Parrainer une ruche, c'est agir pour la sauvegarde des abeilles Un toit pour les abeilles a l’ambition de participer à la sauvegarde des abeilles et au développement des colonies. Notre moyen d’action est le parrainage : nous proposons aux entreprises et aux particuliers de parrainer l’outil de travail des abeilles, leur ruche. En remerciement, les abeilles offrent à leur parrain le fruit de leur travail, une partie de leur miel. Chaque année, les parrains reçoivent les pots de miel correspondant à leur parrainage. Leur logo ou leur nom figure sur l’étiquette des pots. Pour les entreprises Pour les particuliers Un toit pour les abeilles vous propose de parrainer une ruche si vous êtes une entreprise, ou une partie d’une ruche si vous êtes un particulier. Parrainez votre ruche
UCreative.com - These Japanese Barcodes Are So Kawaii! | UCreative.com Present in every product packaging that we use today, barcodes have become universal with their use in automating supermarket checkout systems. Recently, innovations in barcode technology have made it possible to do more than tagging products. They can also be used to encode music, images, URLs and emails. Barcodes encode data by varying the widths and spacing of parallel lines. At some point, they evolved to rectangles, hexagons, and other geometric shapes which encoded more than their 1-dimensional counterpart. But not in Japan, the land of kawaii. The concept of kawaii (roughly translates as “cute”) is prevalent across Japanese culture and can be seen in almost every aspect of the Japanese life. And barcodes are no exceptions. Japanese group Design Barcode has been creating custom barcodes since 2005. The result? Check out some of the designs of Design Barcode below. For more design barcodes, check out their Japanese website here or their English website here.
Il refait ses dessins d'enfants Telmo Pieper retrouve des dessins qu’il faisait quand il avait 4 ans et se base sur ces formes étranges pour finir de les dessiner. Le design à la recherche de l’imperfection Des plats gondolés, des vases ébréchés… D’ordinaire, ces objets auraient été écartés pour leurs défauts. Ils sont désormais considérés comme uniques. Une exposition chez Merci, à Paris, en témoignage. Il y a une faille dans toute chose, c’est par là qu’entre la lumière », chantait Leonard Cohen. En matière de design, c’est presque devenu la nouvelle quête du Graal. En témoigne cette exposition-vente « Imparfait » qui réunit, jusqu’au 11 février dans le concept-store parisien Merci, une série d’objets qui, d’ordinaire, auraient été écartés pour leurs défauts. « Le zéro défaut, la perfection lisse et insipide, n’est plus de mise, souligne Daniel Rozensztroch, directeur artistique de Merci, à l’origine de l’événement. Des verres « ivres » L’imperfection comme valeur ajoutée donnée aux objets ? « Chacune de ces pièces datées et signées est imparfaite, à l’image de nos corps, tous différents et tous, d’une certaine façon, handicapés. « Un sens plus intime au luxe »