, confie, au Val-Fourré, la cité de Mantes-la-Jolie, un ancien utilisateur de ce service qui tient à rester anonyme.

Usages, mésusages C’est en lisant Paul Ariès (Wikipédia), rédacteur en chef du Sarkophage – notamment La simplicité volontaire contre le mythe de l’abondance -, que j’ai mieux compris les limites qui me chiffonnaient dans la consommation collaborative. Celle-ci nous est souvent présentée sous les atours du partage et du don, alors qu’elle n’en est pas toujours. Le covoiturage et l’autopartage ne sont pas inspirés par une vision altruiste, comme on l’entend trop souvent. Le premier moteur du covoiturage et de l’autopartage n’est pas le partage, mais l’économie. Ce n’est pas sauver la planète qui motive les covoitureurs et les autopartageurs, mais amoindrir l’impact de la crise sur leurs finances personnelles, comme le soulignait déjà l’étude 2010 de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (.pdf). La consommation collaborative… c’est encore de la consommation Image : « la consommation te consume », une image du collectif décroissant Deshazkundea. De l’usage au mésusage Hubert Guillaud

Partage de Lamborguini (FSB Magazine) -- If you were to buy the car of your dreams - say, a Porsche 911 GT3 (sticker price, $106,000) - the odds are you'd drive it about 30 days a year and cover maybe 1,000 miles. Those are widely accepted metrics in the exotic-car industry, reflecting the reality that you don't fire up a Porsche 911 to pick up groceries. For boats the numbers are even more stark - most are used just ten to 20 days in season. The rest of the time they gather barnacles while you pay for insurance and maintenance. As a result, high-end luxury products are increasingly being offered in fractional-ownership or shared-access deals. In 2006 four U.S. startups launched in the automotive category alone, according to the Helium Report (heliumreport.com), a Web site based in San Francisco that tracks the fractional-ownership industry. In Charlotte a new venture called Privatus (privatus.com) lets you drive two Ferraris and an Aston Martin for about $80,000 every two years.

frog's 2012 Technology Trend Predictions By Kristina Loring - January 10, 2012 While the Internet is buzzing with ways to survive the last year of the world (according to the ancient Mayan Calendar), frogs are thinking of other things that will shape culture this year. We asked frogs from across the globe to share their personal favorite tech trends that’ll crop up this year and what their impact would be on design, business, entertainment, and our daily routines. We had frogs from all disciplines—from strategy to engineering—draw from their passions and expertise to offer their input. Without doubt, 2012 is shaping up to be a year of hyper-connected, highly-personal, ultra-smart computing that, well, might just skip the computer altogether. Here’s what our tech forecasters predict for 2012. Connected Cities by Chief Creative Officer Mark Rolston The modern city is becoming a pointer system, the new URL, for tomorrow’s hybrid digital–physical environment. Quantified Selves by Creative Thomas Sutton Facebook is not personal.

Collaborative Consumption, Trust and the Evolution of Credit Jeremy Barton owns a nice Subaru Impreza, but he rarely drives it. As a co-founder of a tech startup in San Francisco, he usually just rides his bike to work. So when Barton heard of a new website called Relay Rides that lets regular people rent out their own cars, it sounded perfect. “Not only does it help pay my car payment and my insurance, but I also get a really good feeling knowing that someone can use it,” says Barton, who’s 27. But getting started as a do-it-yourself car rental company proved more difficult than Barton expected. FREE TOOL: CHECK YOUR CREDITCredit.com’s Credit Report CardCheck your credit bureau profile for free with this great tool. And when Barton finally received a text message informing him that the car would be rented, he had some concerns. “I was nervous about it, to be honest,” says Barton. [Article: Companies Consider Credit Card Purchase Data for Ad Targeting] So Barton, the very definition of an early adopter, decided to do something about it.

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