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Le grand méchant MOOC ou la rupture en marche dans l’éducation supérieure

Le grand méchant MOOC ou la rupture en marche dans l’éducation supérieure
J’ai eu l’occasion d’exprimer dans deux articles précédents pourquoi je pensais que les grandes écoles de commerce étaient en train de subir une rupture profonde de leur environnement. La raison est que leur modèle économique est à bout de souffle et qu’elles se font attaquer de toutes parts, et en particulier par le développement de solutions lignes dites « MOOC » ce qui signifie massive online open courses. En fait il serait plus exact que les MOOC n’attaquent pas directement les grandes écoles, du moins pas encore, et c’est là tout la difficulté. En janvier 2000, j’eu une conversation instructive avec un ingénieur d’un opérateur télécom français à propos de la téléphonie sur Internet. Et nous commettons souvent la même erreur que le technicien télécom : nous jugeons la nouvelle technologie à l’aune de l’ancienne, avec les mêmes critères. On me dit aussi « Ah mais les MOOC c’est un mode passif d’apprentissage ». De toute façon là n’est pas le vrai débat. WordPress: J'aime chargement…

L'avenir de la formation pour tous est dans les MOOC ? Est-ce que vous savez ce que c’est un MOOC? Dans cet article je vais vous expliquer ( à mes abonnés) ce que c’est un MOOC et qu’elle est l’intérêt du MOOC appliqué au génie climatique, froid commercial et industriel. L’acronyme MOOC signifie “Massive Online Open Course” que l’on peut traduire par “cours en ligne ouvert et massif”. Le MOOC est d’origine américaine. Un MOOC, à la base, ce sont des professeurs d’université côté (réputation internationale) qui mettent en ligne leurs cours, adaptés au format numérique (photo, vidéo, webinar, forum, blog, etc.) sur internet. Par exemple il y a des MOOC qui utilisent “YouTube” pour diffuser les vidéos, YouTube est un service gratuit pour l’utilisateur, car YouTube est financé par la publicité présente dans les vidéos. Le MOOC parce qu’il est gratuit permet de toucher potentiellement un maximum de personne. Voici les plateformes des MOOC Américains : Autre ressource : “Mais où sont les MOOC en langue française ??? Il existe 2 types de MOOC.

MOOC : Massive Open Online Courses Lubie évaporable ou révolution durable ? En tout cas, le MOOC (voir notre dossier spécial) est le dernier insecte dont on cause. Et pour cause. Ce « Massive Open Online Courses » n’est pas un énième Auchan-Leclerc-Carrefour drive, mais la mise à disposition gratuite, et ouverte à tous, des cours des plus grandes universités et de ceux des plus grandes écoles. Berkeley ou le MIT chez soi, sans concours d’entrée, sans bourse délier, sans année sabbatique à négocier, ni chambre à Boston ou San Francisco à louer. Un bonheur d’étudiant cherchant à étudier sans contraintes mais aussi de cadre soucieux de continuer à se former. Evidemment, le MOOC reste, pour le moment, très nord-américain. Mais ce nouveau procédé pose des questions qui vont bien au-delà de son modèle économique. Sylvia Di Pasquale © Cadremploi.fr – 22 avril 2013 Dessin de Charles Monnier © Cadremploi.fr

Trois bonnes raisons de ne pas faire un MOOC Ce billet fait écho à l’article Pourquoi faire des MOOC? dans lequel nous avons exposé quelques bonnes raisons de se lancer dans l’aventure. Comme il avait été suggéré à la fin de cet article, maintenant que nous avons exposé les bonnes raisons de se lancer, il faut maintenant parler des raisons de ne pas se lancer. Elles peuvent se résumer en une phrase: si vous n’avez pas les moyens de le faire, si le cours risque de n’intéresser personne ou si quelqu’un de motivé a décidé de se lancer sur le même sujet que vous, mieux vaut y réfléchir à deux fois. Un MOOC demande une énergie considérable; en ce qui me concerne, je viens de prendre samedi mon premier véritable jour de repos depuis le 25 décembre, date à laquelle j’ai décidé de me lancer dans le MOOC Gestion de Projet avec le professeur Rémi Bachelet. Premièrement personne n’est à l’abri d’un Massive Open Online Crash, c’est le revers de l’effet levier d’Internet.

Les sombres perspectives du nouvel âge numérique selon Google Le titre est ambitieux. The new digital age : "reshaping the future of people, nations and business" ("Le nouvel âge numérique : transformer le futur des personnes, des nations et des affaires"). Les auteurs sont très crédibles : Eric Schmidt, directeur exécutif de Google, et Jared Cohen, géo-politicien attitré de deux Secrétaires d'Etat américains, maintenant directeur de Google Ideas, le think tank de Google. Leur but : prévoir le futur d'un monde où l'on s'approche du deuxième milliard d'humains connectés à Internet, et les cinq futurs milliards qui s'y agrégeront. Passé la futurologie anecdotique du quotidien (coupes de cheveux exécutées par un robot, garde-robe intelligente prévoyant votre tenue selon l'occasion et la température ), arrivent les prévisions sur les grands fondamentaux, comme la sécurité en ligne, la vie privée, la confidentialité des données personnelles : ce sont, à leur dires, les futures victimes du monde ultra connecté qui arrive. La vie privée, un luxe

A la mode de chez MOOC Tous diplômés d'Harvard, le fantasme des cours en ligne Le Monde | • Mis à jour le | Par Nathalie Brafman MOOC en anglais, CLOM en français. Deux "vilains" acronymes pour qualifier ces enseignements de masse ouverts en ligne, qui ont déjà séduit des millions de personnes dans le monde. La France n'est pas épargnée. >> Lire aussi : "Les étudiants qui travaillent leurs cours en ligne viennent mieux préparés aux sessions d'exercice" Effet de mode ou vraie révolution ? Pour qui ? Californie: les cours en ligne augmenteraient le taux de réussite aux examens Le blended learning, développé à l’Université de San Jose en Californie, a permis d’observer de meilleures notes chez les élèves, encourageant le développement de cette pratique en Californie. Cela fait quelques temps que l’on parle des MOOCS, de leur succès et de leur expansion à d’autres horizons que la seule plateforme de cours en ligne. La Californie est en passe d’autoriser les étudiants des établissements d’Etat à suivre des cours en ligne au même titre que des cours physiques pour valider leur diplôme. Des résultats concluants Le cours qui a été dispensé à la SJSU à l’automne 2012, est un cours d’ingénérie en circuit et électronique, créé par le MIT pour la plateforme edX. Le blended learning convainc les universités Le blended learning a donc convaincu de nombreuses universités californiennes.

De qui se MOOCS t'on ? MOOCS. Massive Open Online Courses. Depuis déjà quelques années, mais particulièrement depuis l'année dernière au cours de laquelle le phénomène explosa littéralement (plus dans la presse que dans les usages d'ailleurs ...), c'est l'une des tendances lourdes du web pedago-numérique d'outre-atlantique. 2012 fut donc l'année des MOOCS (36), prenons en 2013 le temps d'un premier état des lieux. Peu d'analyses ou d'opinions personnelles dans le billet à suivre (bon un peu quand même vu que j'arrive pas à m'en empêcher ...), mais surtout une bonne grosse revue de liens sur le sujet, après une veille de plusieurs mois, pour permettre de faire le tour de ce que l'on sait aujourd'hui des Moocs. Si vous n'avez que 4 minutes, que vous parlez anglais et que vous ne connaissez rien au sujet, cette vidéo (39) est faite pour vous. Une (brève) histoire des MOOCS On peut assez aisément (et assez sommairement pour ce qui va suivre) établir la généalogie des MOOCS. Le premier MOOC. La pédagogie des MOOCs

Petit historique de l’e-réputation L’e-réputation est une notion encore jeune. Cependant, 13 ans après son premier emploi dans un article scientifique, il parait intéressant de revenir sur sa jeune histoire. Et cela pour, par la suite, mieux appréhender ses tenants et aboutissants, et surtout continuer à la questionner : car si beaucoup s’accordent à dire que la réputation est une notion essentielle pour mieux comprendre le web et ses jeux d’acteurs, il n’en reste pas moins que du chemin reste encore à faire pour mieux cerner ce concept en devenir. Voici donc un petit résumé (graphique) de cette courte histoire, avec une focalisation sur son développement en France. Pour commencer voici un peu de « prêt à penser » avec une petite frise chronologique réalisée avec l’outil Easel.ly (qui, pour rappel, ne prend pas en compte les accents). Pour plus détails, il faut donc lire la suite 2000 : première approche scientifique de la « réputation en ligne » Ils en retirent par ailleurs cette superbe équation : Notons qu’en France, N.

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