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Mon cerveau d’avant Internet me manque de plus en plus

Mon cerveau d’avant Internet me manque de plus en plus
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Disruptions: Life's Too Short for So Much E-Mail Tony Cenicola/The New York TimesRoyal Pingdom, a Web site that monitors Internet usage, said that in 2010, 107 trillion e-mails were sent. Corporate employees sent and received 105 e-mails a day. Just thinking about my e-mail in-box makes me sad. This month alone, I received more than 6,000 e-mails. That doesn’t include spam, notifications or daily deals, either. It’s not that I’m so popular. Last year, Royal Pingdom, which monitors Internet usage, said that in 2010, 107 trillion e-mails were sent. Sure, some of those e-mails are important. All of this has led me to believe that something is terribly wrong with e-mail. I’ve tried everything. Last year, I decided to try to reach In-box Zero, the Zen-like state of a consistently empty in-box. Meanwhile, all of this e-mail could be increasing our stress. A research report issued this year by the University of California, Irvine, found that people who did not look at e-mail regularly at work were less stressed and more productive than others.

Les marchés publics L’obligation pour les bibliothèques de passer des marchés publics pour leurs acquisitions documentaires n’est pas chose nouvelle. Mais le recours de plus en plus fréquent à cette procédure, pour beaucoup liée à l'extension du réseau des médiathèques, donne un relief particulier à cette forme de « conventionnement » entre lecture publique et librairie. Parce qu'elle touche d'un côté au niveau de vie des établissements et de l'autre aux résultats comptables des entreprises, la question des achats est une question sensible révélatrice de l'activité, voire de l'identité, de chaque partenaire. Par ailleurs, l'obligation de passer des marchés publics englobe pour les collectivités territoriales un nombre important de procédures au titre desquelles les acquisitions des médiathèques n'ont qu'une importance très relative, et la passion des professionnels, prompts à plaider l'exception du livre comme « produit pas comme les autres », ne trouve pas toujours un écho très convaincu.

Günther Anders, L’obsolescence de l’homme. Tome 2. Sur la destruction de la vie à l’époque de la troisième révolution industrielle 1Peu de livres dont l’ambition est de saisir le sens de leur époque accèdent à la postérité. Le temps contredit aisément leurs hypothèses. Le ridicule peut même les tuer si, comme les ouvrages de Günther Anders (1902-1992), ils ne connaissent qu’une traduction plus que posthume. 2À première vue, ces deux idées semblent fausses. 3Si celui-ci rime pour lui avec l’entrée dans l’ère des armes et de l’énergie nucléaire, l’auteur est également préoccupé par les relations plus globales que nous entretenons avec les moyens, les machines, les produits qui modifient en retour le rapport que nous entretenons aux autres et à nous-mêmes. 4Le mot « technique » a besoin d’être expliqué : il se présente chez Günther Anders comme un Sujet, devenu celui de l’Histoire, qui a détrôné la puissance humaine. 6L’idéal utilitaire se généralise. 8Toujours dans le sillage d’Heidegger puis de l’école de Francfort, il articule une critique sévère et fine des médias.

Doit-on ressusciter les espèces disparues ? Avez-vous entendu parler de Rheobatrachus silus ? Si la réponse est non, il n’y a rien d’étonnant car cette espèce australienne de grenouille, connue en français sous le nom de grenouille plate à incubation gastrique, est considérée comme éteinte depuis 1983, date à laquelle le dernier spécimen conservé en captivité est mort. L’animal s’avère pourtant fascinant, pour deux raisons. La première tient à son mode d’incubation très particulier : une fois qu’elle avait pondu, la femelle avalait ses œufs et les tenait à l’abri dans son estomac où ils grandissaient durant environ un mois et demi. Pendant toute cette période, la grenouille ne mangeait pas et son estomac cessait de produire de l’acide chlorhydrique qui, autrement, aurait dissous les œufs. Enfin, la grenouille accouchait… par la bouche. La seconde raison, pour laquelle on reparle de Rheobatrachus silus aujourd’hui, s’appelle le projet Lazare (comme le Lazare que Jésus ressuscite dans le Nouveau Testament).

10 conseils pour monter un projet « Tablettes » dans votre établissement La rentrée se profile à l’horizon. Il est temps de se mettre en quête du lieu où l’on a rangé son cartable et ses bonnes résolutions pour l’année 2013-2014. Voici, pour vous aider, dix arguments pour monter un dossier de subventions pour des tablettes. Et oui, surprenant aux premiers abords, mais faites le calcul des coûts sur 4 ans pour le lancement de postes informatiques. Ce qui coûte cher ne sont pas les machines, mais l’environnement nécessaire pour accueillir ces ordinateurs (prises électriques, réseau, mobilier, salle et le coût humain de la maintenance…). Les prix des tablettes, même si encore actuellement élevé pour des tablettes de qualité, sont en perpétuelle évolution, et sont plus compétitifs face aux ordinateurs fixes. La force principale des tablettes est leur très faible coût d’entretien. Reste le point primordial de la sécurité des terminaux. La prise en main d’une tablette ne demande pas « trop de temps ». >> Lire : Exemple

D’images et d’eau fraîche - Ode à Pinterest L’une des raisons pour lesquelles les mises à jour de Périphéries sont devenues si rares, c’est que j’ai été avalée par les réseaux sociaux. Maintenant, quand j’ai envie de recommander un livre, au lieu de me fatiguer à synthétiser le propos de l’auteur, à le décortiquer et à le commenter, à le mettre en relation avec des lectures passées, je balance deux lignes sur Facebook ou sur Twitter : « Lisez ça, c’est super. » Une grande avancée pour la finesse de la pensée et la richesse du vocabulaire. Dans son étude des usagers du téléphone portable, le sociologue Francis Jauréguiberry (1) analyse ce que change dans les relations humaines le fait d’avoir à disposition des moyens de communication instantanée, et de pouvoir atteindre n’importe qui, n’importe quand, par un appel ou un SMS — mais sa réflexion vaut aussi pour un statut Facebook ou un tweet. Denys Finch Hatton en safari Lettre d’Eugène Delacroix à son marchand de tableaux, 28 octobre 1827 Bref. Dans le « New Yorker » Bovarysme 2.0

Trois « méta-études » sur les comportements informationnels des usagers Les enquêtes et études sur les comportements informationnels des usagers, notamment universitaires, n’ont jamais été si nombreuses et si riches. Et il devient très difficile, sinon impossible, d’en faire un suivi exhaustif. Aussi faut-il saluer particulièrement les « méta-études », fondées sur des états de l’art de la littérature et des synthèses de travaux. En voici trois, découvertes ces dernières semaines, toutes trois évidemment anglo-saxonnes (l’analyse d’un grand nombre de travaux de recherche sur les usagers et les pratiques informationnelles confirme l’écrasante supériorité des Anglais et des Américains dans ce domaine ; mais ceci est un autre sujet !), de grande ampleur et produites par l’incontournable JISC. Cette importante étude, fondée pour partie sur une revue de la littérature et une synthèse des travaux menés depuis trente ans sur les comportements informationnels des jeunes, visait deux grands objectifs : La deuxième synthèse à signaler est sortie très récemment.

Comprendre la culture du viol A Steubenville, une jeune fille a été violée. Plus exactement, après qu'elle soit en plein coma éthylique, elle a été transportée de lieu en lieu par deux adolescents rigolards, violée et filmée, sous le regard d'autres personnes. Des photos et videos ont été publiées sur les réseaux sociaux dont certaines plaisantant sur ce viol. Alors c'est quoi la rape culture ? Ce fait-divers nous montre, dans toute son horreur, ce qu'est la culture du viol, ce qu'est une société où non seulement l'on viole, mais où l'on encourage, entraîne, pousse à trouver le viol normal, inévitable, naturel et au fond drôle. Il serait simple - et c'est ce qui est en général fait - de se dire qu'on est face à des gens ivres, qui ont perdu conscience de ce qu'ils faisaient, ou des fous, ou des malades. Il a toujours été plus facile de faire du viol un problème individuel qu'un problème collectif. Quel bon dieu de société est capable de produire des gens qui se filment en train de violer une femme ? 09:25.

La masse se mesure aussi en secondes C'est une magnifique et profonde expérience de physique que publie Science dans son numéro du 1er février. Une expérience qui puise à la fois aux sources de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité et qui éclaire la matière d'un jour différent, en mettant en lumière le lien insoupçonné qu'elle entretient avec le temps. Elle montre que l'on peut calculer la masse de la matière en se servant de ce que l'on pourrait appeler son horloge interne. Il faut mettre cette expérience au crédit d'une équipe de l'université de Californie, à Berkeley. Cependant, jusqu'ici, on pensait que la mise en pratique de cette idée était impossible en raison de la fréquence incroyablement élevée des atomes : de l'ordre de la dizaine de millions de milliards de milliards d'oscillations par seconde ! Les chercheurs de Berkeley ont donc eu l'idée de combiner les ondes de matière émises par des atomes en mouvement avec les ondes provenant d'atomes stationnaires.

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