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Monsanto

Monsanto
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Monsanto Company Dans les années 1940, Monsanto était un producteur majeur de plastique comme le polystyrène et des fibres synthétiques. Au début des années 1980, le potentiel des biotechnologies végétales provoque une forte réorganisation du marché des produits phytosanitaires et des semences, autrefois séparés. Historique[modifier | modifier le code] John Francis Queeny fonde, à la fin de l’année 1901, la société Monsanto, ainsi nommée en hommage à son épouse : Olga Mendez Monsanto. Initialement producteur de saccharine, vendue pour l’essentiel à une petite société en développement nommée Coca-Cola, Monsanto se diversifie dès 1904 avec la fabrication de caféine et de vanilline. En 1940, Monsanto devient partenaire de l'armée américaine, en effectuant des recherches sur l'uranium dans le cadre du projet Manhattan, qui vise à la construction de la première bombe atomique. En 1945, Monsanto débute la production d’herbicides et d’insecticides.

Monsanto, PepsiCo, Coca-Cola et d’autres dépensent 45 millions de $ contre l’étiquetage des OGM Mardi 6 novembre, plus de 18 millions de Californiens inscrits sur les listes électorales (un chiffre record pour l’Etat) éliront un président, des membres du Congrès et des représentants locaux, mais doivent aussi approuver ou non onze initiatives populaires ou propositions, qui seront inscrites en amendement à la Constitution si elles obtiennent une majorité des voix. Le plus disputé de ces projets de loi est la proposition 37, qui imposerait un étiquetage obligatoire à tous les produits comestibles contenant des ingrédients modifiés génétiquement (genetically engineered, dans le texte), et interdirait leur commercialisation sous l’appellation de produits "naturels ". Environ 90 % du maïs et du soja américains, très présents sous formes diverses dans la grande distribution, comportent des gènes altérés – souvent pour leur permettre de tolérer l’herbicide Roundup de Monsanto. Sources : Le Monde / LATimes / SDTribune / SFChronicle / Le Journal du Siècle Like this: J'aime chargement…

Bien-être au travail: «Les salariés veulent se sentir concernés par le projet de leur entreprise» TRAVAIL Cette semaine débute la dixième édition de la semaine pour la qualité de vie au travail. L'occasion d'ouvrir le débat et de diffuser les initiatives et les bonnes pratiques sur ce sujet... Bertrand de Volontat Publié le Mis à jour le Améliorer la situation des salariés et l’efficacité des entreprises sont deux objectifs devenus indissociables. Qu’est ce qui a changé ces dernières années dans votre approche du bien-être au travail? Quand nous avons débuté il y a dix ans, le bien-être en entreprise était un objet de communication focalisé sur les bonnes pratiques à suivre en entreprise. Comment être sûr que votre démarche ait des répercutions concrètes? Dans les semaines à venir, les négociations en cours depuis neuf mois pour obtenir un accord national interprofessionnel sur la question de la qualité de vie au travail et l’égalité professionnelle devrait être signé. Sentez-vous un véritable investissement de la part des entreprises françaises? Mots-clés : Aucun mot-clé

Santé : Monsanto en Argentine, un bilan accablant:: Novopress.info – arme de réinformation massive Novopress a traduit en français une enquête décapante de Micheal Warren et Natacha Pisarenko (Associated Press) datant du 20 octobre dernier et portant sur les effets secondaires dévastateurs des produits agro-chimiques de la firme Monsanto, multinationale spécialisée dans les pesticides et semences génétiquement modifiées. Source originale et nombreuses photos : www.concordmonitor.comPhoto ci-dessus : le 31 mars 2013, Camila Veron, 2 ans, née avec de multiples malformations et très malade, se tient devant la maison de sa famille à Avia Terai, dans la province de Chaco, en Argentine. (AP Photo/Natacha Pisarenko) L’ouvrier agricole Fabian Tomasi n’avait pas l’habitude d’utiliser des vêtements de protection lorsqu’il manipulait des pesticides sous forme pulvérulente. À 47 ans, il n’est plus aujourd’hui qu’un squelette vivant. Dans la province de Santa Fe, cœur de l’industrie du soja, le nombre moyen de cancers est deux fois supérieur à la moyenne nationale.

Comment mesurer la fiabilité de ses fournisseurs 1. Identifier des fournisseurs fiables Plusieurs points sont à vérifier avant de sélectionner tout fournisseur : le respect des délais ;la qualité des produits ;le rapport qualité-prix des biens échangés ;l'éthique et la réputation du fournisseur ;la santé financière de l'entreprise ;la certification et le respect de certaines normes si le secteur l'exige. 2. Avant de mener des enquêtes plus approfondies, certaines caractéristiques primordiales peuvent être évaluées rapidement comme le prix, le rapport qualité-prix ou encore le respect des délais de livraison. Concernant la qualité et la provenance des produits, il faut demander aux fournisseurs des fiches détaillées sur les caractéristiques et l'origine des produits. Dans un premier temps, un questionnaire destiné à évaluer les marchandises peut être envoyé au fournisseur.Par la suite, des évaluations régulières doivent être mises en place pour s'assurer que la qualité ne décline pas. 3. 4. 5.

Un soja OGM « sain » : la nouvelle idée de Monsanto et DuPont Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Les OGM peuvent-ils être bons pour la santé ? Le débat est relancé alors que le groupe américain d'agrochimie Pioneer, filiale du géant DuPont, est en train de lancer, sur le marché américain et peut-être bientôt en Europe, une graine de soja génétiquement modifiée et « saine », de marque Plenish. Son rival, Monsanto, développe de son côté un produit similaire, Vistive Gold. « On travaille depuis dix ans sur le Plenish. L'annonce tombe à pic alors que l'Agence des produits alimentaires et pharmaceutiques (FDA) américaine veut bannir les acides gras trans de l'alimentation des Américains. Or l'huile de soja contient des acides gras trans. Lire notre enquête Monsanto, un demi-siècle de scandales sanitaires Avec cette nouvelle graine, les deux groupes espèrent relancer un marché de l'huile de soja comestible en baisse depuis quelques années aux Etats-Unis. « Ce soja pourrait se voir autorisé en Europe.

Blog Lutte Ouvrière -Corbeil-Essonnes: Snecma-Corbeil Un incendie grave à l’usine. Bilan provisoire : 16 travailleurs intoxiqués et un brûlé… pour l’instant. Il n’y a pas de fumées sans feu ! Premières réflexions après un accident grave. La gravité de l’incendie de mercredi 19 juin 2013 et ses conséquences soulèvent de nombreuses questions. Notre préoccupation va, en premier lieu, aux victimes identifiées, et à nous assurer qu’il n’y en aurait pas d’autres … Les victimes Selon la direction, 16 travailleurs de l’entreprise sous-traitante ont été touchés par l’accident : un serait brûlé (dont nous n’avons pas de nouvelles) et d’autres ont inhalées de la fumé. C’est le troisième incendie en trois ans (poste électrique P12, aspirateur du laser). L’origine de l’incendie Il semble établi que c’est une étincelle de « disqueuse » qui a déclenché l’incendie. Les faits aggravants L’entreprise qui effectuait le travail est un sous-traitant de l’entreprise qui a obtenu le marché. Il est indispensable de limiter le recours à la sous-traitance. L’évacuation du bâtiment, déclenchement de l’alarme… Une fois l’incendie déclaré : Cela a toujours été refusé.

USA: la Cour suprême se range une nouvelle fois du côté de Monsanto La Cour Suprême américaine à Washington le 6 novembre 2013© AFP/Archives Saul Loeb Washington (AFP) – La Cour suprême des États Unis a à nouveau donné raison à Monsanto en refusant de se saisir de la plainte d’un groupement de producteurs et d’agriculteurs bio, mercredi. Ce groupement voulait empêcher les poursuites du géant de l’agronomie en cas de contamination par erreur de leurs champs par des cultures transgéniques. La haute Cour, qui s’était déjà rangée du côté de Monsanto en mai 2013, a rejeté, sans commentaire, la requête de dizaines de fermiers pratiquant la culture bio et conventionnelle ainsi que des producteurs de semences organiques, qui réclamaient que le groupe américain s’engage à ne pas poursuivre les propriétaires des cultures de soja, coton, maïs, qui auraient été génétiquement modifiées par les vents ou des pluies. Le puissant Monsanto arguait que donner raison à ces fermiers permettrait à n’importe qui de violer intentionnellement la réglementation de ses brevets.

La gestion de stock à flux tendu L’approvisionnement et la gestion de stock représentent un défi majeur pour tous les gestionnaires. En effet, une rupture de stock cause souvent la perte d’un ou plusieurs clients et le sur-stockage engendre un coût d’entreposage très important et qui peut même causer la détérioration de la marchandise. De ce fait, il faut savoir décider des quantités économiques à commander à l’aide bien sûr de formules ainsi que de modèles les plus appropriés, tel que le modèle de Wilson, mais aussi à l’aide d’une estimation des fluctuations du marché et de la saisonnalité de la demande. Il est toujours recommandé de garder un seuil de sécurité dans le stock, car il vaut mieux perdre en termes de coût d’approvisionnement que d’envoyer un client tout droit vers la concurrence et de le perdre définitivement. Gérer son stock à flux tendu Une nouvelle méthode de la gestion de stock est en plein essor et est de plus en plus utilisée. Les limites du flux tendu

Le droit de planter et cultiver librement bientôt interdit ? Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi. Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences. Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal. Soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, des paysans et des citoyens entrent en résistance. Photo : source Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres. Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Rendre les paysans captifs « Le fait que l’obtenteur soit rétribué pour son travail de recherche ne nous pose pas de problème, explique Jean-Pierre Lebrun, un maraîcher biologique à la retraite. « Ce n’est pas la recherche qu’ils veulent rémunérer mais les actionnaires » Pourquoi cette redevance ? Des carottes illégales et des choux clandestins Rébellion contre la dîme des multinationales

Le temps, c'est de l'argent Publié le 16/06/2013 à 12:54, mis à jour le 17/06/2013 à 00:22 © Chris Brignell | Dreamstime.com ''Le temps, c'est de l'argent.'' N'est-ce pas une expression que nous avons souvent entendue? Qu'en est-il des investissements? Suivant ce raisonnement, l'évolution de la taille de son portefeuille mérite que l'on attache de l'importance non seulement à l'allocation du capital au sein de celui-ci, mais également à l'allocation du temps. Procéder à ce genre de calcul peut sembler farfelu à première vue, mais n'oublions pas que les meilleures entreprises s'efforcent constamment de minimiser leurs coûts de production en optimisant l'utilisation de chaque pied carré de leurs usines ou en comptant le temps recquis pour chaque étape de leurs chaînes de production.

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